PASCALE *****

il ne s'agit pas d'imaginer (sauf si on en a envie) on fait appel à la mémoire, aux sensations, aux perceptions - de soi, du monde alentour, aux souvenirs.
L’argent : ce qu’il achète -ou pas- (vous me devez…)
Proverbes, tout est possible...




L'argent ne fait pas le bonheur : si c'est vrai, rendez le disait Jules Renard dans son journal. Tout comme la plaie d'argent qui n'est pas mortelle, il est vrai, mais qui ne se ferme que difficilement. D'ailleurs, le meilleur moyen pour connaître le prix de l'argent, c'est encore d’essayer d'en emprunter !
De nombreux mots circulent à ce sujet.
« L'argent n’a point d’odeur » entendons-nous souvent dire.
Ce proverbe doit son origine à l'événement suivant : l'empereur romain Vespasien avait mis un impôt sur les latrines, contre l’avis de son fils Titus. Lorsqu'il en retira ses premiers revenus, il prit une pièce, l'approcha du nez du prince et lui dit : « cela sent-il mauvais ? » D'où cette élégante maxime…

Mais quelqu’aisance qu’il permette, nous aurons beau posséder tout l’or du monde, rien ne saurait acheter la santé, l'affection, la joie, l'appétit de vivre ou le pardon.
C'est pourtant ce que croyaient nombre de nos ancêtres qui, au passage des nouveaux siècles, se délestaient parfois de leur fortune de crainte de ne pas accéder au paradis.
Mais le ciel non plus ne s’achète pas. Probablement se mérite-il. Tout simplement.
Peut-être suffit-il d’écouter plus souvent son coeur que sa raison ou ses envies... Je ne sais pas. Mais je n'y applique. Au cas où. Et je me sens riche. Riche de l'amour de ceux qui m'entourent. Pour être aimée encore faut-il être « aimable » ! Et toujours ces deux fameux synonymes : « donner » et « recevoir ». Auxquels je suis tentée d'ajouter le verbe « croire ».

Pascale pour le 4 décemlre 2006.


Chantal et moi avions préparé ce jeu à la maison et le 4 décembre, vous en avons concocté un autre qui suit... OBSERVATION...










Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 04/12/2006 à 18:45

CHANTAL

28/11/2006

Mots à insérer :
LUNETTE: Loisir, libre, unique, uni, nourriture, nœud, élégant, estimer, turpitude, théâtre, tulipe, tampon, esthétique, envie.
Jokers : beaux, dans, bleu


LUNETTES ...


LUNETTE VAGABONDE

« Longue » vue, « libre » lunette,
Pour voir toujours plus loin
Que le p’tit bout de la lorgnette.
Ah comme j’aimerais
Comm’ j’aimerais bien,
Un de ces jours la dénicher
Cette merveille imaginaire
Pour, à loisir en disposer
Et m’échapper du « terre à terre »…
Pour voir plus loin, plus grand, plus haut,
Pour me servir d’échelle ou d’escabeau
Et « m’agrandir » ce qui est « rikiki »
Ce qui n’est qu’détail ou tout petit
Et sur lequel j’me fais des nœuds
Où, trop longuement, je m’appesantis.

Voir donc plus grand ou voir l’ensemble
Et apprécier la vraie valeur
De ce théâtre dans sa splendeur
Qu’est notre vie, la tienne, la mienne
Et que parfois je traite de « chienne ».
Mettre donc l’œil dans la lunette
Et estimer à bonne distance
Une nature pleine d’élégance
Qui offre toute une palette
Sans faute de goût ni d’esthétique,
Une vue d’ensemble en somme magique.

Ainsi munie de ma lorgnette
Je verrais à peine dans la fenêtre
Les turpitudes ou les rancoeurs
Je n’garderais que la couleur
D’un bel ensemble doux comme un cœur
Qui nous nourrit et nous remplit
De c’qu’on nommera de l’énergie

Cette lunette chez la marchande
J’imagine bien n’est pas à vendre
Elle est donc à imaginer.
Il va falloir se l’inventer.
Forme de tulipe ou d’orchidée ?
C’est ainsi que je la verrais,
D’un bleu intense je la peindrais
Couleur du ciel je l’aimerais
Et d’œil en œil elle passerait,
La vie légère elle nous ferait.
A notre nombril trop regarder,
Tout devient alors compliqué.
Vite un petit coup dans la lorgnette,
Le monde vit, rien ne l’arrête
Et il est si beau, on nous le prête.

Chantal pour le 27 novembre 2006.



[

Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 28/11/2006 à 17:35

CHRISTIANE J.*****

28/11/2006

Mots à placer : lunette, loisir, libre, unique, uni, nourriture, nœud, élégant, estimer, turpitude, théâtre, tulipe, tampon, esthétique, envie.
Jokkers :beaux, dans, bleu



Mirage

Par une belle nuit d’été, Stella Copernic, munie de sa lunette d’astronome, gravit la colline qui domine son village du Lubéron, comme elle en a l’habitude depuis sa plus tendre enfance.

Au fil des siècles chaque génération de sa famille poursuit l’étude des astres commencée par son illustre aïeul et c’est avec une insatiable curiosité qu’elle contemple à loisir le firmament, scène de théâtre unique en perpétuel mouvement.

Les galaxies n’ont pas de secret pour elle, elle observe avec délice les comètes, leurs élégantes chevelures lumineuses et bleutées nourries de poussières, les myriades d’étoiles étincelantes ou modestes qui, pour nous profanes, semblent accrochées à la voûte céleste.

En union avec son estimé ancêtre, la gorge nouée par l’émotion, dans la clarté de la nuit elle se délecte du festival de ces astres ivres de liberté, décrivant parfois d’esthétiques spirales serties d’un halo coloré ou laiteux. Fascinée par les constellations, elle s’attarde en particulier sur Cassiopée dont les étoiles forment une corolle de tulipe.

Elle tressaille parfois en surprenant la collision de deux galaxies qui éclatent en gerbes scintillantes ou en suivant la fulgurante trajectoire d’un météore.

Il arrive de temps à autre que Stella s’endorme dans l’herbe douce, la tête remplie de cette féérie.

Ce matin-là, réveillée par une fraîche rosée, elle s’interroge : a-t-elle rêvé ou bien son regard, captif de la sphère céleste, s’est-il porté jusqu’au seuil du paradis ? A-t-elle réellement aperçu St Pierre accueillant les âmes et qui, fort de son pouvoir, soit rejetait impitoyablement les esprits entachés de leurs turpitudes terrestres, soit apposait son tampon, sésame ouvrant sur la lumière éternelle ?

Stella Copernic sourit : peu importe, elle sait qu’elle n’en a pas fini avec les mystères du cosmos.



Christiane J. pour le 27 novembre 2006.





Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 28/11/2006 à 10:57

PASCALE *****

commencer un texte avec : si j’étais une fée, un clown ou un autre personnage, passez à la voisine qui continue et ainsi de suite.




Si j’étais une fée, avec ma baguette magique, je passerais mon temps à transformer le monde, le mal en bien, le négatif en positif, je redonnerais le sourire aux malheureux qui deviendraient heureux, ceux qui étaient dans la misère trouveraient l’abondance.

J’entends une voix m’interpeller : « ma bonne fée, viens à mon secours, mon appel ne va pas te paraître urgent mais j’ai en ce moment un gros problème. Ce soir, je dois assister à un bal et ma robe n’est plus à la mode et je dois rencontrer l’homme de ma vie, du moins je le suppose, non j’en suis certaine, quelque chose m’en donne la certitude, c’est comme ça ! »

« Fais ce que tu peux, mais fais vite ! Je suis déjà en retard. »
Ne t’inquiète pas lui dit la fée. Si je peux mettre l’espoir là où il y a le désespoir, la foi là où il y a le doute, la lumière là où sont les ténèbres, penses-tu qu’il me sera difficile de transformer ta robe en quelque chose de si beau que personne ne pourra égaler ta beauté. Je vais accéder à ta requête. Toutefois, avant cela, je vais te dire quelque chose d’important : Connais-tu le proverbe qui dit « l’habit ne fait le moine ? » Tu peux bien te présenter en haillons, si tu as une belle âme, l’homme de ta vie ne verra que cette beauté intérieure. Tu peux bien te présenter en robe de cérémonie, si ton esprit est vilain, aucun artifice vestimentaire ne saura le cacher …
- Oui mais…
- Je sais, ne dis rien, je vais te rendre aussi jolie qu’une princesse…Car, vois-tu, entre la théorie et la pratique, tu ne m’as pas laissé finir ma chérie, il y a un monde. Et c’est vrai : l’homme de ta vie, si c’est lui, sera plus sensible à ta beauté intérieure mise en valeur par de jolis atours !

Christiane L. (en gras), Marie (italique) et Pascale (normal)
Jeu du 20 novembre 2006.






Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 28/11/2006 à 00:46

CHRISTIANE L. *

commencer un texte avec « si j’étais une fée »( un clown un père Noël ou un autre personnage) passer à la voisine qui continue et ainsi de suite…





Si j’étais une fée, avec ma baguette magique, je passerais mon temps à transformer le monde, le mal en bien, le négatif en positif, je redonnerais le sourire aux malheureux qui deviendraient heureux, ceux qui étaient dans la misère trouveraient l’abondance.


J’entends une voix m’interpeller : « ma bonne fée, viens à mon secours, mon appel ne va pas te paraître urgent mais j’ai en ce moment un gros problème. Ce soir, je dois assister à un bal et ma robe n’est plus à la mode et je dois rencontrer l’homme de ma vie, du moins je le suppose, non j’en suis certaine, quelque chose m’en donne la certitude, c’est comme ça ! »


« Fais ce que tu peux, mais fais vite ! Je suis déjà en retard. »
Ne t’inquiète pas lui dit la fée. Si je peux mettre l’espoir là où il y a le désespoir, la foi là où il y a le doute, la lumière là où sont les ténèbres, penses-tu qu’il me sera difficile de transformer ta robe en quelque chose de si beau que personne ne pourra égaler ta beauté. Je vais accéder à ta requête. Toutefois, avant cela, je vais te dire quelque chose d’important : Connais-tu le proverbe qui dit « l’habit ne fait le moine ? » Tu peux bien te présenter en haillons, si tu as une belle âme, l’homme de ta vie ne verra que cette beauté intérieure. Tu peux bien te présenter en robe de cérémonie, si ton esprit est vilain, aucun artifice vestimentaire ne saura le cacher …
- Oui mais…
- Je sais, ne dis rien, je vais te rendre aussi jolie qu’une princesse…Car, vois-tu, entre la théorie et la pratique, tu ne m’as pas laissé finir ma chérie, il y a un monde. Et c’est vrai : l’homme de ta vie, si c’est lui, sera plus sensible à ta beauté intérieure mise en valeur par de jolis atours !

Christiane L. (en gras), Marie (italique) et Pascale (normal)
Jeu du 20 novembre 2006.









Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 28/11/2006 à 00:44

Mots à insérer :
Lunette : libre, loisir, uni, unique, nourriture, nœud, élégant, estime, turpitude, tulipe, théâtre, tampon, esthétique, envie.
Jokers : beau, dans, bleu.


Journal du jour.

- Courses matinales. J’ai acheté des bulbes de tulipe présentés en libre service. J’imagine déjà l’élégance printanière de leur floraison.

- Le temps exécrable m’à laissé tout loisir pour achever enfin de lire, « Les nouvelles confessions ». Ce titre s’inspire de celui de l’œuvre de Jean-Jacques Rousseau dont la lecture a profondément marqué le destin du héros. Le roman commence par une phrase dure : « Mon premier acte en venant au monde fut de tuer ma mère ». De son enfance écossaise à sa dernière retraite, le héros relate -non sans théâtralité- le cours de sa vie, les évènements imprévus, ses turpitudes et avanies, ses aventures, qui le conduisirent en Europe et aux Etats-Unis tout en traversent les deux guerres mondiales. Les derniers instants du récit ne dénouent pas le suspense final !

- A 14 heures, j’ai cédé à l’envie de sortir dans le bois car j’avais besoin de m’oxygéner. La nature étalait son esthétique automnale. Malgré la buée sur les lunettes, j’ai découvert -émergeant de la mousse et des feuilles mortes- un gisement de pieds de mouton qui viendront nourrir la maisonnée. J’ai mésestimé le pouvoir pénétrant de la pluie : suis rentré trempé.

- Au courrier, le tampon de l’unique lettre à trahi sa provenance. Merci à notre grande voyageuse de nièce d’avoir pensé à nous. Le quotidien régional pour sa part rapporte un attentat de plus… Il parle aussi de la mise en cause judiciaire de dirigeants actuels du Rwanda. Coïncidence ou non, je suis allé voir lundi le film Kigali qui témoigne du génocide de 1994. Deux témoins directs : un french doctor et un général des casques bleus, y déplorent leur impuissance. Pour les victimes de massacres qui n’étaient pas inévitables, il est -encore une fois- trop tard.

- Ce soir, je ne suis pas allé écouter les informations de la télévision.

René pour le 27 novembre 2006.





Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 28/11/2006 à 00:24

LUCIENNE

27/11/2006

Si j’étais une fée






Si j’étais une fée, j’aurai beaucoup de difficultés, il me serait très dur et je pense souvent insurmontable de faire le choix dans mon travail.
Je pense que je favoriserai les plus démunis matériellement mais surtout moralement. La priorité, tendre la main à une personne que je croise régulièrement dans la rue. Vêtue proprement mais à l’air si triste, au regard fuyant et bas.
Puis-je satisfaire un de vos souhaits ma brave dame ?
Elle lève la tête et son air étonné me fait mal car elle a peur de ma question visiblement.


Je comprends qu’elle n’a pas dans sa vie, déjà rencontré une fée. Même si le sort ne lui a pas toujours été contraire-Dieu merci-elle semble bénéficier d’une agréable constitution et d’une bonne santé. Visiblement l’état de ses vêtements, gris, démodés, le peu de soin apporté à sa coiffure, l’absence de maquillage, sa mine désabusée et son air triste, traduisent ses déboires.

Elle a donc perdu tout espoir pour être surprise à ce point ! Elle est fière et ne veut pas de charité. Simplement qu’on l’écoute car elle en a gros sur le cœur.
Sera-t-elle écoutée ? Cette fée a l’air sympathique, mais aura-t-elle le temps et la patience ? Comprendra-t-elle son tourment ? Et aura-t-elle une solution pour arrêter son tourment ?

Lucienne (en gras,

Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 27/11/2006 à 18:51

LUCIENNE

Mots à insérer:
LUNETTE : libre, loisir, unique, unie, nourriture, nœud, élégant, estime, turpitude, tulipe, théâtre, tampon, esthétique, envie.
Jokers : beau, dans, bleu.





Parc fleuri.

C’est le printemps, me voilà libre de circuler à ma guise, de profiter à loisir du renouveau de la nature. Quel plaisir de se promener dans ce théâtre de verdure au bord du lac, paysage unique planté par les jardiniers de la ville. Dans les rocailles, les tulipes avoisinent les jonquilles et les narcisses, les pensées résistent avec élégance tout en partageant leur nourriture sans turpitude avec les nouvelles venues.
Tels des magiciens, les ouvriers ont su unir les teintes, les hauteurs des plantes dans une esthétique harmonieuse.
C’est encore plus beau sous ce ciel bleu et les premiers rayons de soleil. Il ma faudra songer à ressortir mes lunettes noires !
J’ai beaucoup d’estime pour nos maîtres d’œuvre, leur patience, leurs choix mais quand je les vois ôter en fin de saison des fleurs encore vivaces, j’ai envie d’en remplir mon jardin pour essayer de les sauver. Jai un nœud à l’estomac de les voir s’amonceler dans la benne du camion via le compost !

Lucienne pour le 27 novembre 2006.











Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 27/11/2006 à 18:49

PASCALE *****


commencer un texte avec « si j’étais une fée »( un clown un père Noël ou un autre personnage) passer à la voisine qui continue et ainsi de suite…




Si j’étais une fée

Je suis déjà bien vielle et ma baguette, bien qu’elle ait exaucée beaucoup de vœux n’a pas toujours comblé ceux à qui j’ai répondu. Par exemple, une femme encore jeune, n’avait pas encore eu la joie de bercer un enfant, son propre enfant entre ses bras. Avec son époux, tous les deux se sentaient frustrés d’un sentiment, d’un amour qu’ils étaient prêts à donner sans compter.
Un jour, je passais près de leur villa, une splendide demeure, au milieu d’un parc fleuri à merveilles et arboré d’arbres majestueux.


Les deux jeunes gens étaient installés sur la terrasse et livraient leur corps aux premiers rayons de soleil. C’était le printemps, mais ils ne portaient que de légers vêtements. Je n’osais m’approcher de crainte de les déranger dans leur tête à tête. Ils sablaient, me semble-t-il le champagne. Quelle heureuse nouvelle partageaient-ils ? J’étais curieuse de savoir.
Lorsqu’ils m’aperçurent, les yeux rieurs, ils me firent signe de les rejoindre. En approchant, j’ignore pourquoi, mes yeux se portaient plutôt sur l’épouse. Elle resplendissait. Je remarquais ses cheveux dénoués et brillants que , d’ordinaire, elle tirait en arrière,de façon disgracieuse. Puis ses yeux ! Rieurs. Pétillants. Puis…..Puis je vis le petit ventre arrondi…..


Une vie nouvelle , encore balbutiante se développait à l’intérieur de ce corps gracieux. Cela valait bien une coupe de champagne ! Mais que de soucis, de craintes, de turpitudes avant que n’éclose cet espoir naissant ! Que de « fais attention chérie ! » entendrait-elle à chaque instant. Neuf mois de frustrations vaines, auxquelles la jeune femme n’était pas habituée, deviendraient le quotidien de son existence
Il lui arriverait peut-être parfois de regretter sa liberté passée. Mais la pensée de ce bonheur qui l’attendait, bonheur de voir un jour un bambin courir dans ces allées fleuries, valait bien quelques sacrifices….A moins que l’époux, fort mari de toutes ces restrictions, ne s’en aille ailleurs trouver quelques compensations !!!!



Marie (en gras), Pascale (italique) et Renée (normal)
Jeu du 20 novembre 2006.


Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 27/11/2006 à 10:23


« Si j’étais une fée… » Commencer le récit par "si j'étais une fée (ou tout autre personnage - père Noël etc) Passer au voisin qui continue le récit de façon cohérente...




Je me transporterais avec la rapidité d’une fusée aux quatre coins de France pour rencontrer aisément et fréquemment les personnes que j’aime, dont l’affection me manque, pour échanger, partager, écouter, rire.
Pas d’horaires draconiens à subir, pas de temps à programmer, hop ! d’un coup de baguette magique je serais près d’eux, sans craindre de déranger leur agenda puisqu’aussi prestement je pourrais repartir ailleurs.
Je sais, mon vœu s’apparente à une errance qui me manque, aller de-ci de-là, sans organisation drastique.


Quelle belle vie, pouvoir me déplacer aisément mais toutefois ne me demandez pas tous la même date. Je suis disponible 24 h sur 24 et non soumise aux 35 heures. Je ne crains pas le froid et supporte très bien la chaleur, donc de ce fait je peux rapidement changer de latitude. Pas de problème de vestiaire, de valise, ni de balai comme les sorcières.
C’est magique. La connection permanente et sans souci d’électricité ou d’internet. Mon audition est permanente.




En quelque sorte, je serais un peu comme Dieu et le Saint-Esprit mais sans la responsabilité et les devoirs d’une telle charge et puis moi je peux vraiment m’incarner et connaître la vie de son côté. Cela me donne d’ailleurs l’idée d’aller faire un séjour à Tahiti, puis au pôle chez les Inuits. Puis en cette période moderne, ne faudrait-il pas que je me tourne vers l’espace pour explorer la banlieue de la terre : la lune, puis bien plus loin, les comètes, les étoiles …
Mais ceci est une autre histoire que je vous conterai la prochaine fois.


Christiane J. (en gras), Lucienne (italique) et René (normal)
Jeu du 20 novembre 2006.







Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 22/11/2006 à 14:19