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Céline DODIN
née le 26 Février 1979
Sportive de Haut niveau
Ingénieur Maintenance Hydraulique (EDF)
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Vive la course! C'est mieux que le Canoë...
Nous voilà rentrés dans le vif du sujet...
Au programme de la journée :
Le coq a chanté très tôt ce matin.
6h45, RDV sous le chapiteau pour un petit déjeuner bien utile pour la journée qui nous attend. S'ensuit alors une bonne heure de route pour nous emmener au bord du lac de Funcho où nous attend la première épreuve de Canoë.
Quelle surprise en arrivant sur le lac : la sécheresse a laissé son empreinte sur cette gigantesque réserve d’eau, qui ne ressemble plus qu’à un cours d’eau qui essaie péniblement de tracer sa route.
Les départs se font dans l'ordre du classement de l'épreuve de la veille, toutes les 15 secondes, et nous voilà partis pour 8 km de canoë obligatoires, et 4 km d'option. Au vu du bonus que rapporte l'option (-1 heure sur le temps de course cumulé), nous ne nous posons même pas la question de la faire ou non.
L’équipage prend place sur un canoë gonflable 3 places avec Christophe en figure de proue, Laurent au milieu, et moi en barreuse… Nous l’avions décidé ainsi la veille car aucun des deux garçons n’avaient jamais vraiment navigué, et j’étais la personne avec le plus d’expérience malgré une simple séance annuelle…
Après de nombreux zig-zag au début, nous voilà partis à l’assaut des méandres du cours d’eau. A peine 100 m effectués, que nous nous faisons déjà doubler par une équipe… nous sentons que cela ne va pas être une partie de plaisir… J’essaie de barrer du mieux que je peux, mais je crois que je ne suis pas très douée et nos coups de pagaie nous semblent guère efficaces vu l’allure à laquelle des dizaines de canoë nous passent en filant sur l'eau. Le plus dur a été de voir passer l’équipe mixte n° 75, de Sita, sur laquelle nous n’avions que 6’ d’avance la veille. On aurait bien mis le grappin sur eux, mais ils ne nous ont pas attendu... méchants ! A l’arrivée, le verdict est vite tombé : ils nous avaient repris 6’ sur la durée du parcours, nous étions donc match nul après deux épreuves…
Cousin, je crois que tu as des choses à nous apprendre !!
Petit ravitaillement, changement d’équipier avec le remplacement de Christophe par Guillaume, et nous voilà ensuite partis pour une CO d’une technicité… nulle. Les seules cartes précises disponibles sur la région sont des cartes militaires au 1/25000 dont la dernière mise à jour date de 1980… Quand je découvre la carte à H=0, j’ai le regret de ne découvrir que 3 postes sur le parcours, avec d’énormes chemins (qui devaient encore exister…) pour nous y mener. Ça n'allait paas être facile de faire des écarts sur notre point fort…
Stratégiquement, j’avais décidé de partir une quinzaine de minutes derrière l’équipe 75. Arrivés à 300 m du 1er poste, nous les croisons et cela nous redonne un peu l’espoir d’essayer de faire le trou sur cette épreuve. Malheureusement, j’avais oublié que mes coéquipiers n’étaient pas orienteurs… et n’avaient pas l’habitude de courir en tout terrain. Pour éviter le sommet d’une petite colline, j’ai décidé de couper à travers un terrain plutôt instable sur 200 m, et à peine sorti du chemin, Laurent a senti partir brusquement sa cheville… après seulement 10’ de course. De longues minutes suivirent… il arrivait difficilement à marcher, et encore moins à courir. Nous poinçonnons le 1er poste et je décide de changer mon itinéraire pour aller au poste suivant afin de rester le plus longtemps possible sur les chemins et que Laurent puisse courir « à plat ». Mon enthousiasme pour cette épreuve s’est vite transformé en inquiétude… Laurent allait-il tenir jusqu’au bout, et surtout pourrait-il enchaîner les épreuves qui nous attendaient encore sur 2 jours ?? Au bilan, Laurent s’est super bien battu malgré la douleur, et nous terminons 4ème du classement scratch sur l’épreuve, à seulement 4 ' des premiers, juste derrière nos compagnons de course de l’équipe 48 emmenée par Bruno, mais surtout 8’ devant l’équipe mixte de Sita.
Place alors au VTT, avec une première épreuve de 15 km. Christophe, qui n’avait pas pu s’aligner la veille sur son sport préféré, a hâte de tourner les pédales et de se faire plaisir sur son vélo.
Le parcours est vallonné, avec une dominante de montées rocailleuses, mais toujours sur gros chemins. Dans la continuité de la veille, nous ne faisons que rattraper des équipes, et cela nous fait bien plaisir. Christophe découvre le raid… et la régularité dans l’effort. Nous ne reprenons malheureusement pas de temps sur l’équipe mixte 75 sur cette épreuve, mais perdons même 20''.
Le deuxième parcours de VTT semble plus sélectif. Je me fais vraiment plaisir tout au long du parcours, avec de bonnes petites côtes, des descentes très sympas, et une vue magnifique sur le Lac de Alade que nous longeons sur les hauteurs pendant quelques kilomètres. Les traceurs nous ont même fait le plaisir de nous emmener sur une colline bien pentue au sommet de laquelle la vue sur le lac était grandiose… le monde nous appartenait !
Malgré un petit coup de fatigue de Christophe, nous terminons très bien cette épreuve et reprenons 2’ sur l’équipe mixte 75.
Au bilan de la journée, nous terminons avec un peu moins de 10’ d’avance sur l’équipe 75. Mais les 17 km de canoë de demain nous font très peur… avec à côté seulement 26 km de VTT et 7 km de course, tout en descente…
Au programme de la journée :
- 12 km de canoë sur lac
- 10 km de CO sur carte au 1/25000
- 15 km de VTT
- 19 km de VTT
Le coq a chanté très tôt ce matin.
6h45, RDV sous le chapiteau pour un petit déjeuner bien utile pour la journée qui nous attend. S'ensuit alors une bonne heure de route pour nous emmener au bord du lac de Funcho où nous attend la première épreuve de Canoë.
Quelle surprise en arrivant sur le lac : la sécheresse a laissé son empreinte sur cette gigantesque réserve d’eau, qui ne ressemble plus qu’à un cours d’eau qui essaie péniblement de tracer sa route.
Les départs se font dans l'ordre du classement de l'épreuve de la veille, toutes les 15 secondes, et nous voilà partis pour 8 km de canoë obligatoires, et 4 km d'option. Au vu du bonus que rapporte l'option (-1 heure sur le temps de course cumulé), nous ne nous posons même pas la question de la faire ou non.
L’équipage prend place sur un canoë gonflable 3 places avec Christophe en figure de proue, Laurent au milieu, et moi en barreuse… Nous l’avions décidé ainsi la veille car aucun des deux garçons n’avaient jamais vraiment navigué, et j’étais la personne avec le plus d’expérience malgré une simple séance annuelle…
Après de nombreux zig-zag au début, nous voilà partis à l’assaut des méandres du cours d’eau. A peine 100 m effectués, que nous nous faisons déjà doubler par une équipe… nous sentons que cela ne va pas être une partie de plaisir… J’essaie de barrer du mieux que je peux, mais je crois que je ne suis pas très douée et nos coups de pagaie nous semblent guère efficaces vu l’allure à laquelle des dizaines de canoë nous passent en filant sur l'eau. Le plus dur a été de voir passer l’équipe mixte n° 75, de Sita, sur laquelle nous n’avions que 6’ d’avance la veille. On aurait bien mis le grappin sur eux, mais ils ne nous ont pas attendu... méchants ! A l’arrivée, le verdict est vite tombé : ils nous avaient repris 6’ sur la durée du parcours, nous étions donc match nul après deux épreuves…
Cousin, je crois que tu as des choses à nous apprendre !!
Petit ravitaillement, changement d’équipier avec le remplacement de Christophe par Guillaume, et nous voilà ensuite partis pour une CO d’une technicité… nulle. Les seules cartes précises disponibles sur la région sont des cartes militaires au 1/25000 dont la dernière mise à jour date de 1980… Quand je découvre la carte à H=0, j’ai le regret de ne découvrir que 3 postes sur le parcours, avec d’énormes chemins (qui devaient encore exister…) pour nous y mener. Ça n'allait paas être facile de faire des écarts sur notre point fort…
Stratégiquement, j’avais décidé de partir une quinzaine de minutes derrière l’équipe 75. Arrivés à 300 m du 1er poste, nous les croisons et cela nous redonne un peu l’espoir d’essayer de faire le trou sur cette épreuve. Malheureusement, j’avais oublié que mes coéquipiers n’étaient pas orienteurs… et n’avaient pas l’habitude de courir en tout terrain. Pour éviter le sommet d’une petite colline, j’ai décidé de couper à travers un terrain plutôt instable sur 200 m, et à peine sorti du chemin, Laurent a senti partir brusquement sa cheville… après seulement 10’ de course. De longues minutes suivirent… il arrivait difficilement à marcher, et encore moins à courir. Nous poinçonnons le 1er poste et je décide de changer mon itinéraire pour aller au poste suivant afin de rester le plus longtemps possible sur les chemins et que Laurent puisse courir « à plat ». Mon enthousiasme pour cette épreuve s’est vite transformé en inquiétude… Laurent allait-il tenir jusqu’au bout, et surtout pourrait-il enchaîner les épreuves qui nous attendaient encore sur 2 jours ?? Au bilan, Laurent s’est super bien battu malgré la douleur, et nous terminons 4ème du classement scratch sur l’épreuve, à seulement 4 ' des premiers, juste derrière nos compagnons de course de l’équipe 48 emmenée par Bruno, mais surtout 8’ devant l’équipe mixte de Sita.
Place alors au VTT, avec une première épreuve de 15 km. Christophe, qui n’avait pas pu s’aligner la veille sur son sport préféré, a hâte de tourner les pédales et de se faire plaisir sur son vélo.
Le parcours est vallonné, avec une dominante de montées rocailleuses, mais toujours sur gros chemins. Dans la continuité de la veille, nous ne faisons que rattraper des équipes, et cela nous fait bien plaisir. Christophe découvre le raid… et la régularité dans l’effort. Nous ne reprenons malheureusement pas de temps sur l’équipe mixte 75 sur cette épreuve, mais perdons même 20''.
Le deuxième parcours de VTT semble plus sélectif. Je me fais vraiment plaisir tout au long du parcours, avec de bonnes petites côtes, des descentes très sympas, et une vue magnifique sur le Lac de Alade que nous longeons sur les hauteurs pendant quelques kilomètres. Les traceurs nous ont même fait le plaisir de nous emmener sur une colline bien pentue au sommet de laquelle la vue sur le lac était grandiose… le monde nous appartenait !
Malgré un petit coup de fatigue de Christophe, nous terminons très bien cette épreuve et reprenons 2’ sur l’équipe mixte 75.
Au bilan de la journée, nous terminons avec un peu moins de 10’ d’avance sur l’équipe 75. Mais les 17 km de canoë de demain nous font très peur… avec à côté seulement 26 km de VTT et 7 km de course, tout en descente…
Céline DODIN
Rédigé par Céline DODIN le 13/10/2006 à 21:39
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Je viens de mettre en ligne les cartes de la finale de la coupe du monde de moyenne distance. J'ai également changé la carte du relais avec tracé qui était de mauvaise qualité.
Céline DODIN
Après une petite grasse matinée, nous voilà partis en quête de nos dossards ce matin avec tout notre matériel obligatoire.
Les vérifications techniques se passent sans problème jusqu'au contrôle des certificats médicaux ou licences sportives. Une de nos licences n'avait pas de numéro et ne mentionnait pas le certificat médical obligatoire... Christophe, bien embêté, devait donc attendre le médecin pour valider sa participation au Raid et nous permettre de récupérer les dossards et le doigt électronique si précieux, sans lesquels nous ne pouvions prendre le départ...
Du coup, changement de stratégie pour le prologue de l'après midi : c'est Laurent qui fera les 26 km de VTT avec Guillaume et moi. Au moment de partir vers le lieu de rendez-vous qui était à 45mn de route, soulagement du côté de l'équipe : la licence de secouriste de Christophe avait été validée par le médecin (après une attente de 45'...), et nous avions tout le matériel pour débuter l’aventure.
C’est dans un petit hameau à 60 km au nord de Vilamoura que nous avons écouté attentivement notre 1er briefing de la semaine. Nous sommes partis dans l’ordre des dossards toutes les 30’’. Comme nous avions le dossard 57, nous étions au milieu du paquet, et heureusement pour nous, nous avions doublé pas mal d’équipes avant d’arriver à la « single track » technique où nous n’avons pas perdu de temps. Les côtes et descentes se sont ensuite enchaînées, et nous nous sommes vraiment fait plaisir dans ce paysage particulier du sud du Portugal. C’était super motivant de rattraper une à une les équipes parties devant nous ! Nous avons terminé à la 9ème place du classement scratch de la journée et 1ers au classement mixte provisoire avec 6’ d’avance sur les 2èmes.
Mais demain est un autre jour avec entre autre 12 km de canoë sur lac... affaire à suivre...
Les vérifications techniques se passent sans problème jusqu'au contrôle des certificats médicaux ou licences sportives. Une de nos licences n'avait pas de numéro et ne mentionnait pas le certificat médical obligatoire... Christophe, bien embêté, devait donc attendre le médecin pour valider sa participation au Raid et nous permettre de récupérer les dossards et le doigt électronique si précieux, sans lesquels nous ne pouvions prendre le départ...
Du coup, changement de stratégie pour le prologue de l'après midi : c'est Laurent qui fera les 26 km de VTT avec Guillaume et moi. Au moment de partir vers le lieu de rendez-vous qui était à 45mn de route, soulagement du côté de l'équipe : la licence de secouriste de Christophe avait été validée par le médecin (après une attente de 45'...), et nous avions tout le matériel pour débuter l’aventure.
C’est dans un petit hameau à 60 km au nord de Vilamoura que nous avons écouté attentivement notre 1er briefing de la semaine. Nous sommes partis dans l’ordre des dossards toutes les 30’’. Comme nous avions le dossard 57, nous étions au milieu du paquet, et heureusement pour nous, nous avions doublé pas mal d’équipes avant d’arriver à la « single track » technique où nous n’avons pas perdu de temps. Les côtes et descentes se sont ensuite enchaînées, et nous nous sommes vraiment fait plaisir dans ce paysage particulier du sud du Portugal. C’était super motivant de rattraper une à une les équipes parties devant nous ! Nous avons terminé à la 9ème place du classement scratch de la journée et 1ers au classement mixte provisoire avec 6’ d’avance sur les 2èmes.
Mais demain est un autre jour avec entre autre 12 km de canoë sur lac... affaire à suivre...
Céline DODIN
Cette année, le raid suez prendra place à Vilamoura au Portugal, dans la région de l'Algarve.
Nous sommes partis ce matin de l'aéroport St Exupéry de Lyon où nous nous étions donnés rendez-vous pour nous envoler vers cette belle aventure. Atterrissage 2 heures plus tard à Lisbonne où nous attendaient encore 2h30 de route jusqu’à notre destination finale de Vilamoura.
Les déserts de pierres et de rocailles se sont enchaînés le long de l’autoroute, et quelle ne fut pas notre surprise de découvrir la fraîcheur et les pelouses vertes de Vilamoura, capitale du golf du sud du Portugal.
Le soir, après avoir déballé nos VTT et fait les réglages mécaniques qui s’imposaient, petit repas bien mérité sur le port avant d’attaquer les épreuves dès demain.
Les équipiers de cette édition 2006 :
Nous sommes partis ce matin de l'aéroport St Exupéry de Lyon où nous nous étions donnés rendez-vous pour nous envoler vers cette belle aventure. Atterrissage 2 heures plus tard à Lisbonne où nous attendaient encore 2h30 de route jusqu’à notre destination finale de Vilamoura.
Les déserts de pierres et de rocailles se sont enchaînés le long de l’autoroute, et quelle ne fut pas notre surprise de découvrir la fraîcheur et les pelouses vertes de Vilamoura, capitale du golf du sud du Portugal.
Le soir, après avoir déballé nos VTT et fait les réglages mécaniques qui s’imposaient, petit repas bien mérité sur le port avant d’attaquer les épreuves dès demain.
Les équipiers de cette édition 2006 :
- Elisabeth MARSAULT (Eclaireuse, centre régional Rhône-Saône)
- Maud-Sophie MICHARD (Eclaireuse, centre régional Dauphiné Savoie)
- Rémi SEYSSAUD (Eclaireur, centre régional Rhône-Provence)
- Guillaume CHAVAROT (Sportif, centre régional Loire Auvergne)
- Christophe DURAND (Sportif, centre régional Dauphiné Savoie)
- Christian SANGUINET (Supporter, centre régional Côte d'Azur)
- Laurent ROUSSEL (Sportif, centre régional Rhône-Saône)
- Céline DODIN (Sportive, centre régional Rhône-Provence)
Céline DODIN
Actualités
La semaine de coupe du monde s’est enchaînée sur la dernière nationale de la saison.
J’ai choisi d’y prendre part, malgré la fatigue de la semaine, pour représenter mon club dans cette dernière grande course nationale de la saison.
Les organisateurs ont décidé de ne pas classer les athlètes ayant pris part au relais et à la moyenne de la coupe du monde. J’ai réalisé un temps de 1h30’20’’, avec beaucoup de petites fautes sur différents postes, dont une plus importantes sur le poste 9 : je suis arrivée sur le chemin trop à gauche par rapport à ce que je pensais, et je suis partie dans la forêt une coude de chemin trop tard… En tous cas, cela m’a fait bien plaisir de retourner sur ces terrains magnifiques une dernière fois pour cette saison !
Les cartes arrivent, mais j'ai un problème de téléchargement...
J’ai choisi d’y prendre part, malgré la fatigue de la semaine, pour représenter mon club dans cette dernière grande course nationale de la saison.
Les organisateurs ont décidé de ne pas classer les athlètes ayant pris part au relais et à la moyenne de la coupe du monde. J’ai réalisé un temps de 1h30’20’’, avec beaucoup de petites fautes sur différents postes, dont une plus importantes sur le poste 9 : je suis arrivée sur le chemin trop à gauche par rapport à ce que je pensais, et je suis partie dans la forêt une coude de chemin trop tard… En tous cas, cela m’a fait bien plaisir de retourner sur ces terrains magnifiques une dernière fois pour cette saison !
Les cartes arrivent, mais j'ai un problème de téléchargement...
Céline DODIN