Tous à vos plumes!
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PHOTOS 2006/2007
PASCALE *****
29/01/2006
Ecrire un texte à partir de l’incipit suivant :
« écrire pour moi c’est . . . »
Ecrire pour moi, c'est . . . c'est . . . c'est magique ! C'est dire et redire. Noircir une feuille de mes tourments sans que jamais elle ne se plaigne. Elle ne me juge. Elle ne s'inquiète aussi. Parce qu'à quoi bon en fait ? Personne ne peut plus pour moi que moi-même ! Alors j'écris. Et comme dit ma belle soeur, Pascale n'est pas embêtante, c'est un peu comme les enfants : tu lui donnes une feuille et un crayon et tu as la paix pendant deux heures ! J'ai ri à cette provovacation. Aurais-je du plutôt me poser la question : suis-je si bavarde qu'elle ne veuille me faire taire ?
Je sais que non ! Ma belle-soeur m'adore ! Ecrire est un sixième sens. Est-ce la main qui tient le stylo ? Est-ce le cerveau qui guide la main ? Ou est-ce l'inverse ? N'est-ce pas le stylo plutôt qui de la table sur laquelle il repose nargue la main qui soudain, ne pouvant résister, se jette sur lui, s'en empare et envoie quelques mystèrieux signes au cerveau là-haut, qui lui, continue de penser qu'il est le chef suprême ? Tu parles ! Mon cerveau se fait bien avoir ! Mais comme mon stylo parle un langage inconnu, aucun scientifique au monde n'a encore pu le percevoir. Moi si ! Mon stylo me parle, me nargue, se rit de mes efforts. Puis il s'adresse à vous, vous taquine, vous émeut parfois, et tout cela sans le moindre signe de vie. Et pourtant il existe ! Mine triste, mine gaie, mine usée, en autiste ou au spectacle, il va, vient, virevolte sans jamais se retourner ou si peu. S'il hésite, il y a danger. C'est qu'il s'interroge alors sur sa légitimité ! Sera-t-il suffisamment concis, clair, élégant ? Ou deviendra-t-il aussi narquois et égrillard que le petit dernier de la famille Reynols ?
En fait, il est tout cela à la fois. Tantôt émouvant, tantôt appliqué, tantôt sot, tantôt ennuyeux à mourir. Mais même s'il saute du coq à l'âne, il est pourtant toujours naturel, authentique. Jamais il ne se fige parce que le cerveau a beau dire, mais il sait ce qu'il fait ! Il se « fait du bien » ! Il n'est jamais à court sauf d'encre mais alors, un copain prend le relais.
La main qui le tient est ferme. Un peu hystèrique parfois le plongeant avec délice dans des délires littéraires le laissant tout pantois : « c'est moi qui aie écrit ça ? » Ben dis-donc ! Pas terrible . . . »
Le cerveau qui commande la main a depuis longtemps renoncé à commander le reste. Si la main veut écrire, qu'elle écrive cette idiote ! Elle finira bien par se fatiguer. Mais là, le cerveau tiendra sa vengeance, l'obligera à écrire encore et encore jusqu'à ce que le stylo demande grâce ! Car c'est bien lui le coupable en fait. Et ils sont des milliers à le narguer bien calés dans des trousses confortables. Il suffit d'entrer dans une librairie : des armées entières de stylos le regardent, encapuchonnés dans des uniformes de couleurs variées. Et ils sont là et crient : « prends-moi, prends-moi » comme de jeunes jouvencelles en mal d'amour !
Mais lui, le cerveau, des jouvencelles, il n'en voit point ! Que des stylos, des stylos, des stylos. . .
Alors il subit. Et laisse écrire la main qui continue à user des stylos, qui leur redonne vie à coups de cartouches colorées et inoffensives. Et le noir, le vert, le bleu, le rouge se répandent sur les carreaux bleutés juste avant que, enfin, il ne s'éveille et dise :
- « C'est bientôt fini ! Plus que 5 minutes. . .
La raison doit-elle laisser place à la passion ? Sans doute, parce qu'il va le dire. Oser interrompre un ballet pourtant magique. Briser dans leur élan 8 mains pourtant si hardies !
- Je vous . . . quelle horreur !
- Mais il le faut voyons ! Il est presque 17 heures !
- Je vous laisse encore une minute. . . pour . . . et puis stop !
C'était dur mais c'est fait oufffffffff. C'est qu'il s'en pose des questions mon cerveau aussi !!
Pascale jeu du 23/01/06
Ecrire un texte à partir de l'incipit suivant :
« écrire pour moi c'est . . . »
Je sais que non ! Ma belle-soeur m'adore ! Ecrire est un sixième sens. Est-ce la main qui tient le stylo ? Est-ce le cerveau qui guide la main ? Ou est-ce l'inverse ? N'est-ce pas le stylo plutôt qui de la table sur laquelle il repose nargue la main qui soudain, ne pouvant résister, se jette sur lui, s'en empare et envoie quelques mystèrieux signes au cerveau là-haut, qui lui, continue de penser qu'il est le chef suprême ? Tu parles ! Mon cerveau se fait bien avoir ! Mais comme mon stylo parle un langage inconnu, aucun scientifique au monde n'a encore pu le percevoir. Moi si ! Mon stylo me parle, me nargue, se rit de mes efforts. Puis il s'adresse à vous, vous taquine, vous émeut parfois, et tout cela sans le moindre signe de vie. Et pourtant il existe ! Mine triste, mine gaie, mine usée, en autiste ou au spectacle, il va, vient, virevolte sans jamais se retourner ou si peu. S'il hésite, il y a danger. C'est qu'il s'interroge alors sur sa légitimité ! Sera-t-il suffisamment concis, clair, élégant ? Ou deviendra-t-il aussi narquois et égrillard que le petit dernier de la famille Reynols ?
En fait, il est tout cela à la fois. Tantôt émouvant, tantôt appliqué, tantôt sot, tantôt ennuyeux à mourir. Mais même s'il saute du coq à l'âne, il est pourtant toujours naturel, authentique. Jamais il ne se fige parce que le cerveau a beau dire, mais il sait ce qu'il fait ! Il se « fait du bien » ! Il n'est jamais à court sauf d'encre mais alors, un copain prend le relais.
La main qui le tient est ferme. Un peu hystèrique parfois le plongeant avec délice dans des délires littéraires le laissant tout pantois : « c'est moi qui aie écrit ça ? » Ben dis-donc ! Pas terrible . . . »
Le cerveau qui commande la main a depuis longtemps renoncé à commander le reste. Si la main veut écrire, qu'elle écrive cette idiote ! Elle finira bien par se fatiguer. Mais là, le cerveau tiendra sa vengeance, l'obligera à écrire encore et encore jusqu'à ce que le stylo demande grâce ! Car c'est bien lui le coupable en fait. Et ils sont des milliers à le narguer bien calés dans des trousses confortables. Il suffit d'entrer dans une librairie : des armées entières de stylos le regardent, encapuchonnés dans des uniformes de couleurs variées. Et ils sont là et crient : « prends-moi, prends-moi » comme de jeunes jouvencelles en mal d'amour !
Mais lui, le cerveau, des jouvencelles, il n'en voit point ! Que des stylos, des stylos, des stylos. . .
Alors il subit. Et laisse écrire la main qui continue à user des stylos, qui leur redonne vie à coups de cartouches colorées et inoffensives. Et le noir, le vert, le bleu, le rouge se répandent sur les carreaux bleutés juste avant que, enfin, il ne s'éveille et dise :
- « C'est bientôt fini ! Plus que 5 minutes. . .
La raison doit-elle laisser place à la passion ? Sans doute, parce qu'il va le dire. Oser interrompre un ballet pourtant magique. Briser dans leur élan 8 mains pourtant si hardies !
- Je vous . . . quelle horreur !
- Mais il le faut voyons ! Il est presque 17 heures !
- Je vous laisse encore une minute. . . pour . . . et puis stop !
C'était dur mais c'est fait oufffffffff. C'est qu'il s'en pose des questions mon cerveau aussi !!
Pascale jeu du 23/01/06
Ecrire un texte à partir de l'incipit suivant :
« écrire pour moi c'est . . . »
Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 29/01/2006 à 21:13
LUCIENNE
28/01/2006
TENDRESSE : témoin, titre, émotion, écriture, notoire, notaire, domino, dérisoire, richesse, rire, écho, estomac, secret, surave, serpent, superbe, égoïste, engouement.
JOKERS : bleu, ciel, blanc.
C'est une journée ordinaire mais surprenante que vient de vivre une personne notoire conviée par un ami à servir de témoin chez un notaire de campagne.
Dans la salle d'attente un titre de journal attira son attention et la lecture de l'article lui permet de patienter.
Le notaire lit les formalités, fait corriger les écritures et signer tous les papiers.
En sortant un beau ciel bleu leur fait mal aux yeux.
Ils décident d'aller prendre un verre au café du village. En poussant la porte d'entrée une odeur suave leur caresse les narines. L'écho des conversations et de rires les accueille.
Ils prennent place, en attendant d'être servis, ils jettent un regard sur toute la salle. Ici un groupe joue à la belote, à côté d'autres font une partie de dominos en élevant parfois la voix sur le partenaire. Quel bonheur et quelle richesse de pouvoir tout simplement se réunir pour passer un moment à se détendre ! Les deux amis se regardèrent car ils n'avaient pas l'habitude de ces rencontres simples et conviviales. Ce moment de détente leur apporta un plaisir immense remplit d'émotions.
La porte s'ouvrait et se fermait par intermittence, la pendule sonna midi, les joueurs arrêtèrent leurs parties. Des ouvriers s'installèrent pour déjeuner. La patronne s'activait et chacun la saluait d'un petit mot ou d'une accolade.
Les deux amis commençaient à avoir faim, leur estomac se faisait sentir et ils demandèrent s'ils pourraient manger. Bien sûr ! Le repas simple arrosé par un vin blanc de pays leur rappela secrètement des souvenirs d'enfance. En sortant pour reprendre la route ils étaient enchantés.
Egoïstement ils apprécièrent cette décision et s'en félicitèrent.
La journée était vraiment superbe . La route serpentait à travers la forêt.
De retour chez eux, en se quittant après cette journée au départ dérisoire et banale, ils se promirent avec le même engouement de renouveler cette escapade.
Lucienne pour le 30/01/06
Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 28/01/2006 à 11:07
CHRISTIANE L. *
27/01/2006
TENDRESSE : témoin, émotion, notoire, domino, richesse, écho, secret, serpent, égoïste.
JOKER : bleu, ciel, blanc.
TENDRESSE :
Ce mot contient tout ce qu'une mère peut donner à son enfant. Et elle ne s'en prive pas depuis sa venue au monde. Comme une source inépuisable, elle distribue cette richesse jour après jour pour voir grandir cette part d'elle-même.
Que d'émotion en retour lorsque les jeunes bras s'accrochent à son cou et qu'un tendre baiser se pose sur sa joue dans un grand câlin. Dans le secret de son cour, elle bénit le ciel de cet instant magique.
Pourtant, que de nuits passées à veiller pour consoler, apaiser lorsque certaines fièvres le plongent dans d'horribles cauchemars de monstres, de serpents, Maman est toujours là pour rassurer.
Papa, qui s'inquiète aussi, se lève et se glisse doucement dans la chambre, témoin discret de la présence apaisante de Maman.
Et qu'il est heureux ce Papa à l'heure du jeu avec son enfant, moment de complicité, d'échange, simplement avec des cubes de diverses couleurs, bleus, vert, jaune, blanc et des dominos. Des cris de joie fusent dans la maison et reviennent en écho dans les oreilles de Maman.
Tous ces sentiments de bien-être, c'est connu comme un fait notoire, sont vécus par tous les parents avec leurs enfants. Et il arrive parfois qu'en devenant adultes certains enfants se comportent en égoïste après avoir tant reçu.
Ainsi va la vie, donner sans retour. . .
Christiane L. pour le 30/01/06
Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 27/01/2006 à 20:57
LUCIENNE
27/01/2006
Mots à insérer :
JOURNAL : joueur, jeunesse, onde, oubli, utopie, union, raison, rêve, nécessaire, néant, attente, altier, lumière, ludique.
JOKERS : Noël, eau, jour.
A la radio les informations, la musqiue et les jeux se succèdent. les joueurs participent pour gagner les vacances de leurs rêves, des places de concerts, des livres ou des objets plus ou moins ludiques. Mais bien sûr parfois les attentes sont vite réduites à néant par une mauvaise réponse.
La télévision nous montre autre chose dans le journal, ils essayent de faire la lumière sur certaines unions douteuses entre pays ou partis politiques. Ici ou là nous voyons la jeunesse qui manifeste et parlemente avec les policiers et les élus en exposant ce qu'il leur parait nécessaire en priorité. Quel contraste entre ces personnalités au port altier qui traversent ces quartiers sombres ou ces endroits sinistrés! En période de Noël c'est triste de voir distribuer des cadeaux, du ravitaillement ou tout simplement de l'eau. . .
Lucienne pour le 23/01/06
Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 27/01/2006 à 19:18
CHRISTIANE L. *
23/01/2006
« Les meilleures choses ont une fin »
Petits meurtres sans importance..
Faire mourir ses personnages est une activité sans risque. Vous pouvez choisir d’assassiner votre percepteur, un agent de la circulation trop zélé, peu importe.
Ecrivez une « belle » mort que votre personnage commettra par cupidité, passion …
Ecrivez ce texte à la première personne afin de bien vous mettre dans la peau du personnage.
L’écriture à la première personne peut aider à passer de l’autobiographie à la fiction.
Je suis trop vieux et malade, je gêne, voilà des semaines que j'entends cette conversation sous mon feuillage, ho ! J'ai bien reçu des visites, des mains expertes sont venues tester mon tronc bien malade. Je sais, une vermine me ronge sur tout le côté, je laisse tomber des branches qui n'ont plus vie, j'ai de plus en plus de mal à faire circuler la sève, je fais un peu pitié, on me dit que je suis dangereux. . .
Mais j'ai encore envie de vivre, bien que centenaire, j'aime les saisons qui m'accompagnent. Ah ! le printemps, je bourgeonne de plaisir et l'été, quand le soleil chauffe la terre et la brûle, il fait si bon sous ma frondaison. . .
Mais voilà ! qui à eu l'idée de construire une route juste où j'ai fixé mes racines depuis si longtemps ?
Puisque tout a une fin, jevais me faire à l'idée de disparaître, les tronçonneuses peuvent venir me débiter, jesais que je finirai dans un bon feu de cheminée, que toute la famille sera réunie devant ces belles flammes, j'apporterai la joie dans les longues soirées d'hiver.
Christiane le 16/01/06
Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 23/01/2006 à 23:46
LUCIENNE
23/01/2006
MARIE : merci, mignon, absent, aventure, regard, rire, ingénu, intense, eclat, expédition.
JOKERS : jour, bleu,
Marie,
Je t'expédie ces quelques photos en souvenir de notre expédition des dernières vacances.
J'aime beaucoup les regarder. Elles reflètent bien les aventures que nous avons vécues aussi intensèment. En ton absence elles me remèmorent ces belles journées et je vois avec plaisir les paysages magnifiques sous ce ciel très bleu.
Ma mignonne petite chérie, merci de venir remplir des moments de ma vie par tes éclats de rire et ta compagnie. Ne change rien à ta façon d'être, garde toujours ta bonne humeur et ta joie de vivre, ton sourire ingénu me remplit de bonheur.
Je t'embrasse.
Ta grand-mère.
Lucienne pour le 16/01/03
Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 23/01/2006 à 20:29
PASCALE *****
23/01/2006
JOURNAL : joueur, jeunesse, onde, oubli, utopie, union, raison, rêve, nécessaire, néant, attente, altier, lumière, ludique.
JOKERS : Noël, eau, jour.
Pendant que son coeur veille
Sa raison s'émerveille.
De jeunesse envolée
Et de rêves égarés
Il vivait d'utopie
D'union pour une vie
Ignorant que la sienne
Autant qu'il s'en souvienne
Atteindrait le néant
Quand la mort en venant
L'oubliant sur le quai
Partirait sans regret
Emportant avec elle
Sa femme et leurs querelles.
Ah, comme il voudrait bien
Qu'elle le traite de païen,
De goujat, moins que rien
A cause de vieux patins
Sur des lames de bois
Désormais de guingois.
Colmme elle était altière
Dégageait de lumière
Dans ses yeux les éclats
Qu'elle lançait ça et là
Luisaient comme de vraies pierres!
Elle feignait la colère
Jouait avec ses nerfs
Comme des préliminaires
Devenus nécessaires.
Et le jour de Noël
Au fond de ses prunelles
Il lisait en rafale
Comme on lit le journal
Tant d'Amour dans ses yeux
Et tant de jours heureux.
Ah, comme il voudrait bien. . .
Mais il n'attend plus rien !
Au robinet la goutte
Tombe dans l'eau d'une soucoupe
Quand l'horloge chante un air
Aussi ludique que clair !
Tic tac tic tac tic tac
Lui traçant le chemin
Le menant à demain
Tic tac tic tac tic tac
Permets donc à ma main
D'apaiser ton chagrin. . .
Pascale pour le 23 01 06
Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 23/01/2006 à 20:18
PASCALE *****
23/01/2006
JOURNAL : joueur, jeunesse, onde, oubli, utopie, union, raison, rêve, nécessaire, néant, attente, altier, lumière, ludique.
JOKERS : Noël, eau, jour.
Plutôt que d'écrire un journal ennuyeux, je vais m'appliquer à jouer avecles mots ! Comme au temps de ma jeunesse, je griffonne quelques traits rapides sur une feuille en vue de les confier ensuite sur les ondes. Mais cette fois, j'oublierai mes utopies et pour que notre union soit parfaite, je privilégerai la raison au détriment des rêves et attendrai le temps nécessaire pour éviter le néant face à vous, incapable que je fus d'attendre la lecture du texte du jour. Car j'ai fauté : je l'avoue ! Altière, je suis venue déposer mon premier texte le soir même de notre dernière rencontre. A la lumière de ce que j'ai appris, j'ai compris que je serai bien unie : en effet, René et Valérie, mais sans doute beaucoup d'autres aussi, sont venus visiter ntre page, notre petit coin à nous. C'était un test ludique qu'ils ont passé haut la main. Comme devant un cadeau de Noël inattendu, je suis restée émerveillée devant vos lignes, aussi coulante qu'une eau céleste glissant sur des galets lissés par des jours et des jours de caresse.
Puis je me suis dis : tant pis pour toi ! Tu dois en faire un second. Et puis, tiens, pendant que tu y es, amuse-toi à mettre tous les mots dans l'ordre. C'est fait. Ce n'est pas de la grande littérature mais c'est fait. . . Et j'y ai pris un réel plaisir !
Pascale pour le 23/01/06
Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 23/01/2006 à 19:12
RENE
23/01/2006
Mots à insérer :
JOURNAL : joueur, jeunesse, onde, oubli, utopie, union, raison, rêve, nécessaire, néant, attente, altier, lumière, ludique.
JOKERS : Noël, eau, jour.
Parfum altier, je te nomme flacon de rêve
Comme le vieux Noël de ces tendres années
Comme le chevalier qui bataille sans trêve
Et les belles poupées à ces jeux destinées.
Parfum ludique, je t'appelle utopie
Comme le pur néant que la raison oublie
Comme l'union douce aux ondes de la nuit
Et l'extase des joies de chaque jour qui suit.
Parfum de lumière, tu es notre espoir
Comme l'eau d'une foi qui abreuve l'attente
Comme la jeunesse que l'on porte en sautoir
Et le journal d'amours qui ne s'envole au temps.
René pour le 23/01/06
Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 23/01/2006 à 19:09
VALERIE
Faire mourir ses personnages est une activité sans risque. Vous pouvez choisir d’assassiner votre percepteur, un agent de la circulation trop zélé, peu importe.
Ecrivez une « belle » mort que votre personnage commettra par cupidité, passion …
Ecrivez ce texte à la première personne afin de bien vous mettre dans la peau du personnage.
L’écriture à la première personne peut aider à passer de l’autobiographie à la fiction.
Bon courage, affutez vos couteaux hi hi hi. Et surtout, lâchez-vous! Pascale
Tu m'avais promis du bonheur, que du bonheur. D'ailleurs, on s'était uni pour le meilleur et pour le meilleur. C'est vrai qu'au début, j'ai eu droit à des bouquets de fleurs, des petits mots d'amour et des bisous tendres tous les jours.
Puis, ils sont devenus plus rares et ont été remplacés par des cris, des crises de jalousie, des insultes, de l'indifférence aussi.
Alors, aujourd'hui, tu vas payer pour toutes ces remarques perfides, tous ces coups que mon ego a du encaisser sans rien dire, en pleurant, sans le montrer.
D'abord, tu vas te rendre à une soirée entre copains, rire, boire, bien t'amuser puis aller danser avec eux et monter dans ta voiture pour rentrer chez toi avec une minette levée dans cette discothèque. Une fille quelconque, pas jolie, pas élégante ni franchement très futée, mais pour ce que tu envisageais de faire avec elle, son QI n'avait certes pas beaucoup d'importance. . .
Ensuite, grisé par la vitesse, tu vas accélérer, encore, plus vite, bien trop vite et quand tu verras le pot d'échappement qu'un autre véhicule aura perdu sur la chaussée, tu n'auras pas le temps de l'éviter. Tu perdras le contrôle de ton véhicule et tu seras éjecté de la voiture. Ton doux visage d'ange heurtera la chaussée, rebondira sur le macadam, se tordra de douleur. Ta tête pleurera des larmes de sang, par derrière et par-devant aussi. Tes yeux bleus ensorceleurs se fermeront juste après avoir eu le temps d'apercevoir la jeune femme qui t'accompagnait, le torse encastré dans la boîte à gants, les jambes fracturées et les lèvres baignées de sang.
Peut-être croiras-tu voir dans un des nuages éclairés par la lune mon visage resplendissant, heureux de pouvoir exprimer sa vengeance et toute la haine que j'aurai emmagasinée pendant ces longues années durant lesquelles j'étais ta victime, la chose sur laquelle tu avais tout pouvoir.
Je ne regretterai pas. Pourtant, je ferai appeler une ambulance pour que tu sois soigné le plus vite et le mieux qui soit. Et parce que ta fille a encore besoin de toi, salaud, tu auras cette fois-ci la vie sauve.
Valérie le 16/01/06
Voici un exemple parfait de ce qu'il ne faut pas faire (hi hi) sur le fond mais qu'il faut espèrer atteindre sur la forme : pas d'auto censure, pas de tabous, pas de peur du regard de l'autre : place à l'imagination débridée. Ce test était indispensable : il permet de cerner les difficultés de chacun par rapport à l'écrit et ... l'oral (affirmation de soi)
Puis, ils sont devenus plus rares et ont été remplacés par des cris, des crises de jalousie, des insultes, de l'indifférence aussi.
Alors, aujourd'hui, tu vas payer pour toutes ces remarques perfides, tous ces coups que mon ego a du encaisser sans rien dire, en pleurant, sans le montrer.
D'abord, tu vas te rendre à une soirée entre copains, rire, boire, bien t'amuser puis aller danser avec eux et monter dans ta voiture pour rentrer chez toi avec une minette levée dans cette discothèque. Une fille quelconque, pas jolie, pas élégante ni franchement très futée, mais pour ce que tu envisageais de faire avec elle, son QI n'avait certes pas beaucoup d'importance. . .
Ensuite, grisé par la vitesse, tu vas accélérer, encore, plus vite, bien trop vite et quand tu verras le pot d'échappement qu'un autre véhicule aura perdu sur la chaussée, tu n'auras pas le temps de l'éviter. Tu perdras le contrôle de ton véhicule et tu seras éjecté de la voiture. Ton doux visage d'ange heurtera la chaussée, rebondira sur le macadam, se tordra de douleur. Ta tête pleurera des larmes de sang, par derrière et par-devant aussi. Tes yeux bleus ensorceleurs se fermeront juste après avoir eu le temps d'apercevoir la jeune femme qui t'accompagnait, le torse encastré dans la boîte à gants, les jambes fracturées et les lèvres baignées de sang.
Peut-être croiras-tu voir dans un des nuages éclairés par la lune mon visage resplendissant, heureux de pouvoir exprimer sa vengeance et toute la haine que j'aurai emmagasinée pendant ces longues années durant lesquelles j'étais ta victime, la chose sur laquelle tu avais tout pouvoir.
Je ne regretterai pas. Pourtant, je ferai appeler une ambulance pour que tu sois soigné le plus vite et le mieux qui soit. Et parce que ta fille a encore besoin de toi, salaud, tu auras cette fois-ci la vie sauve.
Valérie le 16/01/06
Voici un exemple parfait de ce qu'il ne faut pas faire (hi hi) sur le fond mais qu'il faut espèrer atteindre sur la forme : pas d'auto censure, pas de tabous, pas de peur du regard de l'autre : place à l'imagination débridée. Ce test était indispensable : il permet de cerner les difficultés de chacun par rapport à l'écrit et ... l'oral (affirmation de soi)
Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 19/01/2006 à 14:03