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Louviers

Pour construire l'avenir de nos enfants, que doit faire un maire ? Construire une école ou une patinoire ? La reconstruction de l'école Jules Ferry doit se poursuivre. Aidez nous à faire comprendre au maire où est le bon choix, en signant la pétition ouverte sur Internet www.mesopinions.com


Les plans sont prêts, les travaux pourraient démarrer demain.Les architectes ont fait leur travail : voici l'école Jules Ferry de demain, si le maire a le bon sens de ne pas jeter les plans à la poubelle !
Les plans sont prêts, les travaux pourraient démarrer demain.Les architectes ont fait leur travail : voici l'école Jules Ferry de demain, si le maire a le bon sens de ne pas jeter les plans à la poubelle !

Ecole Jules Ferry : le choix est simple, signons la pétition
Les parents d'élèves ne se laisseront pas berner par des excuses bidon !

Le coût financier du projet Jules Ferry représente moins de 10% des investissements réalisés par l'équipe Martin pour les écoliers de Louviers.

Louviers peut donner à ses écoliers une école neuve tous les six ans.

Ecole Jules Ferry : le choix est simple, signons la pétition

Ecole Jules Ferry : le choix est simple, signons la pétition

Gaëtan Bazire doit démissionner. Le maire doit faire respecter la non-ingérence des élus auprès du personnel municipal. Un personnel municipal fortement démobilisé par l'incohérence des directives, paralysé par les licenciements et la réduction des moyens de travailler. Quoi d'étonnant s'il se réfugie massivement dans l'attentisme et, pour certains, dans l'absentéisme ?


Anne Terlez et Gaétan Bazire se sont présentés comme les chevaliers blancs de la morale en politique. Aussitôt élus, ils s'octroient doublement des indemnités d'élue et tarif de faveur pour les voyages de l'Amicale
Anne Terlez et Gaétan Bazire se sont présentés comme les chevaliers blancs de la morale en politique. Aussitôt élus, ils s'octroient doublement des indemnités d'élue et tarif de faveur pour les voyages de l'Amicale
L’Amicale du personnel de la ville de Louviers a été créée depuis près de cinquante années. Sa mission, comparable à celle que les agents du privé connaissent par le biais de leur comité d’entreprise, en est cependant différente.   Elle permet aux agents municipaux de se réunir, au-delà de leurs opinions politiques ou autres,  quelque soient la couleur politique et les orientations des équipes en place.

L’amicale du personnel est un outil indispensable à la qualité du service public municipal en ce qu’elle permet de consolider le lien social entre ceux dont la mission consiste à agir pour le bien public des lovériens.

Parmi les conditions indispensables à son bon fonctionnement figure celle-ci : sa totale indépendance par rapport à l’équipe en place. Depuis 1995, les élus se sont gardés de toute ingérence dans une gestion qui relève du personnel municipal et de lui seul.

Un voyage en Hollande...
Un voyage en Hollande...
Mais tout ça, c’était avant Priollaud !

Voilà que l’équipe en place, riche de son inexpérience et de ses mauvaises idées a décidé de placer un « observateur » au sein de l’amicale du personnel. Gaétan Bazire, puisqu’il s’agit de lui, assiste aux réunions de bureau. Il y représente la municipalité qui n’a aucun titre à y être représentée.

A une époque, cela s’appelait du délit d’ingérence. Mais ce n’est pas tout !

Gaétan Bazire a bénéficié de tarifs préférentiels lors d’un voyage à l'étranger ! Au nom de quoi ? La loi contraint à une coupure nette entre élu et personnel municipal. Pour mémoire, un employé municipal n’a pas le droit de se présenter aux élections.

Qui pis est, Gaétan Bazire, profitant du pouvoir que lui donne le fait qu’il représente la municipalité a fait approuver cet avantage par le bureau de l’amicale. Ce comportement écœure tous les membres de l’amicale attachés à ses principes … mais en plus il s’agit d’un acte complètement illégal ! 


 

Même si les participants paient leurs voyages, l'essentiel des ressources de l'Amicale provient de la subvention municipale, d'argent public.

Sans s’interdire d’aller plus loin, tous ceux qui sont attachés à la défense du personnel demandent à Gaétan Bazire de rembourser immédiatement à l’Amicale le passe-droit duquel il a pu bénéficier. Ils demandent qu'il cesse d'assister aux réunions de l'Amicale.  Enfin, ils exigent que Gaétan Bazire démissionne du conseil municipal. 
 
PS : rappelons que Gaétan Bazire a signé la charte des élus chère à Anne Terlez… Vous avez dit guignolade?


Lundi 1 Juin 2015 | Commentaires (4)

Depuis son arrivée, Priollaud n'a rien fait pour Louviers. Pour masquer le fait qu'il ne fait rien, à part casser ce ce qui existait avant lui, il a sa méthode : lancer une petite opération de com', une poignée de poudre aux yeux pour masquer l'étendue du désastre.

On s'attaque à l'action culturelle, mais on fait venir des bons copains pour une soirée de piano.

On enterre les équipements sportifs... mais on fait une Nuit du Sport.

On arrête la construction d'écoles... mais on lance une Star'Ac, version rurale...


Lorsqu'il était adjoint chargé des travaux, Jacky Bidault était résolument opposé à la rénovation du stade de foot. Fidèle à lui-même, faute d'être fidèle à ses amis, il laisse pourrir le stade d'athlétisme
Lorsqu'il était adjoint chargé des travaux, Jacky Bidault était résolument opposé à la rénovation du stade de foot. Fidèle à lui-même, faute d'être fidèle à ses amis, il laisse pourrir le stade d'athlétisme
L'ère Martin avait commencé tambour battant avec un beau slogan : « Réveille ta ville ! »
Et Louviers était devenue la Ville qui bouge...

Depuis l'arrivée de Priollaud,  Louviers ... fait dodo. Et eux qui pensaient qu’avec la Nuit du sport, la ville sortirait un temps de sa léthargie en sont pour leur frais.

Pensez donc : une prétendue Nuit du Sport qui se terminera... avant la tombée de la nuit !

Oui, vous avez bien lu : à 11 heures du soir,  amis du sport, hop, au dodo !

La nuit sera finie avant même d'avoir commencé... mais la Ville aura fait travailler les clubs, sans mettre un sou dans l'opération. Sauf pour la com' , bien sûr




 

Hors d'usage, la piste d'athlétisme est dangereuse. L'étude de rénovation est jetée à la poubelle par une municipalité qui n'aime ni l'EAL, ni la course à pied
Hors d'usage, la piste d'athlétisme est dangereuse. L'étude de rénovation est jetée à la poubelle par une municipalité qui n'aime ni l'EAL, ni la course à pied
L'arrivée de Priollaud à la mairie ?

Pour le sport, comme pour la culture et la jeunesse, un vrai massacre, une Saint-Barthélémy !

On jette illico à la poubelle la salle d'haltérophilie et de Futsal prévue à la place de l'ancienne piscine. Les haltérophiles vont donc moisir jusqu'à la Saint Glinglin dans leur étouffoir. Les amateurs de futsal voient l'équipement ( subventionné par la Région ) filer à Val-de-Reuil, ravie de l'aubaine.

Bien joué, Priollaud ! Cela s'appelle marquer contre son camp, non ?

Deuxième acte, Priollaud cogne au portefeuille : baisse des subventions aux associations sportives, augmentation du tarif de la nouvelle piscine...

Troisième coup d'éclat ( hat-trick pour les footeux) : l'Etoile Athlétique Lovérienne réduite au stade... du désespoir.

Dès son arrivée, Priollaud jette à la poubelle l'étude préalable à la rénovation du stade d'athlétisme programmée par Pascal Hébert, adjoint aux sports de Franck Martin

Travaux prévus ( avec une subvention de la Région ) : réfection de la piste défoncée, rénovation de l'espace central, création d'un local de stockage et de tribunes.

Les athlètes s'en passeront : monsieur le maire n'aime pas la course à pied, pratiquée par Franck Martin, ni l'athlétisme à cause de Bernard Amsalem...

 

On avait bien remarqué le passage éclair de Priollaud au Carrington. Arrivé trop tôt, pour assister aux courses du matin, revenu trop tard pour assister à la course senior, le maire a jugé que le plus vieux cross de France n’attirait pas assez le public.

Il a même déclaré qu’il envisagait d’en changer la date !

Changer la date du plus vieux cross de France ! Une date ancrée dans l'histoire, non seulement de Louviers, mais de la France sportive ! Comme si l'événement, créé et développé par tant de bonnes volontés, lui appartenait !

De quoi faire bondir non seulement Manita Carrington, qui veille à l’héritage comme à la prunelle de ses yeux, mais tous les lovériens attachés au patrimoine sportif de leur cité.

De quoi je me mêle ? le Carrington n'est pas la propriété de la Ville et les calendriers sportifs sont établis par la FFA ( président Bernard Amsalem)

Sans parler du marathon Seine-Eure, fondé par Bernard Amsalem et Franck Martin, le sport à Louviers a connu son âge d'or.

Gymnase Colette Besson, parc des Sports Annette Sergent, Complexe de tennis, stade de foot rénové, complexe aquatique de premier ordre, city-stades installés dans les quartiers...

Louviers était la ville qui bouge... avec Priollaud elle entre dans une longue nuit.... de sommeil. Et de cauchemar.


Jeudi 28 Mai 2015 | Commentaires (1)
A noter : l'addition des colonnes rose, verte et rouge aurait pu tout changer
A noter : l'addition des colonnes rose, verte et rouge aurait pu tout changer
Un bref commentaire avant une analyse plus approfondie, demain.

Comme partout dans l'Eure, la gauche essuie un cuisant revers à Louviers : elle ne sera pas au second tour. J'en suis personnellement meurtri.

Mais, l'observation des résultats lovériens montre clairement que la gauche s'est battue elle-même, en se divisant. Le total des voix des alliés naturels du PS-PRG s'élève à  plus de 15 %. Des voix qui, ajoutées au 24 % du binôme Yung-Cléret, auraient mis la gauche unie en pole-position, au lieu d'être éliminée.

Depuis 30 ans, je prêche pour l'union de la gauche dès le premier tour et je l'ai pratiquée autant que je l'ai pu. C'est la seule stratégie gagnante.

Ensuite, la droite municipale recule et ne retrouve pas le niveau atteint au premier tour par l'addition des listes de droite hors FN au premier tour des municipales.

Dans l'Eure, l'élimination de Jean Louis Destans dès le premier tour me semble terriblement injuste. Il a tant apporté à ce département.


Dimanche 22 Mars 2015 | Commentaires (2)

En 2014, il a suffi de 40 électeurs déboussolés par la grogne anti-Hollande pour se tromper de cible et doter Louviers d’une municipalité Triple A : Amateurisme, Absence de projet, et Austérité budgétaire… totalement injustifiée.


Budget voté, Lovériens essorés
Depuis son élection, le maire gémit : « Je n’ai plus d’argent en caisse ». Faux. La lecture de son propre budget est sans appel : avec près de 22 M€ de recettes, il disposera en 2015 de plus d’argent qu’aucun maire précédent !

 Rien ne justifie ce budget d’austérité, que son manque de savoir-faire. Un amateurisme qui le conduit à faire payer aux Lovériens le désamiantage des immeubles Maison-Rouge à la place de l’Etat et de la CASE. Un amateurisme qui va coûter fort cher à toutes les familles lovériennes !
 

Le budget municipal voté lundi soir porte un rude coup au pouvoir d'achat des ménages lovériens. En 2015, nous seront assommés par la hausse des tarifs municipaux : piscine, cantine, école de musique, etc.

Etranglées par la baisse des subventions municipales, les associations vont répercuter ce manque à gagner sur leurs adhérents, par une hausse des cotisations.

Les suppressions d’emplois  à la Ville empêchent les services de travailler normalement au service des Lovériens. Seuls les riches, qui n'ont guère besoin de la Ville, vont s’en tirer.

Que va-t-il faire de nos impôts ? Rien.

Il n’a rien fait en 2014, sauf jeter à la poubelle les plans d'équipements dont la construction était prévue.

En 2015, aucun équipement ne sortira de terre. Il se contentera d’inaugurer nos projets, comme naguère la chaufferie bois et le nouveau centre de loisirs.

Rappelons qu’avec moins d’argent qu’il n’en dispose, nous avons inauguré chaque année des équipements publics importants et de nouveaux services rendus aux Lovériens.
 

Qu’aurions nous fait à sa place ?

En 2014, nous aurions remplacé l’ancienne piscine par des salles d’haltérophilie, futsal et autres sports de ballon.

En 2015, nous avions programmé la rénovation du stade d’athlétisme et le lancement de la construction de la nouvelle école Jules Ferry. Tout était prêt, les architectes payés, les terrains achetés, il suffisait d'appuyer sur un bouton pour que grues et bulldozers rentrent en action.

Rappelons que depuis 1995, il ne s'était pas passé d'année sans qu'un équipement majeur ne sorte de terre : complexe de tennis, Gare aux Musiques, Moulin, 2 jardins publics, école de la Souris Verte, restaurants scolaires, gymnase Colette Besson.

C’était avant... Aujourd’hui, l’avenir de Louviers est enterré dans la poubelle du maire. M. Priollaud, puisque vous ne savez rien faire avec vos impôts, pourquoi ne pas nous  les rendre ?
 


Jeudi 19 Mars 2015 | Commentaires (0)

Impôts superflus ( pas d'investissement ), hausse significative des tarifs municipaux, emplois supprimés : avec le budget 2015, tous les Lovériens sont perdants ; la ville qui bougeait encore devient la ville qui dort ( vidéo )




Mardi 17 Mars 2015 | Commentaires (0)
A Louviers comme ailleurs, on ne baillonnera pas la République
A Louviers comme ailleurs, on ne baillonnera pas la République
L’aveu de faiblesse du maire devant le conseil municipal a été... retentissant.

Plutôt que de présenter les orientations budgétaires de la municipalité, il s’est livré à un interminable réquisitoire, accusant la municipalité précédente d'être la raison de son inaction, la cause de son impuissance actuelle ! Il a râbaché, 2 heures durant, les arguments de sa campagne électorale, donnant l'impression qu'il n'avait pas réalisé qu'il était désormais seul responsable, qu'il était élu et non éternel candidat.

Dire « c’est la faute des autres » est toujours un aveu de faiblesse, politique, managériale, personnelle. Et comment qualifier autrement que de faible l'attitude d'un maire qui veut priver du droit d'expression un opposant dont les arguments prennent l'ascendant sur l'assemblée ? On sait que François-Xavier souffre de son manque de charisme. De là à ternir son image en fuyant le débat et refusant la parole au leader de l'opposition... A Louviers comme ailleurs, la libre parole est le pilier central de la démocratie. A Louviers comme dans le reste de la France, on ne baîllonnera pas la République.



 

Car nous ne lâchons rien ! Il nous sera facile de démontrer que la municipalité, disposant d'autant d'argent que nous en avions pour créer des services et des équipements publics, n'a qu'une seule orientation claire : soumettre les Lovériens a une cure d'austérité sans précédent, supprimer des services et emplois municipaux, frapper les Lovériens au portefeuille par la hausse annoncée des tarifs municipaux. Sans baisse d’impôt, les Lovériens paieront plus pour moins de services municipaux.

 

Débordé par nos arguments, présentés de façon sereine malgré les attaques personnelles dont j'ai fait l'objet d'entrée de jeu, le maire a brandi l’arme des faibles : la censure, l’interdiction de parole pour l’opposition
Qui sème le vent récolte la tempête : il n'a récolté qu'un beau chahut. On ne peut dire « Je suis Charlie » et s’attaquer à la liberté d’expression au conseil municipal.

Personne ne m'empêchera de défendre le bilan de près de vingt ans où nous avons enrichi Louviers de nombreux services et équipements publics, bien concrets et bien visibles. Personne ne m'empêchera de dénoncer une municipalité qui précipite Louviers sur la pente du déclin.



 

Gag final :  affolé par sa déroute, mais se cramponnant à sa volonté de me baîllonner, le maire a sombré dans le grotesque, demandant à son directeur de cabinet de quérir la police municipale pour m'expulser de la salle !

Vous imaginez la scène ? La police évacuant un élu pour le faire taire !

Sauf que, malgré un interminable débat sur l'insécurité l’an passé, il n'y a pas de police municipale à Louviers après le coucher du soleil !

Le détail qui tue !


Jeudi 29 Janvier 2015 | Commentaires (3)

Priollaud a voulu jouer au plus malin avec les banques. Le retour de bâton est brutal. En ce début d’année, l’avenir de Louviers se dessine en sombres couleurs : le tour de vis financier et le déclin de notre ville iront de pair. Baisse des subventions aux associations, licenciements, suppression de primes au personnel, arrêt des projets de développement se conjuguent pour casser l’outil municipal, réduire l’animation de la ville, les services rendus aux Lovériens...


Priollaud a cru malin d'excuser son inaction par "un trou dans la caisse" imaginaire. Du coup, les banques ne veulent plus lui prêter
Priollaud a cru malin d'excuser son inaction par "un trou dans la caisse" imaginaire. Du coup, les banques ne veulent plus lui prêter
Le mouvement de hausse des tarifs municipaux va s’accélérer dans le prochain budget : les lovériens vont payer cher l’incapacité de la municipalité à piloter ses finances.

Pour justifier son inaction, le maire a cru malin de crier sur tous les toits qu’il avait trouvé un « trou dans la caisse ». Trou financier qui, selon lui, paralyserait l’action municipale.

Faux : depuis vingt ans tous les comptes annuels de Louviers ont été excédentaires. Le dernier budget avant l’élection de M.Priollaud s’est soldé par un excédent de 600 000 euros !

 Avec ce «  trou » imaginaire, le maire a cru trouver la bonne excuse pour ne rien faire… en faisant porter le chapeau à la municipalité précédente ! Il oublie que les banquiers ont l’oreille fine et savent lire un budget…
 

Le retour de bâton a été gravissime. M.Priollaud a perdu la confiance des banques.

Evaluant la crédibilité d’un maire qui semble confondre excédent et déficit, les banques ont refusé d’accorder à M.Priollaud les emprunts nécessaires pour boucler son budget.

En 2014, le maire n’a pu trouver qu’1,8 M d’euros de prêts bancaires. La moitié de ce qu’il escomptait, la moitié de ce dont la Ville a besoin. Du jamais vu depuis vingt ans, années durant lesquelles les banques ont toujours accordé, au plus bas taux, les emprunts dont la Ville avait besoin pour investir à long terme.

La spirale du déclin est bel et bien enclenchée. Car si les banques n’ont plus confiance dans la signature du maire, il devra tailler dans le vif : moins d’équipements pour Louviers, moins de services pour les Lovériens, moins d’employés. Des tarifs municipaux de plus en plus chers. Le mouvement est bien entamé, il va s'accélérer.

Ah ! la ville qui bouge, la ville où il fait bon vivre, c’était avant…
 


Lundi 26 Janvier 2015 | Commentaires (0)

Le torchon brûle entre Priollaud et le personnel municipal ! La cérémonie des vœux au personnel a été largement boycottée par les employés municipaux. Mais c'est loin d'être le seul signe d'une massive perte de confiance entre les élus et le personnel.


Le symbole de la suppression d'une prime coûtera plus cher à Priollaud que ne lui rapporte l'économie de bout de chandelle... sur le dos du personnel
Le symbole de la suppression d'une prime coûtera plus cher à Priollaud que ne lui rapporte l'économie de bout de chandelle... sur le dos du personnel
Les documents que nous publions proviennent de Jean Aymar, pseudonyme de plusieurs employés municipaux qui ont soutenu ouvertement la candidature Priollaud... et qui s'en mordent les doigts aujourd'hui !

Pour le nouvel an, l'ambiance est à la fête, franche et joyeuse !
Pour le nouvel an, l'ambiance est à la fête, franche et joyeuse !
Dès le mois de juin, pour le personnel, la cause est entendue : le maire n'est pas fiable, ses promesses ne seront pas tenues. Pour l'encadrement, la perte de confiance est plus lente. Mais aujourd'hui, ils se rendent à l'évidence : Priollaud fait ce qu'il ne faut surtout pas faire en termes de management : passer par dessus la tête des cadres, ne pas soutenir leurs décisions, pour maintenir l'illusion d'un maire arbitre entre le personnel et son encadrement... Un encadrement auquel il ne reconnait aucune compétence, clamant partout que ses élus allaient leur apprendre le métier. Un encadrement horrifié par sa décision de créer un syndicat "maison" composé d'une poignée d'affidés du maire. C'est la voie la plus sûre pour casser un outil municipal en revenant aux pratiques de l'époque Proust.
 

Dès l'automne, l'absentéisme d'un personnel démotivé explose. ( Lire ici ).
La suppression des heures supplémentaires porte un rude coup à ceux qui doivent être disponibles tout le temps... Et la mesquinerie de la suppression de la prime versée par la Ville aux retraités fait déborder le vase : une maigre assistance, traïnant les pieds, assiste aux voeux du maire, qui , dans l'affolement, fait appel au personnel mobilisé pour servir la galette des rois. Ils doivent abandonner leur poste pour gonfler l'effectif présent lors du discours du maire...
Le maire aura beau multiplier les déclarations d'amour à son personnel, ce dernier sait bien qu'en ce domaine, l'amour n'existe pas sans preuves d'amour autres que de belles paroles...

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