Le traitement manuel de la hanche répond à une large plate forme possible de pathologies. L’établissement au préalable d’une clinique précise et rigoureuse permettra de cibler les techniques les plus efficaces cas par cas. En effet, l’articulation coxo-fémorale est sujet très souvent à des contraintes de déséquilibres et des conflits, souvent délaissés par le masseur-kinésithérapeute. La complexité diagnostique se retrouve dans les statistiques notamment dans le cadre des rechutes. Pour exemple, dans le football, le taux de rechute reste assez important, 15%, et peut même atteindre 31% dans le cadre de tendinopathie dans un environnement de pubalgie. Le masseur-kinésithérapeute, libre du choix de ses techniques, pourra , selon son décret d’actes, les organiser à son gré. Citons parmi elles les suivantes :
1) Techniques de mobilisations spécifiques instrumentales et non instrumentales
2) Techniques structurelles non manipulatives
3) Techniques tissulaires ( reboutement, massage,…)
4) Techniques neuro-musculaires ( neuro-inhibition)
5) Techniques gymniques à visée rééducative et préventive
1) Techniques de mobilisations spécifiques instrumentales et non instrumentales
2) Techniques structurelles non manipulatives
3) Techniques tissulaires ( reboutement, massage,…)
4) Techniques neuro-musculaires ( neuro-inhibition)
5) Techniques gymniques à visée rééducative et préventive