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Louviers
Une forte mobilisation pour préparer l'avenir
Une forte mobilisation pour préparer l'avenir
Lancer un appel à la date du 18 juin, c’est forcément un clin d’œil, un sous-entendu, une allusion à une autre histoire. Qu’’on se rassure : nous ne sommes pas mégalos au point de faire référence à la geste gaulliste et à l’histoire de France, mais bien à l’histoire de Louviers, ce 18 juin 1995 qui vit le rassemblement de la gauche mettre fin à l’ère désastreuse où Louviers a vécu sous la baguette de la droite extrême, la municipalité UMP d’Odile Proust.

Le 18 juin est un symbole de reconquête. Et l’appel que nous lançons aux Lovériens est celui de la reconquête de leur ville sur un maire démolisseur, un appel pour reconstruire l’avenir après l’ère de déclin qui s’annonce.

En soixante jours, la municipalité a déjà mis une croix sur la rénovation attendue de l’Ecole Jules Ferry, la construction d’un nouveau gymnase attendu par les jeunes du Quartier Maison Rouge. Louviers Plage se réduit comme peau de chagrin et la réforme des rythmes scolaires se fera contre l’intérêt des enfants. Un maire démolisseur a succédé à un maire bâtisseur.

La première urgence est donc de défendre l’élan et le bilan donné à Louviers par la précédente municipalité. Ensuite de préparer l’alternance, en espèrant que le contexte national, qui nous a fait perdre cette élection sera plus favorable aux forces du progrès et de la justice sociale.

L’association que nous fondons aujourd’hui est l’instrument de la reconquête.  Nombreux sont les jeunes talents qui se sont révélés durant la campagne électorale, ils seront le fer de lance de la reconquête. Mais tous les Lovériens qui veulent nous aider à protéger l’acquis, à préparer la suite sont invités à nous rejoindre.

Ce qu’une élection démolit, une élection peut le reconstruire. Nous nous mobilisons pour construire l’avenir. Allez Louviers !

Vous pouvez adhérer à l'association en ligne, en cliquant sur la page d'accueil !






Dimanche 22 Juin 2014 | Commentaires (0)

Elu par surprise, à la faveur de la vague anti-Hollande, monsieur Priollaud est un débutant. Personne ne peut le lui reprocher. Mais il n'a pas l'habitude d'avoir une opposition qui connait mieux que lui les dossiers lovériens.
Du coup, c'est la débandade, la panique. Ne pouvant réfuter nos arguments exposés dans Allez Louviers, il s'adresse à la presse pour enfumer les Lovériens... en prétendant leur dire la vérité.
La vérité, c'est qu'il arrive parfois à M. Priollaud de dire la vérité. Mais pas que... Et pas tout le temps. Et comme il change d'avis souvent, sa vérité change aussi et « le-maire-qui-dit-la-vérité » se dément lui-même, sans que l'opposition ait besoin de le faire. Etonnant, non ? Tenez, sur le dossier des rythmes scolaires...


A la rentrée 2014, avec le projet Priollaud, bonjour la fatigue !
A la rentrée 2014, avec le projet Priollaud, bonjour la fatigue !
En concertation avec l'Education Nationale et les parents d'élèves, la municipalité précédente a préparé, pendant plus d'un an, un projet particulièrement attentif à l'épanouissement de l'enfant, en accord avec l'essentiel d'une réforme qui vise d'abord à améliorer la régularité du rythme scolaire et surtout raccourcir le temps de travail quotidien de l'écolier.

« Trop cher ! », a décrété le nouveau maire, qui l'a mis directement à la poubelle, en expliquant au conseil municipal qu'il n'y avait pas assez d'argent pour le financer.

Sauf que... contraint par la loi de présenter un autre projet éducatif pour la rentrée 2014,  il a bricolé à la hâte un montage qui ne tient aucun compte de l'intérêt de l'enfant. Plusieurs conseils d'école ont voté non à ce projet, qui accentue l'irrégularité du rythme scolaire en regroupant les nouvelles activités sur 2 après-midi. Et qui ne raccourcit en rien la journée de l'écolier. Quand à la concertation avec l'Education nationale : zéro pointé.

Vidé de tout sens, fraîchement accueilli par la communauté éducative, le projet Priollaud est-il économe ?

Que nenni : il coûte plus cher que le précédent !

Le maire-qui-dit-la-vérité ( mais pas que... et pas tout le temps ) fait donc volte-face : aujourd'hui il dit qu'il y a de l'argent pour financer les rythmes scolaires et même... plus d'argent que ne demandait le projet précédent.

La vérité d'avril n'est plus la vérité de mai et sûrement pas celle du compte administratif. Il y avait de l'argent pour financer un excellent projet. On gaspillera autant et plus pour financer un mauvais projet. 

Avec Priollaud, la logique politicienne - démolir coûte que coûte les projets de la précédente municipalité - prend toujours le pas sur le bon sens et la bonne gestion. On veut bien croire Monsieur Priollaud, mais on ne sait pas bien quand on peut le croire. Surtout lorsque le maire-qui-dit-la-vérité se dément lui-même... un mois plus tard.

A suivre... et lire aussi le point de vue d'Yves Valin, inspecteur de l'Education Nationale, sur les rythmes scolaires à Louviers


Dimanche 22 Juin 2014 | Commentaires (1)
Copier n'est pas jouer ! Priollaud vit sur l'élan donné par Franck Martin. Pour combien de temps ?
Copier n'est pas jouer ! Priollaud vit sur l'élan donné par Franck Martin. Pour combien de temps ?
180 électeurs ont mis des copieurs à la place des créateurs, des démolisseurs à la place des bâtisseurs. Leur devise : " De l'avenir, faisons table rase !" Alors on supprime le projet de l'équipe Jules Ferry, le projet de gymnase futsal, on massacre Louviers Plage, la réforme des rythmes scolaire etc.Le pari de Priollaud est que les Lovériens seront trop nuls pour s'en rendre compte,  jusqu'en 2020. Mais en attendant, il faut bien amuser la galerie... en enfilant les habits de leurs prédécesseurs.

Ces dernières semaines, disons-le : les nouveaux élus nous ont bien fait rire ! Du festival de jazz  à la a jubilation  qui ne rigolerait copieusement du spectacle qu'ils nous donnent ? De la jubilation éclatante, la gourmandise de nouveaux riches avec lesquels la bande à Lolo se pavane et s'autocongratule en s'appropriant tous les événements et animations mis en place par la municipalité précédente ?


Mais le nouveau maire va trop loin en affirmant effrontément que sa "marque de fabrique" sera la concertation avec la population.

Difficile d'être plus méprisant envers la mémoire et l'intelligence des Lovériens. Ils savent bien que, dès 1995, Franck Martin mettait en place un système de démocratie participative innovant, sans équivalent dans l'Eure. Au fil du temps, la pratique de l'écoute et du dialogue lors des réunions des quartiers de Louviers a été copiée dans toutes les villes de l'Eure, de Bernay à Evreux, Pont-de-l'Arche et même Val-de-Reuil.

L'un des premiers actes de Priollaud a été de s'attaquer à la mémoire de cette démocratie participative à Louviers en mutant, sèchement et sans "concertation", la fonctionnaire chargée de ce secteur.

Certes, Louviers a connu une période de quasi-dictature municipale, où tout se décidait dans le bureau du maire. Aucune rencontre, encore moins de concertation avec la population : c'était l'époque d'Odile Proust, dont plusieurs colistiers font aujourd'hui partie de la "bande à Lolo". Difficile de leur faire confiance, tant est différente la conception de la concertation entre la droite lovérienne et nous.

L'arrivée de l'équipe Martin s'est signalée par la mise en place d'un système cohérent de participation de la population aux décisions municipales. D'abord, les réunions de quartiers, en présence du maire, de la municipalité et des services municipaux sont organisées. Depuis 1995, plus de 250 réunions de quartiers au compteur de la démocratie locale ! On n'a pas attendu monsieur Priollaud !

La population a également été conviée à participer aux "visites de quartier", déambulation des élus, accompagnés des services techniques de la Ville, sur un itinéraire comportant de nombreux points de rendez-vous avec les gens du quartier lors d'étapes dont l'horaire et la situation étaient distribuées dans les boîtes à lettres.

Outre la place d'un conseil municipal des jeunes, la démocratie participative à Louviers a donné aux citoyens le moyen d'élaborer et de mettre en place des projets de quartiers grâce aux quatre commissions de quartier, lieu d'échanges féconds entre la population et les élus. Bilan : depuis l'arrivée de Priollaud, elles ne réunissent plus.

Dans le cadre de la concertation avec les élus, les habitants de Maison Rouge ont fait 100 propositions. Que vont-elles devenir ? La plus importante, celle du gymnase dédié au futsal a été écartée par Priollaud. Sans aucune concertation...
Dans le cadre de la concertation avec les élus, les habitants de Maison Rouge ont fait 100 propositions. Que vont-elles devenir ? La plus importante, celle du gymnase dédié au futsal a été écartée par Priollaud. Sans aucune concertation...
A Maison Rouge, Priollaud parle de "marque de fabrique", Franck Martin a fait " La Fabrik", ouverte à tous les habitants du quartier.
Dès le lancement de l'ORU de Maison Rouge, Franck Martin répétait que cette ORU n'était pas affaire de béton, mais de participation de la population du quartier à l'élaboration du projet. Outre de nombreuses réunions publiques de présentation et discussion collective du projet,  gràce à l'ouverture de La Fabrik, permanence d'écoute, de dialogue, d'information, la population du quartier a pu participer à des Ateliers Urbains, animés par un cabinet de sociologues.

De cette concertation sont nés un film, une maquette du quartier et surtout plus de cent propositions de transformation du quartier, définies par les habitants hors la présence des élus, mais validées par la municipalité. Que deviendront ces projets ? Maison Rouge craint le pire, depuis que la plus importante des demandes présentées par les jeunes du quartier, la construction d'un gymnase dédié au futsal, a été écarté, dans le secret et sans concertation, par le nouveau maire, qui se garde bien de demander à la population si il faut supprimer le gymnase futsal-haltérophilie.

La concertation selon Priollaud consiste à rencontrer ceux qui sont d'accord avec lui pour, sans se soucier de rencontrer les principaux intéressés. Lorsque nous avons tenu une réunion de quartier aux Monts autour du projet de construction de logements pour trois familles de gens du voyage, nous avons bien entendu invité aussi les gens du voyage, principaux intéressés.
Pour Priollaud, les gens du voyage sont des citoyens de seconde zone, qui n'ont pas les même droits que les autres et qui ne méritent que la ségrégation, la relégation.  Il les a donc exclu du quartier des Monts. Sans même les informer, ni prendre contact avec leurs représentants. Belle concertation.

Car la vraie marque de fabrique de Priollaud, c'est l'hypocrisie pateline avec laquelle... il prend les gens pour des imbéciles. Aujourd'hui, il se pare des plumes du paon, copie son prédécésseur, mais l'heure sonnera bientôt où, comme dans le conte de notre enfance, les habits neufs de l'empereur ne suffiront pas à masquer le vide de ses promesses..


Dimanche 15 Juin 2014 | Commentaires (0)

Allez Louviers N° 1 est paru...
Qu'on se le dise et... qu'on le lise !
Vous êtes invités à l'assemblée générale de l'association Allez Louviers, salle de quartier du Clos Morlet, le 18 juin à 18 heures 30


Pour la reconquête de Louviers : venez tous à l'AG d'« Allez Louviers ! »

Pour la reconquête de Louviers : venez tous à l'AG d'« Allez Louviers ! »

Pour la reconquête de Louviers : venez tous à l'AG d'« Allez Louviers ! »

Pour la reconquête de Louviers : venez tous à l'AG d'« Allez Louviers ! »


Jeudi 12 Juin 2014 | Commentaires (0)

La municipalité a mis à la poubelle le projet de réforme des rythmes scolaires à Louviers préparé par la municipalité précédente. Le projet éducatif territorial de Louviers avait été remarqué et salué par l'Education nationale comme un projet visant l'excellence... Le maire tente de mettre en oeuvre un bricolage flou, fraîchement accueilli par les parents et les professeurs... Yves Valin, inspecteur de l'éducation nationale en retraire, nous livre son point de vue.


Rythmes scolaires à Louviers : le point de vue d'Yves Valin
La raison de la mise en place de la réforme tient à plusieurs constats.
D’abord un constat d’échec grandissant de nos élèves, un maître mot : fatigue. Les comparaisons
avec les élèves des autres pays européens ne sont pas à notre avantage. Depuis plus de 30 ans, les ministères successifs (de droite comme de gauche) se sont penchés sur ce problème sans trouver de solutions ou pire, sans oser les mettre en place.
L’analyse de cet échec met en évidence une grande fatigue de nos élèves, de nos enfants donc, liée à la longueur des journées de classe souvent additionnées des garderies du matin et de celles du soir. Et puis comme on souhaite le meilleur pour nos bambins, nous y ajoutons les activités sportives et autres culturelles. Gardons cette première idée à l’esprit.


Ensuite un constat lié à l’irrégularité dans l’organisation de la semaine, un maître mot : régularité.
On a pensé pour diverses raisons très éloignées de l’intérêt des enfants et que je ne développerai pasici, qu’il y avait nécessité de placer une coupure dans la semaine. De façon arithmétique, on l’a placé en milieu de semaine, le jeudi ; puis le mercredi quand le samedi s’est allégé.
Or, rien ne perturbe plus un enfant que les coupures dans son rythme de vie. Les enseignants peuvent en dire long sur la remise en route du jeudi matin. L’alternance 2 jours de classe, un jour de coupure, deux jours de classe, puis 2 jours de week-end est la pire situation jamais vécue sur le plan des apprentissages.
Puis un constat lié à l’équilibre des activités quotidiennes. L’équilibre entre ce qui est du domaine des apprentissages et ce qui est du domaine du péri-éducatif, des loisirs est primordial. La régularité doit être quotidienne. Cette équilibre associé à la régularité de l’action positive et renforce les apprentissages.

Enfin complémentarité. La journée de l’enfant, n’est pas un saucissonnage, une tranche d’école, une tranche de loisir, une tranche de sommeil. C’est un ensemble, un tout où il doit trouver équilibre et complémentarité. C’est pour cela qu’il est important que les différents acteurs, parents, enseignants, éducateurs, animateurs travaillent ensemble à la mise en place de journées, semaines équilibrées
autour de projets communs qui fassent sens pour l’enfant ?
C’est autour de toutes ces valeurs essentielles, régularité, équilibre, complémentarité journalier et hebdomadaire que la réforme a été réfléchie. On peut bien sûr, déplorer qu’il faille réforme là où bon sens devrait suffire. Mais le bon sens ne va plus de soi dans notre société et nos enfants en font les frais. Cette mise en place a un coût, bien sûr, mais il est à la hauteur de l’enjeu : la réussite pour tous.

Alors que penser de ce fameux allègement dans lequel s’engouffrent tous ceux qui veulent un moindre coût à cette mise en place ou qui ont freiné des quatre fers pour des raisons souvent partisanes ? Que penser du regroupement des activités péri-éducatives sur une demi-journée qui plus est, si elle est placée en toute fin de semaine ?
Du coup quelle différence y aura-t-il entre avant et maintenant, si ce n’est que d’un coup de baguette magique on aura déplacé les temps de l’enfant, non pas pour l’enfant, son mieux être et sa réussite mais pour des raisons matérielles et pratiques.
Louviers semble s’installer dans cette pauvre « dynamique » faisant fi des intenses réflexions qui ont mené à la construction d’un projet sérieux, construit et réfléchi.

Le premier acte public de la première adjointe a été de s'octroyer une indemnité deux fois supérieure à celle que touchait son prédécesseur. Après avoir assisté au conseil municipal, une jeune lovérienne nous envoie cet article. Simone Ferchal est choquée, non parce qu'Anne Terlez cumule les mandats et les indemnités, mais parce que 20% des électeurs ont voté pour une candidate qui disait refuser tout cumul ! Ils sont cocus.


Souvent Anne Terlez varie... Le point de vue de Simone Fechal
La nouvelle municipalité a voté le montant des indemnités pour les élus. En soi, rien de choquant. Comme rappelé par Franck Martin lors du dernier conseil municipal, l'indemnité permet l'accès à la vie publique de citoyens souhaitant s’investir qui ne pourraient pas le faire au détriment de leur emploi et de leur ressources. Avec Franck Martin, tous les conseillers percevaient la même indemnité. Avec la droite, on rétablit une hiérarchie inégalitaire, rien de surprenant.

Là où l’on est davantage surpris, c'est face à l'incohérence qu'il existe entre les affirmations d'Anne Terlez pendant la campagne, qui reprochait aux élus de vouloir faire de la politique un métier, et le choix de doubler ses indemnités par rapport au maire-adjoint précédent (1349 euros comme adjointe au maire et 784 euros comme vice-présidente à la CASE). Son activité politique devient donc un métier puisque elle devient le fruit principal de ses ressources.

Pour réponse, Mme Terlez explique que travaillant à la MDPH (Maison Départementale des Personnes Handicapées), elle peut prendre une disponibilité. Autrement dit, si demain elle n'est plus élue, aucune inquiétude, ni peur du lendemain : elle reprendra son emploi sans problème. Elle ajoute avec une certaine indécence "la différence entre vous et moi, M. Martin, c'est que je n'ai pas besoin de ça pour vivre."

Effectivement, c'est un avantage que n'ont pas les personnes exerçant dans le privé qui ne peuvent pas quitter leur emploi au risque de se retrouver en culotte courte le jour où elles ne sont plus élues. Certains élus choisissent néanmoins de quitter leur emploi. A leurs risques et périls : après leur mandat, ils se retrouveront demandeurs d'emploi, sans possibilité de ressources (pas d'allocation chômage ou équivalent pour les élus)!


Ernest Martin en compagnie de François Hollande, musée de Louviers
Ernest Martin en compagnie de François Hollande, musée de Louviers
Pour ceux qui ont croisé son chemin, ceux qui souhaitent lui rendre un dernier hommage, la cérémonie civile aura lieu lundi 3 février à 11 heures, salle du Moulin à Louviers.


Lundi 27 Janvier 2014 | Commentaires (3)
Louviers : un tarif de rêve pour la nouvelle piscine !
La nouvelle piscine CASEO sera incomparablement plus agréable que l'ancienne et offre, avec cinq bassins, des toboggans, l'espace soins du corps, fitness...etc.

Les tarifs de cette nouvelle piscine CASEO ont été fixés par l'exploitant, en accord avec la CASE et seront valables sur l'ensemble des communes de l'agglomération.

Sauf à Louviers, où j'ai décidé de maintenir les anciens tarifs de la piscine Plein Soleil. La ville paiera à l'exploitant la différence entre le tarif CASE et le tarif Louviers. Les Lovériens bénéficieront d'un tarif de rêve...

Ajoutons que le club de natation bénéficiera de 30 % de plages horaires en plus... au prix d'un effort financier considérable de la Ville.
Que le fête - nautique - commence ! Ouverture : 28 février 2014



2,10 euros pour les enfants, 2,90 pour un adulte, qui dit mieux ?
2,10 euros pour les enfants, 2,90 pour un adulte, qui dit mieux ?


Jeudi 23 Janvier 2014 | Commentaires (20)

Sur mon Bloc Notes du 6 décembre 2013, j'écrivais ceci :


Archives : Une place de Louviers portera le nom de Nelson Mandela
DECES DE NELSON MANDELA

Le monde entier est en deuil… A l’annonce de la mort de Nelson Mandela, comme des milliards d'hommes et de femmes dans le monde, je suis submergé par une grande tristesse.

Héros de la lutte anti-apartheid, icône universelle, Nelson Mandela était et restera un magnifique exemple pour l’humanité, un modèle de sagesse dont nous devons tous nous inspirer, à quelque échelle que nous soyons, pour rendre le monde meilleur.

Plus encore qu’un combattant de la liberté, il était un défenseur acharné de l’égalité, un symbole de la fraternité… sans aucun doute, un des meilleurs êtres humains de notre
temps.

C’est pourquoi le conseil municipal de Louviers, lors de sa prochaine séance le 16 décembre, rendra hommage à « Madiba », à cet homme au si grand cœur, en décidant de baptiser une rue ou une place de Louviers : place Nelson Mandela.


Vendredi 6 Décembre 2013 | Commentaires (0)
Les 5 logements de la Villa Calderon accueillent des femmes et des familles à la rue. L'opposition a voté contre la Villa Calderon, râlant contre : " Une dépense de prestige". A vous de juger
Les 5 logements de la Villa Calderon accueillent des femmes et des familles à la rue. L'opposition a voté contre la Villa Calderon, râlant contre : " Une dépense de prestige". A vous de juger
Au coeur de la lutte contre les violences faites aux femmes, le centre social Pastel organise une marche dans Louviers, en relais de la journée nationale de mobilisation. Centré sur la parentalité, le travail du  centre social municipal l’amène au premier rang, sur le terrain de la lutte contre les violences intra-familiales. Le centre Pastel est un élément du réseau mis en place par la ville pour repérer, conseiller, accueillir les victimes de violences familiales.

Composée de 5 médiateurs, une équipe de médiation sociale composée de 5 médiateurs sillonne le terrain, à l’écoute du "bruit social" fait par les violences intra-familiales. Lorsqu’un cas est repéré, la mission des médiateurs est d’ouvrir le dialogue, de conseiller les victimes, de les orienter vers une prise en charge par les services sociaux de Louviers ou du département de l'Eure. De même, le département de l’Eure co-finance avec l’Etat un poste d’assistance sociale dans les locaux du commissariat. Dès le dépôt de plainte, les femmes battues y trouvent une oreille pour l’écoute, une main pour guider…

Les violences familiales obligent les victimes à quitter le domicile familial pour fuir le danger.  La Ville de Louviers a aménagé 4 logements d’urgence, rue Saint-Jean. Les détracteurs de la Villa Calderon ne le disent jamais : les 5 appartements de cette maison-relais, sont également loués par l’Etat, pour réinserer des familles ou des femmes seules… On est loin d’une dépense de prestige ! Comme dans bien des domaines, certains parlent de la violence faite aux femmes, pendant que votre Ville agit. Bravo Louviers !

Violences faites aux femmes : Louviers agit


Lundi 25 Novembre 2013 | Commentaires (0)
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