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Le Revard
Désolée, j'ai eu un petit problème de temps... mais voilà enfin quelques atricles sur les 2 jours de Chambéry.
Pour la deuxième année consécutive, le club de Chambéry nous a offert deux journées magnifiques de CO lors des 2 jours de Chambéry rebaptisés « O’tomne en Savoie ». Et pour la deuxième année consécutive, un soleil magnifique a illuminé de ses rayons ces deux journées (Merci Patrice, t’es trop fort !!).
Au programme :
Une Moyenne Distance samedi après-midi à Cusy
Un sprint amélioré à Technolac le samedi soir
Une longue distance à Montbel le dimanche matin
La Moyenne du samedi après-midi fut un régal sur une carte signée Bruno HABERKORN avec une alternance de zones de prairies et de zones techniques avec des rochers magnifiques allant jusqu’à 10 m de haut (notamment « la pierre fendue » qui a donné son nom à la carte vaut vraiment le détour : pas mal le poste au milieu !!). Une belle bouffée d’oxygène et un beau tracé qui m’ont fait bien plaisir pour la reprise.
Ma course s’est bien passée, même si j’ai eu du mal à pousser sur les jambes à certains moments (mais c’est normal, elles s’étaient endormies pendant 2 semaines ½, et elles en avaient bien besoin !).Je suis passée au poste 15 avant le poste 2, mais cette petite faute d’attention ne m’a pas coûté très cher… Ensuite, j’ai eu quelques hésitations, comme dans toute course, mais j’ai fait une petite faute au poste 10, en me décalant vraiment trop sur la droite et en prenant un petit rentrant de rien du tout pour le prolongement du rentrant où devait se trouver mon poste. Je sentais bien que j’étais trop à droite, mais je suis montée jusqu’en haut pour être sûre. Je suis ensuite redescendue sur ma gauche (trop bas, dommage…) pour récupérer mon poste dans le bon mouvement de terrain. La zone de la 14 n’était pas facile, mais le gros rentrant avant le poste permettait de savoir où on en était. Restait ensuite à rentrer, et récupérer le poste 15 que je connaissais déjà…
Merci pour ce beau tracé, c’était très intéressant !
Pour la deuxième année consécutive, le club de Chambéry nous a offert deux journées magnifiques de CO lors des 2 jours de Chambéry rebaptisés « O’tomne en Savoie ». Et pour la deuxième année consécutive, un soleil magnifique a illuminé de ses rayons ces deux journées (Merci Patrice, t’es trop fort !!).
Au programme :
Une Moyenne Distance samedi après-midi à Cusy
Un sprint amélioré à Technolac le samedi soir
Une longue distance à Montbel le dimanche matin
La Moyenne du samedi après-midi fut un régal sur une carte signée Bruno HABERKORN avec une alternance de zones de prairies et de zones techniques avec des rochers magnifiques allant jusqu’à 10 m de haut (notamment « la pierre fendue » qui a donné son nom à la carte vaut vraiment le détour : pas mal le poste au milieu !!). Une belle bouffée d’oxygène et un beau tracé qui m’ont fait bien plaisir pour la reprise.
Ma course s’est bien passée, même si j’ai eu du mal à pousser sur les jambes à certains moments (mais c’est normal, elles s’étaient endormies pendant 2 semaines ½, et elles en avaient bien besoin !).Je suis passée au poste 15 avant le poste 2, mais cette petite faute d’attention ne m’a pas coûté très cher… Ensuite, j’ai eu quelques hésitations, comme dans toute course, mais j’ai fait une petite faute au poste 10, en me décalant vraiment trop sur la droite et en prenant un petit rentrant de rien du tout pour le prolongement du rentrant où devait se trouver mon poste. Je sentais bien que j’étais trop à droite, mais je suis montée jusqu’en haut pour être sûre. Je suis ensuite redescendue sur ma gauche (trop bas, dommage…) pour récupérer mon poste dans le bon mouvement de terrain. La zone de la 14 n’était pas facile, mais le gros rentrant avant le poste permettait de savoir où on en était. Restait ensuite à rentrer, et récupérer le poste 15 que je connaissais déjà…
Merci pour ce beau tracé, c’était très intéressant !
Céline DODIN
Rédigé par Céline DODIN le 18/11/2006 à 00:07
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place St Marc, Rialto sous le doigt de Pierre, lion de Venise
3024 participants... voilà le "peu" d'orienteurs qu'a réuni cette année la XXVII ème édition du Meeting International de Venise d'Orientation. La cité pédestre s'est vue pendant quelques heures envahie de coureurs de toutes langues, boussole et carte à la main, à la recherche des précieuses toiles blanches et oranges qui font leur bonheur dissimulées dans les étroites rues de la cité.
J’ai fait cette épreuve pour la première fois l’année dernière, je suis repartie pleine de souvenirs, et ça a vraiment été un plaisir d’y retourner. Outre la multitude de ponts à passer (ça fait du dénivelé à la fin, je vous assure !!) et le grand canal qui n’est traversable qu’en 3 points, il faut jouer en permanence avec les passants, anticiper leur trajectoire, voire éviter les rues fréquentées le plus possible en faisant des choix parallèles (c’est pire que du V3 : course impossible…). Venise recèle de nombreux mystères… seule règle à bord : il est interdit de prendre quelque moyen de locomotion… c’est vrai que la gondole et les « Vaporettos » sont très tentants parfois…
Pour me mettre dans le rythme après ma période de repos puis ma semaine relativement calme, j’avais choisi de prendre part à la course en ville « Park’O » qui se déroulait samedi après-midi. Cela a fait une très bonne répétition pour le lendemain, même si l’échelle (1/6000ème) n’était pas la même que celle de la carte du meeting (1/7500ème). Ma course s’est très bien passée, le tracé était sans grande difficulté dans la partie la moins technique de la ville. Mais le danger réside alors dans la vitesse de course élevée et la difficulté d’orienter de façon lucide à cette allure. J’ai juste eu une petite hésitation sur le trajet 4-5 (un des plus courts), due à quelques fractions de secondes de déconcentration qui m’ont fait perdre le fil de la course et douter sur le nombre de rues déjà traversées. Je termine 1ère du parcours long dame en 17’45 (3,3 km, 11 postes).
Le lendemain, c’est sous un soleil éclatant que j’ai pris le départ du XXVII ème meeting de Venise. Les berges sud de la ville étaient envahies de coureurs, et le départ n’était pas très dur à trouver. Au programme : 8,5 km et 22 postes (il manquait dans le descriptif le nombre de ponts : après les avoir comptés, je sais que mon itinéraire m’en a fait emprunter 53… dont deux au-dessus du grand canal, le Rialto et le pont de l’Académie : avec tout cela, il n’y a plus qu’à calculer le dénivelé).
Je n’ai pas trop de difficultés, j’ai une bonne vitesse de course jusqu’au poste à poste 10-11 où je vois que la rue de gauche ne passe pas bien et je m’enfile dans celle de droite. Le seul problème est que je suis obligée de revenir sur la première rue, donc je dois perdre un peu de temps.
Le poste à poste 11-12 offre le premier grand choix d’itinéraire. A droite le Rialto, à gauche le pont de l’Académie. Le dernier est beaucoup moins loin, et surtout la densité de piétons est beaucoup plus faible, donc je décide de partir vers la gauche. J’ai ensuite du mal à enchaîner et anticiper jusqu’au poste 13 où je fais beaucoup d’angles et où je m’arrête plusieurs fois pour m’assurer que je fais bien le bon choix. A posteriori, je pense que le choix était bon, mais je pers du temps à le réaliser en hésitant trop.
Trajet 13-14 : le choix par la droite semble être plus court. Je ne le vois pas en course.
Sur le trajet 16-17, j’hésite à un croisement de rue et je pars vers la gauche au lieu de continuer en face. La rue étant un peu décalée à droite, je ne la vois pas et je crois que je suis plus loin. Je pers un peu de temps à cet endroit.
Le poste à poste suivant m’emmène dans une des parties les plus touristiques de la ville. C’est une galère de slalomer entre les poussettes, les groupes et autres personnes qui flânent dans les rues de la ville. Je me suis engagée vers le Rialto par la rue principale qui semblait vraiment large, mais les passants occupaient toute la rue. Le choix par une rue parallèle aurait été meilleur. De même, après le pont que je prend à gauche car il y a moins de monde, je pars dans la grande rue tout droit, mais je suis vite confrontée à un « bouchon » qui me fait bifurquer pour avancer et complètement changer mon choix qui devient « zig zag » à travers les rues. Le choix par la droite est plus rectiligne et permet une plus grande vitesse de course.
J’ai ensuite enchaîné sans trop de fautes jusqu’au poste 21. Il ne restait plus que de la course, et c’est là que le H40 que j’avais rattrapé et qui me suivait depuis le poste 6 en a profité pour me doubler sans que je puisse rien faire… pas cool le mec !
Je termine 1ère de la course Dame Elite en 55’18, 2 minutes devant la 2ème.
Merci à Bastien, Pierre et Manu pour ce WE très sympa, avec de bons fous rires en souvenirs !
NB : ma bouteille de Badoit de 30 cl n’aura pas résistée au retour aux règles draconiennes qui sévissent maintenant dans les aéroports… elle a pourtant été d’une aide précieuse lors de nos marches interminables à arpenter les rues de la cité des eaux… Par contre, je n’ai pas résisté à l’appel d’une dernière pizza monstrueuse juste avant de passer les contrôles et… celle-ci les a passé sans difficultés, après un regard intéressé du contrôleur qui a hésité à la scanner aux infrarouges. Je trouve qu’il y a du favoritisme quelquepart…
J’ai fait cette épreuve pour la première fois l’année dernière, je suis repartie pleine de souvenirs, et ça a vraiment été un plaisir d’y retourner. Outre la multitude de ponts à passer (ça fait du dénivelé à la fin, je vous assure !!) et le grand canal qui n’est traversable qu’en 3 points, il faut jouer en permanence avec les passants, anticiper leur trajectoire, voire éviter les rues fréquentées le plus possible en faisant des choix parallèles (c’est pire que du V3 : course impossible…). Venise recèle de nombreux mystères… seule règle à bord : il est interdit de prendre quelque moyen de locomotion… c’est vrai que la gondole et les « Vaporettos » sont très tentants parfois…
Pour me mettre dans le rythme après ma période de repos puis ma semaine relativement calme, j’avais choisi de prendre part à la course en ville « Park’O » qui se déroulait samedi après-midi. Cela a fait une très bonne répétition pour le lendemain, même si l’échelle (1/6000ème) n’était pas la même que celle de la carte du meeting (1/7500ème). Ma course s’est très bien passée, le tracé était sans grande difficulté dans la partie la moins technique de la ville. Mais le danger réside alors dans la vitesse de course élevée et la difficulté d’orienter de façon lucide à cette allure. J’ai juste eu une petite hésitation sur le trajet 4-5 (un des plus courts), due à quelques fractions de secondes de déconcentration qui m’ont fait perdre le fil de la course et douter sur le nombre de rues déjà traversées. Je termine 1ère du parcours long dame en 17’45 (3,3 km, 11 postes).
Le lendemain, c’est sous un soleil éclatant que j’ai pris le départ du XXVII ème meeting de Venise. Les berges sud de la ville étaient envahies de coureurs, et le départ n’était pas très dur à trouver. Au programme : 8,5 km et 22 postes (il manquait dans le descriptif le nombre de ponts : après les avoir comptés, je sais que mon itinéraire m’en a fait emprunter 53… dont deux au-dessus du grand canal, le Rialto et le pont de l’Académie : avec tout cela, il n’y a plus qu’à calculer le dénivelé).
Je n’ai pas trop de difficultés, j’ai une bonne vitesse de course jusqu’au poste à poste 10-11 où je vois que la rue de gauche ne passe pas bien et je m’enfile dans celle de droite. Le seul problème est que je suis obligée de revenir sur la première rue, donc je dois perdre un peu de temps.
Le poste à poste 11-12 offre le premier grand choix d’itinéraire. A droite le Rialto, à gauche le pont de l’Académie. Le dernier est beaucoup moins loin, et surtout la densité de piétons est beaucoup plus faible, donc je décide de partir vers la gauche. J’ai ensuite du mal à enchaîner et anticiper jusqu’au poste 13 où je fais beaucoup d’angles et où je m’arrête plusieurs fois pour m’assurer que je fais bien le bon choix. A posteriori, je pense que le choix était bon, mais je pers du temps à le réaliser en hésitant trop.
Trajet 13-14 : le choix par la droite semble être plus court. Je ne le vois pas en course.
Sur le trajet 16-17, j’hésite à un croisement de rue et je pars vers la gauche au lieu de continuer en face. La rue étant un peu décalée à droite, je ne la vois pas et je crois que je suis plus loin. Je pers un peu de temps à cet endroit.
Le poste à poste suivant m’emmène dans une des parties les plus touristiques de la ville. C’est une galère de slalomer entre les poussettes, les groupes et autres personnes qui flânent dans les rues de la ville. Je me suis engagée vers le Rialto par la rue principale qui semblait vraiment large, mais les passants occupaient toute la rue. Le choix par une rue parallèle aurait été meilleur. De même, après le pont que je prend à gauche car il y a moins de monde, je pars dans la grande rue tout droit, mais je suis vite confrontée à un « bouchon » qui me fait bifurquer pour avancer et complètement changer mon choix qui devient « zig zag » à travers les rues. Le choix par la droite est plus rectiligne et permet une plus grande vitesse de course.
J’ai ensuite enchaîné sans trop de fautes jusqu’au poste 21. Il ne restait plus que de la course, et c’est là que le H40 que j’avais rattrapé et qui me suivait depuis le poste 6 en a profité pour me doubler sans que je puisse rien faire… pas cool le mec !
Je termine 1ère de la course Dame Elite en 55’18, 2 minutes devant la 2ème.
Merci à Bastien, Pierre et Manu pour ce WE très sympa, avec de bons fous rires en souvenirs !
NB : ma bouteille de Badoit de 30 cl n’aura pas résistée au retour aux règles draconiennes qui sévissent maintenant dans les aéroports… elle a pourtant été d’une aide précieuse lors de nos marches interminables à arpenter les rues de la cité des eaux… Par contre, je n’ai pas résisté à l’appel d’une dernière pizza monstrueuse juste avant de passer les contrôles et… celle-ci les a passé sans difficultés, après un regard intéressé du contrôleur qui a hésité à la scanner aux infrarouges. Je trouve qu’il y a du favoritisme quelquepart…
ParkO_sans2.jpg
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Céline DODIN
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Bientôt les news et les cartes de ce Week-End très intéressant et plein de surprises...
Céline DODIN
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Ce week-End, en fin de période de repos, je suis allée faire un sprint dans la forêt des arbres carrés. C’était un endroit très sympa, et malgré l’absence de soleil, je me suis vraiment fait plaisir.
Du départ au poste 1 ainsi que jusqu’au poste 2, la densité de végétation était importante, surtout en approche de poste, ce qui m’a fait perdre un peu de temps. Après une belle montée puis la même en descente (que de sensations !) je me suis dirigée vers le poste 4, avec une bonne allure et sans trop de fautes. Ensuite, ayant compris les subtilités de la carte et de la forêt, j’ai bien enchaîné les postes jusqu’au poste 6, où la forêt est devenue plus dense, à proximité d’un contrôleur. Le ravitaillement du poste 7 était bien appréciable, avant de continuer sur les postes 8 à 20 avec beaucoup de fluidité. Petit problème ensuite en approche du poste 23, la densité de la forêt devenant de plus en plus importante.
Je vous conseille de télécharger la carte, elle en vaut la peine, promis !
Du départ au poste 1 ainsi que jusqu’au poste 2, la densité de végétation était importante, surtout en approche de poste, ce qui m’a fait perdre un peu de temps. Après une belle montée puis la même en descente (que de sensations !) je me suis dirigée vers le poste 4, avec une bonne allure et sans trop de fautes. Ensuite, ayant compris les subtilités de la carte et de la forêt, j’ai bien enchaîné les postes jusqu’au poste 6, où la forêt est devenue plus dense, à proximité d’un contrôleur. Le ravitaillement du poste 7 était bien appréciable, avant de continuer sur les postes 8 à 20 avec beaucoup de fluidité. Petit problème ensuite en approche du poste 23, la densité de la forêt devenant de plus en plus importante.
Je vous conseille de télécharger la carte, elle en vaut la peine, promis !
Céline DODIN
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Suite de ma période d'entraînement léger de ma semaine de coupure.
Je suis allée aujourd'hui de nouveau à Marguerittes près de Nîmes pour faire la finale de la coupe Languedoc-Roussillon de course d'orientation. Comme j'étais à allure réduite par rapport à mon allure de course habituelle (mais quand même pas en footing !), je suis partie sur le parcours B, qui faisait 4,8 km. La carte a une forte densité de chemins, ce qui est intéressant pour les écoles du secteur pour faire découvrir la CO. Un PPO (parcours permanent d'orientation) est prêt à être posé, cela montre la dynamique du club Gard Orientation qui était l'organisateur de la compétition d'aujourd'hui. Plusieurs PPO ont déjà vu le jour sur toutes les cartes autour de Nîmes.
L'arrivée à travers les oliviers était magnifique !
Je suis allée aujourd'hui de nouveau à Marguerittes près de Nîmes pour faire la finale de la coupe Languedoc-Roussillon de course d'orientation. Comme j'étais à allure réduite par rapport à mon allure de course habituelle (mais quand même pas en footing !), je suis partie sur le parcours B, qui faisait 4,8 km. La carte a une forte densité de chemins, ce qui est intéressant pour les écoles du secteur pour faire découvrir la CO. Un PPO (parcours permanent d'orientation) est prêt à être posé, cela montre la dynamique du club Gard Orientation qui était l'organisateur de la compétition d'aujourd'hui. Plusieurs PPO ont déjà vu le jour sur toutes les cartes autour de Nîmes.
L'arrivée à travers les oliviers était magnifique !
Céline DODIN