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Dimanche 10 décembre 2006
Quelle coupe ! Séance de graffitis
Nous voilà partis pour la deuxième manche du trophée international de Barcelone, dans un parc de la ville nommé "Nou Barris", sous forme d'un relais de 4 coureurs, alterné femme - homme.
Nous savions que nous pouvions jouer quelquechose là-dessus... le sprint, c'est un format que j'aime beaucoup et c'était la même chose pour mes 3 autres coéquipiers. Après avoir garé la voiture, c'est à la recherche du départ que nous traversons une partie du parc avec des éléments d'architecture pas communs... Au briefing d'explication de la course, on a compris comment ils allaient être cartographiés, et la carte promettait d'être très sympa ! Ben oui, des talus en carrelage, on en voit pas tous les jours, ni des parasols coupés en 4 à 5 m de hauteur... Autre particularité de la carte : les immeubles hauts étaient cartographiés en noir, et les immeubles plus bas en gris foncé, mais la nuance existait encore bien avec les passages couverts en gris.
Au départ du 1er relais, Amélie, qui allait courir entre autres contre Katri (Finlande). La boucle faisait environ 3,8 km, avec un poste spectacle à 1' seulement de l'arrivée...
Après le coup d'envoi du relais, la tension commençait à monter et tout le monde s'est vite dirigé vers le poste spectacle... et c'est Katri et Amélie à quelques secondes d'intervalle qui pointent le bout de leur nez derrière un dernier immeuble avant de poinçonner ce poste puis de repartir pour la boucle finale où il ne restait plus que 2 postes. A l'arrivée, après une très belle course et un sprint de folie, Amélie passe le relais en tête à Philippe qui s'élance à son tour à travers les immeubles.
Philippe réalise également une super course et arrive en tête avec près de 2' d'avance sur Tommi, le finlandais.
A moi le parc et ses pièges... Le positionnement du départ par rapport au poste 1 donnait le temps de bien rentrer dans la carte et de ne pas rater de passages entre les immeubles. Pour aller au poste 2, je fais un choix assez atypique par rapport aux autres coureurs en passant par la gauche le long de la route pour éviter les angles. Je pense que c'est pas mal, même si le choix était moins direct, mais un détail ne rssort pas sur la carte par choix du cartographe : les courbes de niveau. Tout le trajet entre la route et le poste 2 montait pas mal, mais de l'autre côté (par la droite), également. Sur le choix 2-3 et 3-4, je me retrouve donc à repasser 3 fois au même endroit suite à mon choix sur le poste 2.
J'enchaîne ensuite bien les postes, avec une petite subtilité : le poste 6 était au-dessus du pont, mais Amélie nous avait prévenus. J'ai ensuite eu un peu de mal à descendre vers le poste 8, le passage n'étant pas bien marqué sur le terrain et un grillage barrant le passage au pied de l'habitation la plus au N-W de la carte.
Le poste 9 était bien sympa, sur des petites îles en bois dispersées sur l'étendue d'eau.
Je commençais à être un peu fatiguée, et mon choix pour aller du poste 10 au poste 11 m'a été fatal... je fais une entrée sortie et je ne vois qu'aux feux qui permettaient de traverser la route que celle-ci était interdite... et un contrôleur me l'a crié bien fort (dans les légendes, on avait bien visualisé comment étaient cartographiés les passages à travers les routes... mais je n'ai pas réagi que toute la route était interdite). Du coup, un aller-retour pour rien et une bonne minute trente de perdue pour aller chercher le pont... et redescendre vers mon poste 11. Les coureurs d'après ont traversé, mais tant pis, ce n'était qu'un entraînement et de toute façon je n'avais pas le droit de le faire.
J'ai ensuite fait une petite faute sur le poste 16, en sortie que je n'avais pas anticipée : il fallait repartir un peu en arrière et prendre le passage à l'ouest entre les immeubles.
Je passe ensuite la main à François, avec toujours 2' d'avance sur la Finlande.
François nous fait un très bon relais et maintient l'écart. Au final, nous voilà vainqueurs du relais, mais est-ce que ça allait suffire pour gravir la dernière marche du podium??
Et ben oui, la sentence ne se fait pas attendre ! Avec un petit point d'écart avec l'équipe de Finlande (sur 380 points...), nous voilà vainqueurs du trophée, sous un soleil magnifique.
C'est la première fois que des français étaient invités à ce trophée, et on en a bien profité. Merci Marc pour ces 3 jours fabuleux qui nous ont fait découvrir une nouvelle ville dans une ambiance super chaleureuse. ça fait du bien... et c'est quelquechose que l'on devrait faire en France, en compet' amicale comme celle-là !
Seul petit bémol au WE : j'ai cassé ma boussole... aïe aïe aïe, ça risque d'être dur la semaine prochaine aux sélections de Clermont-Ferrand... mais comme ma bronchite va beaucoup mieux, ça effacera bien ce petit désagrément !
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Nous savions que nous pouvions jouer quelquechose là-dessus... le sprint, c'est un format que j'aime beaucoup et c'était la même chose pour mes 3 autres coéquipiers. Après avoir garé la voiture, c'est à la recherche du départ que nous traversons une partie du parc avec des éléments d'architecture pas communs... Au briefing d'explication de la course, on a compris comment ils allaient être cartographiés, et la carte promettait d'être très sympa ! Ben oui, des talus en carrelage, on en voit pas tous les jours, ni des parasols coupés en 4 à 5 m de hauteur... Autre particularité de la carte : les immeubles hauts étaient cartographiés en noir, et les immeubles plus bas en gris foncé, mais la nuance existait encore bien avec les passages couverts en gris.
Au départ du 1er relais, Amélie, qui allait courir entre autres contre Katri (Finlande). La boucle faisait environ 3,8 km, avec un poste spectacle à 1' seulement de l'arrivée...
Après le coup d'envoi du relais, la tension commençait à monter et tout le monde s'est vite dirigé vers le poste spectacle... et c'est Katri et Amélie à quelques secondes d'intervalle qui pointent le bout de leur nez derrière un dernier immeuble avant de poinçonner ce poste puis de repartir pour la boucle finale où il ne restait plus que 2 postes. A l'arrivée, après une très belle course et un sprint de folie, Amélie passe le relais en tête à Philippe qui s'élance à son tour à travers les immeubles.
Philippe réalise également une super course et arrive en tête avec près de 2' d'avance sur Tommi, le finlandais.
A moi le parc et ses pièges... Le positionnement du départ par rapport au poste 1 donnait le temps de bien rentrer dans la carte et de ne pas rater de passages entre les immeubles. Pour aller au poste 2, je fais un choix assez atypique par rapport aux autres coureurs en passant par la gauche le long de la route pour éviter les angles. Je pense que c'est pas mal, même si le choix était moins direct, mais un détail ne rssort pas sur la carte par choix du cartographe : les courbes de niveau. Tout le trajet entre la route et le poste 2 montait pas mal, mais de l'autre côté (par la droite), également. Sur le choix 2-3 et 3-4, je me retrouve donc à repasser 3 fois au même endroit suite à mon choix sur le poste 2.
J'enchaîne ensuite bien les postes, avec une petite subtilité : le poste 6 était au-dessus du pont, mais Amélie nous avait prévenus. J'ai ensuite eu un peu de mal à descendre vers le poste 8, le passage n'étant pas bien marqué sur le terrain et un grillage barrant le passage au pied de l'habitation la plus au N-W de la carte.
Le poste 9 était bien sympa, sur des petites îles en bois dispersées sur l'étendue d'eau.
Je commençais à être un peu fatiguée, et mon choix pour aller du poste 10 au poste 11 m'a été fatal... je fais une entrée sortie et je ne vois qu'aux feux qui permettaient de traverser la route que celle-ci était interdite... et un contrôleur me l'a crié bien fort (dans les légendes, on avait bien visualisé comment étaient cartographiés les passages à travers les routes... mais je n'ai pas réagi que toute la route était interdite). Du coup, un aller-retour pour rien et une bonne minute trente de perdue pour aller chercher le pont... et redescendre vers mon poste 11. Les coureurs d'après ont traversé, mais tant pis, ce n'était qu'un entraînement et de toute façon je n'avais pas le droit de le faire.
J'ai ensuite fait une petite faute sur le poste 16, en sortie que je n'avais pas anticipée : il fallait repartir un peu en arrière et prendre le passage à l'ouest entre les immeubles.
Je passe ensuite la main à François, avec toujours 2' d'avance sur la Finlande.
François nous fait un très bon relais et maintient l'écart. Au final, nous voilà vainqueurs du relais, mais est-ce que ça allait suffire pour gravir la dernière marche du podium??
Et ben oui, la sentence ne se fait pas attendre ! Avec un petit point d'écart avec l'équipe de Finlande (sur 380 points...), nous voilà vainqueurs du trophée, sous un soleil magnifique.
C'est la première fois que des français étaient invités à ce trophée, et on en a bien profité. Merci Marc pour ces 3 jours fabuleux qui nous ont fait découvrir une nouvelle ville dans une ambiance super chaleureuse. ça fait du bien... et c'est quelquechose que l'on devrait faire en France, en compet' amicale comme celle-là !
Seul petit bémol au WE : j'ai cassé ma boussole... aïe aïe aïe, ça risque d'être dur la semaine prochaine aux sélections de Clermont-Ferrand... mais comme ma bronchite va beaucoup mieux, ça effacera bien ce petit désagrément !
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Céline DODIN
Rédigé par Céline DODIN le 19/12/2006 à 20:36
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Commentaires (2)
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Samedi 9 décembre 2006
Il y a des jours sans… aujourd’hui en était un. Paraît-il qu’il en faut pour faire progresser...
Barcelone
Au programme de la première journée du trophée international de Barcelone : une longue distance sur la montagne du nord aux abords de la ville : 5900 m, 375 m de dénivelée et 22 postes pour les filles.
Nous étions 4 français à avoir été invités à ce trophée international, Amélie, François, Philippe et moi. En face de nous, une équipe finlandaise, et une multitude de sélections espagnoles. Pour cette longue distance, seuls 3 des 4 résultats comptaient pour le classement général des deux jours qui désignait la sélection vainqueur du trophée.
Après avoir vaincu les sens uniques de Barcelone, nous voilà arrivés sur le lieu de course, prêts pour l'échauffement. Et quel échauffement... 1,5km avec 150m de dénivelée pour commencer ! Après quelques pas, la fraîcheur matinale s'est faite bien vite oublier...
La montée vers le départ était fabuleuse, avec une magnifique vue sur Barcelone sous un soleil de rêve pour un mois de décembre.
9h32, me voilà partie à la recherche des balises perdues sur la montagne... Ce n'était vraiment pas mon jour, et j'ai commencé les erreurs dès le 1er poste où je suis un peu trop basse sur la pente en voulant coller au chemin. A la sortie du poste 2, je fait un 90°... mais tout espoir n'est pas perdu de bien continuer !
Pour aller au poste 3, j'essaie de m'enfiler dans un petit chemin qui m'amènera dans la vallée sous le poste, mais je ne le trouve jamais, donc je décide de continuer par la route, ce qui n'est pas un mauvais choix en soi, si je n'avais pas raté l'approche de poste. La zone marquée en blanc sur la carte était très touffue et nous n'avions aucune visibilité. Après avoir parlé avec les autres, nous avons eu tous l'impression que le poste était beaucoup plus bas que la carte ne le laissait croire. J'ai ensuite (enfin!) bien enchaîné sur les postes 4, 5 et 6, mais je sors trop tôt du chemin pour aller au poste 7 : je galère dans la végétation qui ne court pas bien et la remontée vers le poste est interminable. Au fait, la croix verte, c'est un cactus !
Le poste 9 m'a posé quelques soucis, car je me suis enfilée sur la mauvaise avancée en croyant prendre le chemin qui devait m'amener dans la direction du poste. Pour le poste 10, rebelote... je passe à côté et je suis obligée de remonter.
Sur le trajet 11-12, je pense que je choisis le meilleur itinéraire, qui me fait faire une entrée-sortie et me fait éviter du dénivelé. Les postes dans le flanc ne sont pas très faciles, avec peu d'éléments pour se recaler et une tendance à toujours dévier vers l'amont ou l'aval.
Et puis, changement de carte après le poste 16... me voilà sur une carte au 1/4000ème pour terminer la course. J'ai trouvé le concept assez sympa, et ça fait totalement changer l'allure de course. En dehors du fait que je passe à côté de la 51 et que je fais un mauvais choix pour aller à la 200, j'ai bien aimé cette dernière partie.
En bref... une course à oublier, ou plutôt à prendre pour exemple de ce qu'il ne faut pas faire... Je termine en 1h14, en 4ème position à 7 mn de la 1ère (Satu - Finlande).
Les autres petits français ont eu également quelques problèmes sur ce terrain, et nous terminons 2ème du classement provisoire du trophée après cette première journée. Il va falloir s'arracher demain pour compenser tout cela. Au programme, un relais sous forme de sprints dans une zone urbaine - parc de Barcelone.
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Nous étions 4 français à avoir été invités à ce trophée international, Amélie, François, Philippe et moi. En face de nous, une équipe finlandaise, et une multitude de sélections espagnoles. Pour cette longue distance, seuls 3 des 4 résultats comptaient pour le classement général des deux jours qui désignait la sélection vainqueur du trophée.
Après avoir vaincu les sens uniques de Barcelone, nous voilà arrivés sur le lieu de course, prêts pour l'échauffement. Et quel échauffement... 1,5km avec 150m de dénivelée pour commencer ! Après quelques pas, la fraîcheur matinale s'est faite bien vite oublier...
La montée vers le départ était fabuleuse, avec une magnifique vue sur Barcelone sous un soleil de rêve pour un mois de décembre.
9h32, me voilà partie à la recherche des balises perdues sur la montagne... Ce n'était vraiment pas mon jour, et j'ai commencé les erreurs dès le 1er poste où je suis un peu trop basse sur la pente en voulant coller au chemin. A la sortie du poste 2, je fait un 90°... mais tout espoir n'est pas perdu de bien continuer !
Pour aller au poste 3, j'essaie de m'enfiler dans un petit chemin qui m'amènera dans la vallée sous le poste, mais je ne le trouve jamais, donc je décide de continuer par la route, ce qui n'est pas un mauvais choix en soi, si je n'avais pas raté l'approche de poste. La zone marquée en blanc sur la carte était très touffue et nous n'avions aucune visibilité. Après avoir parlé avec les autres, nous avons eu tous l'impression que le poste était beaucoup plus bas que la carte ne le laissait croire. J'ai ensuite (enfin!) bien enchaîné sur les postes 4, 5 et 6, mais je sors trop tôt du chemin pour aller au poste 7 : je galère dans la végétation qui ne court pas bien et la remontée vers le poste est interminable. Au fait, la croix verte, c'est un cactus !
Le poste 9 m'a posé quelques soucis, car je me suis enfilée sur la mauvaise avancée en croyant prendre le chemin qui devait m'amener dans la direction du poste. Pour le poste 10, rebelote... je passe à côté et je suis obligée de remonter.
Sur le trajet 11-12, je pense que je choisis le meilleur itinéraire, qui me fait faire une entrée-sortie et me fait éviter du dénivelé. Les postes dans le flanc ne sont pas très faciles, avec peu d'éléments pour se recaler et une tendance à toujours dévier vers l'amont ou l'aval.
Et puis, changement de carte après le poste 16... me voilà sur une carte au 1/4000ème pour terminer la course. J'ai trouvé le concept assez sympa, et ça fait totalement changer l'allure de course. En dehors du fait que je passe à côté de la 51 et que je fais un mauvais choix pour aller à la 200, j'ai bien aimé cette dernière partie.
En bref... une course à oublier, ou plutôt à prendre pour exemple de ce qu'il ne faut pas faire... Je termine en 1h14, en 4ème position à 7 mn de la 1ère (Satu - Finlande).
Les autres petits français ont eu également quelques problèmes sur ce terrain, et nous terminons 2ème du classement provisoire du trophée après cette première journée. Il va falloir s'arracher demain pour compenser tout cela. Au programme, un relais sous forme de sprints dans une zone urbaine - parc de Barcelone.
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Longue Barcelone.jpg
(3.23 Mo)
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Céline DODIN
Parc Güell, Stade Olympique, Barcelone de Montjuic
Paris est la plus belle ville du monde, mais Gaudi a su offrir à Barcelone des trésors magnifiques... d'originalité !
Me voilà partie à la découverte d'une nouvelle ville d'Europe, avec mes baskets et mon sac à dos, ou presque...
La Fédération d'Orientation de Catalogne m'avait invitée le Week-End dernier au 4ème trophée international Ciutat de Barcelona avec 4 autres français, Amélie, Philippe et François, et Fabrice qui a pu remplacer Philippe blessé sur une des courses.
J'en ai profité pour venir 1 jour avant et découvrir cette ville magnifique aux mille richesses.
Avec, pour commencer, la colline de Monjuic, et c'est là qu'on s'est rendu compte que Barcelone, c'est vraiment pas plat, c'est la première fois que je voyais des escalators grimper les collines au milieu des jardins publics...
En arrivant au pied de la colline, vue magnifique depuis la place d'Espagne sur les deux palais, surmontés du Musée National de Catalogne (il a de la gueule !). Juste au premier plan, comme pour me rappeler 1 mois plus tôt, deux tours qui ressemblent comme deux gouttes d'eau à celle de la place St Marc à Venise.
Après une bonne petite montée sur le haut de la colline, nous nous sommes ensuite arrêtés sur les installations olympiques des JO de 92 avec notamment LE stade olympique et LA flamme mythique des jeux. On a même pu rentrer à l'intérieur du stade ! ça fait quelquechose, et ça m'a bien rappelé l'émotion que j'ai pu avoir lors de la cérémonie des World Games de 2005 à Duisbourg en Allemagne (à plus petite échelle, évidemment......) : c'est géant de s'avancer par délégation dans un stade rempli de foule juste derrière le drapeau français... et ça reste inoubliable ! (surtout entourée de 60 rugbymen déchaînés ! hum...). Le stade de Barcelone est impressionnant de grandeur, de majesté et de magie : on ne naît pas stade olympique pour rien !
Retour ensuite par les petits jardins magnifiques du Nord de la colline vers la place d'Espagne où un petit arrêt s'impose à côté des arènes en réfection qui nous livrent le mystère de leur avenir grâce à une énorme fresque qui camouflait un peu les échaffaudages : la tauromachie n'étant plus trop d'actualité, elles vont être transformées en un complexe sportif et commercial ultramoderne. A voir dans quelques années.
L'après midi, direction le Parc Güell au Nord Ouest de la ville. C'est dans un pays enchanteur sorti tout droit de l'imagination de Gaudi et digne de Wald Disney que nous sommes plongés dès les premiers pas dans le parc. Originalité est le mot qui décrit le mieux son art, et j'ai bien apprécié les viaducs et les terrasses du parc montés sur des colonnes de pierres grossières magnifiques à souhait. Autres points ramarquables : le "fameux" banc interminable en mosaïques, la salamandre que l'on retrouve sur toutes les cartes postales (avec moins de monde qui gravite autour qu'en réalité !!), et aussi le marché couvert
dont les colonnes sont intrigantes. Promis, je mets bientôt les photos en ligne dans la galerie...
La visite du parc fut également l'occasion de dominer et d'admirer tout Barcelone de l'une des collines qui la composent et qui l'entourent.
Après le Parc Güell, dans le même registre, en route pour la Sagrada Familia au plein coeur de Barcelone, temple et oeuvre la plus célèbre de Gaudi. Il a consacré plus de 40 ans de sa vie au calcul de ses structures et y repose aujourd'hui. C'est un ouvrage gigantesque et grandiose, dommage que les échaffaudages soient son seul contenant actuellement, mais la magnificence de ses façades et de ses quelques vitraux fait oublier ce petit désagrément. Sa construction a commencé en 1882, et elle se terminera peut-être en 2025... affaire à suivre !
Petit coup d'oeil ensuite au front de mer et à la statue de Christophe Colomb avant de s'engouffrer dans les Ramblas. Barcelone la cosmopolite s'est alors ouverte à nous, au rythme des mimes, de l'harmonica de l'homme aux pantins et d'autres artistes en tout genre, qui trouvaient toute leur place au milieu d'un marché de biblos improvisés.
La tombée de la nuit nous mène alors vers les ruelles étroites du Barri Gotic, et pour la deuxième fois de la journée je me retrouve à penser à Venise la piétonne, avec autant de foule qui arpentait les rue (manquait juste le grand canal, mais bon, on peut pas tout avoir !).
Et la Cathédrale ?? ben on a pas vu grand chose, vu la foule qui gravitait autour du marché de Noël qui s'étendait à ses pieds. ça faisait bizarre de voir des sapins (défraîchis...) et des chalets en Espagne, au bord de la mer !
Enfin, la place de Catalogne nous montre son dôme éphémère qui abrite une exposition, et avant de repartir, dernier coup d'oeil sur les ramblas (de l'autre côté) qui avaient revêtu leurs jolies illuminations multicolores, non sans me rappeler que Noël, ce n'est plus que dans 15 jours...
Me voilà partie à la découverte d'une nouvelle ville d'Europe, avec mes baskets et mon sac à dos, ou presque...
La Fédération d'Orientation de Catalogne m'avait invitée le Week-End dernier au 4ème trophée international Ciutat de Barcelona avec 4 autres français, Amélie, Philippe et François, et Fabrice qui a pu remplacer Philippe blessé sur une des courses.
J'en ai profité pour venir 1 jour avant et découvrir cette ville magnifique aux mille richesses.
Avec, pour commencer, la colline de Monjuic, et c'est là qu'on s'est rendu compte que Barcelone, c'est vraiment pas plat, c'est la première fois que je voyais des escalators grimper les collines au milieu des jardins publics...
En arrivant au pied de la colline, vue magnifique depuis la place d'Espagne sur les deux palais, surmontés du Musée National de Catalogne (il a de la gueule !). Juste au premier plan, comme pour me rappeler 1 mois plus tôt, deux tours qui ressemblent comme deux gouttes d'eau à celle de la place St Marc à Venise.
Après une bonne petite montée sur le haut de la colline, nous nous sommes ensuite arrêtés sur les installations olympiques des JO de 92 avec notamment LE stade olympique et LA flamme mythique des jeux. On a même pu rentrer à l'intérieur du stade ! ça fait quelquechose, et ça m'a bien rappelé l'émotion que j'ai pu avoir lors de la cérémonie des World Games de 2005 à Duisbourg en Allemagne (à plus petite échelle, évidemment......) : c'est géant de s'avancer par délégation dans un stade rempli de foule juste derrière le drapeau français... et ça reste inoubliable ! (surtout entourée de 60 rugbymen déchaînés ! hum...). Le stade de Barcelone est impressionnant de grandeur, de majesté et de magie : on ne naît pas stade olympique pour rien !
Retour ensuite par les petits jardins magnifiques du Nord de la colline vers la place d'Espagne où un petit arrêt s'impose à côté des arènes en réfection qui nous livrent le mystère de leur avenir grâce à une énorme fresque qui camouflait un peu les échaffaudages : la tauromachie n'étant plus trop d'actualité, elles vont être transformées en un complexe sportif et commercial ultramoderne. A voir dans quelques années.
L'après midi, direction le Parc Güell au Nord Ouest de la ville. C'est dans un pays enchanteur sorti tout droit de l'imagination de Gaudi et digne de Wald Disney que nous sommes plongés dès les premiers pas dans le parc. Originalité est le mot qui décrit le mieux son art, et j'ai bien apprécié les viaducs et les terrasses du parc montés sur des colonnes de pierres grossières magnifiques à souhait. Autres points ramarquables : le "fameux" banc interminable en mosaïques, la salamandre que l'on retrouve sur toutes les cartes postales (avec moins de monde qui gravite autour qu'en réalité !!), et aussi le marché couvert
dont les colonnes sont intrigantes. Promis, je mets bientôt les photos en ligne dans la galerie...
La visite du parc fut également l'occasion de dominer et d'admirer tout Barcelone de l'une des collines qui la composent et qui l'entourent.
Après le Parc Güell, dans le même registre, en route pour la Sagrada Familia au plein coeur de Barcelone, temple et oeuvre la plus célèbre de Gaudi. Il a consacré plus de 40 ans de sa vie au calcul de ses structures et y repose aujourd'hui. C'est un ouvrage gigantesque et grandiose, dommage que les échaffaudages soient son seul contenant actuellement, mais la magnificence de ses façades et de ses quelques vitraux fait oublier ce petit désagrément. Sa construction a commencé en 1882, et elle se terminera peut-être en 2025... affaire à suivre !
Petit coup d'oeil ensuite au front de mer et à la statue de Christophe Colomb avant de s'engouffrer dans les Ramblas. Barcelone la cosmopolite s'est alors ouverte à nous, au rythme des mimes, de l'harmonica de l'homme aux pantins et d'autres artistes en tout genre, qui trouvaient toute leur place au milieu d'un marché de biblos improvisés.
La tombée de la nuit nous mène alors vers les ruelles étroites du Barri Gotic, et pour la deuxième fois de la journée je me retrouve à penser à Venise la piétonne, avec autant de foule qui arpentait les rue (manquait juste le grand canal, mais bon, on peut pas tout avoir !).
Et la Cathédrale ?? ben on a pas vu grand chose, vu la foule qui gravitait autour du marché de Noël qui s'étendait à ses pieds. ça faisait bizarre de voir des sapins (défraîchis...) et des chalets en Espagne, au bord de la mer !
Enfin, la place de Catalogne nous montre son dôme éphémère qui abrite une exposition, et avant de repartir, dernier coup d'oeil sur les ramblas (de l'autre côté) qui avaient revêtu leurs jolies illuminations multicolores, non sans me rappeler que Noël, ce n'est plus que dans 15 jours...
Céline DODIN
tout est dit !
Céline DODIN
Tout est dit... à voir dans les articles correspondants, ci-dessous.
Céline DODIN