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Pour me dégourdir un peu les jambes, je suis allée aujourd'hui à la course au score organisée par Gard Orientation à Marguerittes.
J'avais décidé de partir en marchant, et puis finalement quand les cartes sont arrivées je suis partie en petit footing (ça devait trop me démanger), et j'ai fait des heureuses : Voir la photo de la semaine sur le site du COORE dès lundi.
Les règles étaient : 40 mn maxi, 15 postes sur la carte, 1 mn en trop = 1 poste en moins.
Ci-joint la carte sans tracé + la carte avec le tracé que j'aurais fait en temps normal.
J'avais décidé de partir en marchant, et puis finalement quand les cartes sont arrivées je suis partie en petit footing (ça devait trop me démanger), et j'ai fait des heureuses : Voir la photo de la semaine sur le site du COORE dès lundi.
Les règles étaient : 40 mn maxi, 15 postes sur la carte, 1 mn en trop = 1 poste en moins.
Ci-joint la carte sans tracé + la carte avec le tracé que j'aurais fait en temps normal.
21-10-2006_Course score Marguerittes.jpg
(3.21 Mo)
21-10-2006_Course score Marguerittes_tracé idéal.jpg (2.75 Mo)
21-10-2006_Course score Marguerittes_tracé idéal.jpg (2.75 Mo)
Céline DODIN
Rédigé par Céline DODIN le 21/10/2006 à 22:35
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Fin de la saison = repos. Je crois que j'en avais bien besoin. Cette année a été particulièrement dense en compétitions internationales, stages et autres entraînements et la coupure annuelle est toujours la bienvenue.
Au programme : 7 jours de repos complet, et puis, à la sensation... sans se fatiguer, et reprise de l'entraînement pour l'année prochaine dès le 30 octobre ! En attendant, je vais essayer de trier mes photos... j'en au quand même 500 du raid, et je passe le reste de l'année.
Au programme : 7 jours de repos complet, et puis, à la sensation... sans se fatiguer, et reprise de l'entraînement pour l'année prochaine dès le 30 octobre ! En attendant, je vais essayer de trier mes photos... j'en au quand même 500 du raid, et je passe le reste de l'année.
Céline DODIN
We are Suez !
Merci à nos deux chauffeurs, Rémi et Babeth, qui nous ont conduit de Vilamoura à Lisbonne alors que tout le monde dormait autour d'eux... Je n'ai pas vu le trajet passer...
Dur dur le retour à la réalité... après des moments si intenses et magiques, on a tendance à vouloir rester sur notre petit nuage, et on a envie d'une seule chose, c'est de recommencer !
C'est quand qu'on part au ski ??
Merci à tous ceux qui ont permis que l'équipe des Raidoutables du Sud Est voit le jour encore cette année, et que cette belle et grande aventure puisse se réaliser.
Merci à tous nos supporters, notamment Catherine, Sophie et Jean-Marc qui étaient présents avec nous.
Merci aux éclaireurs, Babeth, avec son expérience, Maud, pour sa fraîcheur, Rémi, Christian, qui ont été exceptionnels.
Merci Bruno, t'as quand même été notre coach quand on a composé l'équipe !
Merci Guillaume, mon idole, Laurent (tu nous as impressionné), Christophe pour tout ce que tu nous as apporté.
Enfin, bref, merci à tous... et à l'année prochaine j'espère !
Dur dur le retour à la réalité... après des moments si intenses et magiques, on a tendance à vouloir rester sur notre petit nuage, et on a envie d'une seule chose, c'est de recommencer !
C'est quand qu'on part au ski ??
Merci à tous ceux qui ont permis que l'équipe des Raidoutables du Sud Est voit le jour encore cette année, et que cette belle et grande aventure puisse se réaliser.
Merci à tous nos supporters, notamment Catherine, Sophie et Jean-Marc qui étaient présents avec nous.
Merci aux éclaireurs, Babeth, avec son expérience, Maud, pour sa fraîcheur, Rémi, Christian, qui ont été exceptionnels.
Merci Bruno, t'as quand même été notre coach quand on a composé l'équipe !
Merci Guillaume, mon idole, Laurent (tu nous as impressionné), Christophe pour tout ce que tu nous as apporté.
Enfin, bref, merci à tous... et à l'année prochaine j'espère !
Céline DODIN
en apesanteur ?
Après massages et baignade, nous voilà partis de la plage paradisiaque de Praia del Alemao. Mais avant d'aller à la soirée, Branle-bas de combat pour remballer toutes nos affaires et nos vélos, car l'avion est à 8h40 à Lisbonne le lendemain, donc départ à 4h30 de Vilamoura... (désolée tous, j'aurais pu prévoir un vol plus tard...). Merci les gas pour les vélos... c'était pour nous laisser le temps de nous pouponner ?
19h55, direction le chapiteau. Trois tables étaient réservées pour Lyonnaise-des-Eaux, nous nous dirigeons vers elles. Les drapeaux de toutes les filiales flottaient déjà dans la salle. Et puis... Musique ! L'ambiance commence à chauffer, et qui retrouve-t-on à faire des tours de salle avec drapeaux Lyonnaise-des-Eaux oranges à la main ? Bruno (!), Lolo, Guillaume, Guillaume bis avec son drapeau SITA...
Quelques minutes plus tard, ovations pour chacune des filiales, avant de laisser place au discours de Gérard MESTRALLET et à la vidéo sur la traversée de l'océan indien en planche à voile de Raphaëlla le Gouvello.
Et puis... place aux résultats. Quelle émotion quand nous sommes appelés sur la première marche du podium... merci toutes les équipes Lyonnaise-des-Eaux de nous avoir accompagnés... Bruno : j'ai pas l'habitude d'être si grande, mais c'était génial ! Merci. De même pour Guillaume et Lolo. Merci pour tous les drapeaux. Ce sont des moments précieux et magiques qui restent longtemps gravés dans les mémoires !
Lyonnaise-des-Eaux a été la filiale qui s'est de loin le plus distinguée lors de cette soirée, avec une ambiance incroyable au sein du groupe que nous formions. 30 personnes (et 30 drapeaux...) à chaque podium d'une équipe Lyonnaise-des-Eaux, c'est pas commun !
Après la remise des récompenses (toutes les équipes ont été appelées sur le podium !), musique et danse pour finir en beauté cette édition du raid 2006, mais seulement... jusqu'à 2h45...
Finalement, Vilamoura la nuit et son port illuminé, c'est sympa aussi jusqu'à 4 heures du mat' !
19h55, direction le chapiteau. Trois tables étaient réservées pour Lyonnaise-des-Eaux, nous nous dirigeons vers elles. Les drapeaux de toutes les filiales flottaient déjà dans la salle. Et puis... Musique ! L'ambiance commence à chauffer, et qui retrouve-t-on à faire des tours de salle avec drapeaux Lyonnaise-des-Eaux oranges à la main ? Bruno (!), Lolo, Guillaume, Guillaume bis avec son drapeau SITA...
Quelques minutes plus tard, ovations pour chacune des filiales, avant de laisser place au discours de Gérard MESTRALLET et à la vidéo sur la traversée de l'océan indien en planche à voile de Raphaëlla le Gouvello.
Et puis... place aux résultats. Quelle émotion quand nous sommes appelés sur la première marche du podium... merci toutes les équipes Lyonnaise-des-Eaux de nous avoir accompagnés... Bruno : j'ai pas l'habitude d'être si grande, mais c'était génial ! Merci. De même pour Guillaume et Lolo. Merci pour tous les drapeaux. Ce sont des moments précieux et magiques qui restent longtemps gravés dans les mémoires !
Lyonnaise-des-Eaux a été la filiale qui s'est de loin le plus distinguée lors de cette soirée, avec une ambiance incroyable au sein du groupe que nous formions. 30 personnes (et 30 drapeaux...) à chaque podium d'une équipe Lyonnaise-des-Eaux, c'est pas commun !
Après la remise des récompenses (toutes les équipes ont été appelées sur le podium !), musique et danse pour finir en beauté cette édition du raid 2006, mais seulement... jusqu'à 2h45...
Finalement, Vilamoura la nuit et son port illuminé, c'est sympa aussi jusqu'à 4 heures du mat' !
Céline DODIN
Petit déjeuner 5h30... et c'est parti pour la dernière journée du raid qui va nous emmener de Foia, point culminant de la Sierra à 900 m d'altitude à Praia del Alemao, superbe plage de sable fin au sud ouest de Portimao.
Le parcours est réparti de la manière suivante :
Après notre heure de route réglementaire, nous approchons de Foia. Les reliefs changent très rapidement. Après la traversée de Monchique, des virages en épingles à cheveux nous emmènent… dans un brouillard à couper au couteau, si bien que l’on ne s’est rendu compte de la beauté du lieu que lorsque le soleil a bien voulu pointer le bout de son nez.
7h50, Christophe, Guillaume et moi approchons de la ligne de départ, après un petit retour en 6ème vitesse pour aller rechercher le doigt électronique laissé à la voiture. L’organisateur avait décidé de faire un départ en ligne pour cette dernière journée. Nous arrivons à nous faufiler entre les équipes et prenons une bonne place juste à côté de Guillaume, orienteur, de l’équipe 71 des SITASSURE qui avait gagné l’an passé, non loin de l’équipe 75 mixte classée juste derrière nous, et parmi les 95 équipes qui vont s’élancer sur une simple largeur de route de campagne.
8h00 : nous attendons le départ toujours sous le brouillard. Mais le briefing commence seulement et traîne en longueur alors que nous n’entendons rien sur la ligne de départ et que l’air ambiant commence sérieusement à nous refroidir.
Finalement, ce n’est que vers 8h30 quand le brouillard s’est dissipé, à l'apparition de l'hélicoptère, que le départ est donné, et voilà 250 personnes pas du tout échauffées (enfin, elles l’étaient… à 8h00…) qui s’élancent comme des fous sur la petite route et le chemin de terre qui mènent à Monchique où les éclaireurs nous attendent. Nous savons que cette épreuve est très importante pour nous pour montrer notre forme encore présente et essayer de creuser encore l’écart avant le canoë et malgré la longueur de l’épreuve. La descente se passe très bien, et nous arrivons 1’ devant l’équipe 75… ouf…
Petit ravitaillement, et nous voilà partis, Laurent, dont la cheville allait mieux, Guillaume et moi pour l’épreuve de VTT. Nous apprenons que malheureusement toute la montée et la grande descente de l’épreuve seront neutralisés car trop dangereux, donc qu’il ne restera que 17 km de chronométré. Dommage pour nous… mais maintenant il faut se battre et ne rien lâcher.
Nous nous régalons sur l’épreuve et les amours de Guillaume et Laurent reviennent sur les portions de route : on est pas triathlète pour rien ! Merci Guillaume pour la relance que tu me donnais dons chaque côte… Merci Lolo pour m’avoir abrité du vent quand j’étais dans ta roue… On a même impressionné l’équipe Tchèque des CZECH RAIDERS et j’ai eu droit à la bise en passant la ligne d’arrivée ! Bref, super sensations… Nous avons repris 3’ sur l’épreuve sur l’équipe 75. Chaud le canoë !
Enfin l’épreuve tant redoutée. Par rapport à la veille, Guillaume remplace Christophe. L’épreuve est divisée en deux parties, 11 km chronométrés, et 6 km d’option, obligatoire pour avoir un bonus mais non chronométrés… OUF !! Merci le vent et la grosse mer !
Ce furent 11 km de galère… on a vraiment ramé, et je ne me suis pas améliorée par rapport à la veille en guidage je pense… On a même plus pensé à boire lorsque l’équipe 75 est revenue à notre niveau, puis s’est envolée vers les contrées lointaines qui nous attendaient… et ce maudit pont de l’autoroute qui n’arrivait jamais…Nous ne savons plus alors où nous en sommes par rapport à l’équipe 75, peut-être 6’ derrière sur l’épreuve, mais nous n'avions pas les chronos avec précision. Merci Bruno de m’avoir sorti du bateau. Ma cheville bloquée ne m’aurait pas permis de le faire seule…
Changement de coéquipier : Christophe remplace Laurent qui ne pouvait pas courir, et c’est parti pour une dernière ballade en Canoë, cool pour reprendre des forces avant le 3000 m final. Cool… mais interminable… et pas seulement pour nous. Une à une, les équipes débarquent sur les pontons pour pouvoir tirer les canoës pendant quelques mètres, face au vent de plus en plus fort. Enfin, la plage finale… soulagement, et surtout, cette épreuve ne restera pas dans les meilleurs souvenirs, hormis la vue sur le superbe château de Ferragudo au milieu des plages d’une couleur intense éclairées par les rayons de soleil qui perçaient les nuages.
Plus que 3000 m… Après un petit échauffement, c’est parti à travers la plage. Quelle bonne surprise de trouver un chemin en bois au milieu qui a rendu notre progression plus rapide que prévu. Passage sous une grotte entre deux plages magnifiques, et la dernière ligne droite nous attend. Merci Maud, Babeth, Rémi, Jean-Marc, Christophe, Christian pour vos derniers encouragements jusqu’à la ligne d’arrivée.
Ensuite, baignade, détente, massage… sur la magnifique plage, en attendant la soirée et les résultats.
Le parcours est réparti de la manière suivante :
- 4 km de course à pied (avec 500m de dénivelée négative)
- 26 km de VTT (150 m de dénivelée positive et 500 m de négative)
- 17 km de canoë (0 m de dénivelée... bouh...)
- 3 km de course sur la plage pour rejoindre la "sardinade"
Après notre heure de route réglementaire, nous approchons de Foia. Les reliefs changent très rapidement. Après la traversée de Monchique, des virages en épingles à cheveux nous emmènent… dans un brouillard à couper au couteau, si bien que l’on ne s’est rendu compte de la beauté du lieu que lorsque le soleil a bien voulu pointer le bout de son nez.
7h50, Christophe, Guillaume et moi approchons de la ligne de départ, après un petit retour en 6ème vitesse pour aller rechercher le doigt électronique laissé à la voiture. L’organisateur avait décidé de faire un départ en ligne pour cette dernière journée. Nous arrivons à nous faufiler entre les équipes et prenons une bonne place juste à côté de Guillaume, orienteur, de l’équipe 71 des SITASSURE qui avait gagné l’an passé, non loin de l’équipe 75 mixte classée juste derrière nous, et parmi les 95 équipes qui vont s’élancer sur une simple largeur de route de campagne.
8h00 : nous attendons le départ toujours sous le brouillard. Mais le briefing commence seulement et traîne en longueur alors que nous n’entendons rien sur la ligne de départ et que l’air ambiant commence sérieusement à nous refroidir.
Finalement, ce n’est que vers 8h30 quand le brouillard s’est dissipé, à l'apparition de l'hélicoptère, que le départ est donné, et voilà 250 personnes pas du tout échauffées (enfin, elles l’étaient… à 8h00…) qui s’élancent comme des fous sur la petite route et le chemin de terre qui mènent à Monchique où les éclaireurs nous attendent. Nous savons que cette épreuve est très importante pour nous pour montrer notre forme encore présente et essayer de creuser encore l’écart avant le canoë et malgré la longueur de l’épreuve. La descente se passe très bien, et nous arrivons 1’ devant l’équipe 75… ouf…
Petit ravitaillement, et nous voilà partis, Laurent, dont la cheville allait mieux, Guillaume et moi pour l’épreuve de VTT. Nous apprenons que malheureusement toute la montée et la grande descente de l’épreuve seront neutralisés car trop dangereux, donc qu’il ne restera que 17 km de chronométré. Dommage pour nous… mais maintenant il faut se battre et ne rien lâcher.
Nous nous régalons sur l’épreuve et les amours de Guillaume et Laurent reviennent sur les portions de route : on est pas triathlète pour rien ! Merci Guillaume pour la relance que tu me donnais dons chaque côte… Merci Lolo pour m’avoir abrité du vent quand j’étais dans ta roue… On a même impressionné l’équipe Tchèque des CZECH RAIDERS et j’ai eu droit à la bise en passant la ligne d’arrivée ! Bref, super sensations… Nous avons repris 3’ sur l’épreuve sur l’équipe 75. Chaud le canoë !
Enfin l’épreuve tant redoutée. Par rapport à la veille, Guillaume remplace Christophe. L’épreuve est divisée en deux parties, 11 km chronométrés, et 6 km d’option, obligatoire pour avoir un bonus mais non chronométrés… OUF !! Merci le vent et la grosse mer !
Ce furent 11 km de galère… on a vraiment ramé, et je ne me suis pas améliorée par rapport à la veille en guidage je pense… On a même plus pensé à boire lorsque l’équipe 75 est revenue à notre niveau, puis s’est envolée vers les contrées lointaines qui nous attendaient… et ce maudit pont de l’autoroute qui n’arrivait jamais…Nous ne savons plus alors où nous en sommes par rapport à l’équipe 75, peut-être 6’ derrière sur l’épreuve, mais nous n'avions pas les chronos avec précision. Merci Bruno de m’avoir sorti du bateau. Ma cheville bloquée ne m’aurait pas permis de le faire seule…
Changement de coéquipier : Christophe remplace Laurent qui ne pouvait pas courir, et c’est parti pour une dernière ballade en Canoë, cool pour reprendre des forces avant le 3000 m final. Cool… mais interminable… et pas seulement pour nous. Une à une, les équipes débarquent sur les pontons pour pouvoir tirer les canoës pendant quelques mètres, face au vent de plus en plus fort. Enfin, la plage finale… soulagement, et surtout, cette épreuve ne restera pas dans les meilleurs souvenirs, hormis la vue sur le superbe château de Ferragudo au milieu des plages d’une couleur intense éclairées par les rayons de soleil qui perçaient les nuages.
Plus que 3000 m… Après un petit échauffement, c’est parti à travers la plage. Quelle bonne surprise de trouver un chemin en bois au milieu qui a rendu notre progression plus rapide que prévu. Passage sous une grotte entre deux plages magnifiques, et la dernière ligne droite nous attend. Merci Maud, Babeth, Rémi, Jean-Marc, Christophe, Christian pour vos derniers encouragements jusqu’à la ligne d’arrivée.
Ensuite, baignade, détente, massage… sur la magnifique plage, en attendant la soirée et les résultats.
Céline DODIN