Syndrome de peter pan : Ne pas franchir le cap de la puberté
Arrivé à l’âge de la puberté, l’être humain arrive dans la phase du changement majeur dans sa vie. Changement physique, psychologique, les sujets de discussions vont faire la différence entre un petit garçon et un adolescent. Le syndrome de Peter Pan peut apparaître dès l’âge de 13 ans, l’adolescent se veut être écouté, aimé et qu’on se plie à ses caprices, tout le monde doit être en accord avec ses souhaits.
« Montre que tu es un homme » : c’est le style de paroles qu’un homme atteint du syndrome ne pourrait pas supporter. A un âge plus avancé, le syndrome de Peter Pan amène les hommes à adopter un comportement d’enfants. On les reconnaît par la solitude absolue et un sentiment d’insatisfaction. Ces hommes ont besoin de sentir qu’ils sont aimés. Attaché à son enfance, l’amour de leurs mères leur manque qu’ils cherchent de leurs conjointes le même attachement. Les femmes ont parfois du mal les comprendre qu’aucune relation amoureuse ne semble durer longtemps.
Ce syndrome peut provenir d’une douleur grave durant l’enfance, un traumatisme qui amène la personne à s’éloigner des autres. La solitude et l’isolement sont pour eux la solution pour échapper aux réalités de la vie ; parfois dures à supporter or, c’est comme cela être adulte. Le syndrome de Peter Pan peut être traité par une psychothérapie, le but est d’apprendre le patient à mieux se connaître et développer chez lui le sentiment de responsabilité et sa place dans l’environnement social.
« Montre que tu es un homme » : c’est le style de paroles qu’un homme atteint du syndrome ne pourrait pas supporter. A un âge plus avancé, le syndrome de Peter Pan amène les hommes à adopter un comportement d’enfants. On les reconnaît par la solitude absolue et un sentiment d’insatisfaction. Ces hommes ont besoin de sentir qu’ils sont aimés. Attaché à son enfance, l’amour de leurs mères leur manque qu’ils cherchent de leurs conjointes le même attachement. Les femmes ont parfois du mal les comprendre qu’aucune relation amoureuse ne semble durer longtemps.
Ce syndrome peut provenir d’une douleur grave durant l’enfance, un traumatisme qui amène la personne à s’éloigner des autres. La solitude et l’isolement sont pour eux la solution pour échapper aux réalités de la vie ; parfois dures à supporter or, c’est comme cela être adulte. Le syndrome de Peter Pan peut être traité par une psychothérapie, le but est d’apprendre le patient à mieux se connaître et développer chez lui le sentiment de responsabilité et sa place dans l’environnement social.
l'Origine du syndrome de Peter Pan
Le concept fut développé par Dan Kiley (psychanalyste) en 1983. Son nom a été inspiré par Peter Pan, héros créé par J. M. Barrie. Malgré l'approche psychologique rigoureuse de l'ouvrage Le Syndrome de Peter Pan, ce syndrome n'est pas pour le moment reconnu par le DSM-IV comme maladie mentale.
Le syndrome apparaît le plus souvent au début de l'âge adulte, lorsque l'individu commence à avoir des responsabilités. Le plus souvent il s'agit de célibataires. Kiley fait remarquer qu'on l'observe particulièrement chez d'anciens enfants dont le père était souvent critiqué à la maison par la mère et réagissait par la passivité au lieu de fournir son point de vue. Il s'agirait dans ce cas d'un mimétisme de la fuite.
Le renouement avec l'enfant intérieur
À l'âge de la maturité – qui n'attend pas forcément un âge social déterminé même si la statistique sociologique nous apprend que c'est vers la quarantaine – dans ce que l'on nomme parfois « la seconde partie de vie », l'adulte (en devenir) peut éprouver le besoin de retrouver un lien avec lui-même, avec son enfant intérieur, et s'inscrire dans la vie d'une manière différente.
Travailler au lien avec son enfant intérieur est alors utilisé aussi dans une démarche psychothérapeutique de certains courants de la Psychothérapie d'Inspiration Psychanalytique (P. I. P. désignant une famille de soins psychiques), comme chez John Bradshaw ou Hal et Sidra Stone dans son ouvrage Le Dialogue intérieur.
Pour les personnes souffrant de difficultés d'attachement (angoisse à s'attacher, attachement incontrôlable, relations faisant souffrir), l'attachement primitif mère-enfant serait le prototype des affinités, et plus généralement, des relations privilégiées de l'adulte par la suite. Il s'agit alors de réparer « le lien » et d'apaiser le patient dans son rapport au monde. Il pourra alors, se connaissant, composer avec sa douleur et entrer en relation.
Une fois le lien « douloureux » retravaillé, le patient ou la patiente peut alors quitter les relations pathogènes pour lui-même telles que : la boisson, la sexualité compulsive (ou réfrénée), le (la) conjoint(e) maltraitant(e), la sur-activité professionnelle ou ménagère, la sur-intellectualisation ou la guerre idéologique pour la guerre idéologique. Pour les personnes souffrant du syndrome de Peter Pan, il s'agit alors d'ouvrir le patient à la réalité du monde pour qu'il s'y inscrive. Il pourra alors tenir sa place.
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