« Si j’étais une fée… » Commencer le récit par "si j'étais une fée (ou tout autre personnage - père Noël etc) Passer au voisin qui continue le récit de façon cohérente...





Je me transporterais avec la rapidité d’une fusée aux quatre coins de France pour rencontrer aisément et fréquemment les personnes que j’aime, dont l’affection me manque, pour échanger, partager, écouter, rire.
Pas d’horaires draconiens à subir, pas de temps à programmer, hop ! d’un coup de baguette magique je serais près d’eux, sans craindre de déranger leur agenda puisqu’aussi prestement je pourrais repartir ailleurs.
Je sais, mon vœu s’apparente à une errance qui me manque, aller de-ci de-là, sans organisation drastique.


Quelle belle vie, pouvoir me déplacer aisément mais toutefois ne me demandez pas tous la même date. Je suis disponible 24 h sur 24 et non soumise aux 35 heures. Je ne crains pas le froid et supporte très bien la chaleur, donc de ce fait je peux rapidement changer de latitude. Pas de problème de vestiaire, de valise, ni de balai comme les sorcières.
C’est magique. La connection permanente et sans souci d’électricité ou d’internet. Mon audition est permanente.




En quelque sorte, je serais un peu comme Dieu et le Saint-Esprit mais sans la responsabilité et les devoirs d’une telle charge et puis moi je peux vraiment m’incarner et connaître la vie de son côté. Cela me donne d’ailleurs l’idée d’aller faire un séjour à Tahiti, puis au pôle chez les Inuits. Puis en cette période moderne, ne faudrait-il pas que je me tourne vers l’espace pour explorer la banlieue de la terre : la lune, puis bien plus loin, les comètes, les étoiles …
Mais ceci est une autre histoire que je vous conterai la prochaine fois.

Christiane J. (en gras), Lucienne (italique) et René (normal)
Jeu du 20 novembre 2006.








Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 22/11/2006 à 14:15

LUCIENNE

Commencer par "si j'étais une fée" (ou tout autre personnage de votre choix -père Noël, clown) passer au voisin qui poursuit le récit...





Si j’étais une fée, je partirais sur un nuage et je ferais le tour de la terre. Je me poserais ici ou là, dans un lieu qui, du haut du ciel, me paraîtrais aimable ou étrange. J’explorerais des forêts, des savanes, des montagnes et je me mêlerais, incognito aux habitants de ces contrées. Je me draperais dans un sari aux Indes, je revêtirais un jupon coloré au Pérou, je m’engoncerais dans un anorak pour parcourir en traîneau les déserts glacés de l’Antarctique et quand, lasse de mon expérience terrestre, j’aspirerais à un peu de sérénité, je remonterais sur mon nuage pour prendre hauteur et distance avec toutes les contingences du monde d’en bas.

Quel joli programme !quelle curiosité : Oui mais pour accomplir cette exploration, que dis- je, cette rotation, il faut un nuage poussé par un vent fort et docile à la fois pour me conduire dans les contrées de mes rêves. Quel bonheur de parcourir cette planète en un temps record, c'est-à-dire faisant fi du temps qui passe. Oui c’est un rêve que j’aimerais réaliser. Quelle frustration parfois de se dire qu’il faut tirer un trait sur les projets de mon adolescence !

L’adolescence, il ne faut pas avoir des regrets maintenant, il y a le vécu, l’expérience. J’ai plus de choses à partager et je profite de tous les instants. S’arrêter en admiration devant un paysage, apprécier la vie, prendre le temps pour tout. Ne pas perdre de temps dans les transports et les embouteillages est un grand avantage. Pas de souci pour l’augmentation du carburant (je n’en emploie pas), pas de contraintes non plus pour les horaires. Quel bonheur ! Et puis, la sécurité sur la route des fées est totale. Peut- être attention au langage mais ce ne serait pas insurmontable. Oui mais, à la longue, est- ce que je ne m’ennuierais pas sans un caillou dans l’engrenage ?

Dans l’ordre : Renée (gras), Christiane J. (italique) Lucienne (normal)
Jeu du 20 novembre 2006.


Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 21/11/2006 à 16:27

LUCIENNE

19/11/2006


Mots à insérer : TAQUIN, torrent, tentation, autre, aspirer, quatre, qualité, union, urgent, inique, irritée, nausée, naturel.
Jokers : facile, bien, ciel.





Curiosité.


Que se passe-t-il aujourd’hui ?
En arrivant sur le parking sur le parking, je vois un torrent de personnes se diriger vers les arènes.
Une véritable marée humaine coule vers le même point, la tentation est grande et la curiosité l emporte.
Je me mêle aux autres et suis rapidement aspirée par le mouvement. La colonne franchit la porte principale et nous montons dans les gradins par un des quatre escaliers .Quelle situation cocasse ! Dans le centre de l’arène des hommes installent le matériel et la sono pour le concert de Johnny ce soir à 21 heures. Ce sera sûrement un spectacle de qualité à en juger par tout le matériel entassé. Les responsables ont tout simplement omis de fermer la porte après le déchargement des camions.
Quelle situation inique, je suis irritée de m’être laissée par ma curiosité, j’en ai presque la nausée.
Quelle rumeur a donc couru pour que tous se précipitent à l’intérieur ? Pensaient-ils que l’artiste surveillait l’installation de la scène et des micros ? Ou se sont ils laissés piégés comme moi !
Je redescends et sors dans le parc prendre un bol d’air frais. Etonnant ce besoin de savoir !
Heureusement que je n’avais pas de rendez-vous urgent mais du temps pour flâner.
Un ami se trouve à l’extérieur et me dit d’un ton taquin : « Alors tu t’es faites avoir, tu croyais quoi ! »
« C’est facile de se moquer, et toi que fais tu là ? Peut être as-tu fais la même chose ! »
Au moins ça nous auras permis de nous rencontrer tout n’est pas négatif !

Lucienne pour le 13 novembre 2006.









Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 19/11/2006 à 01:01

LUCIENNE

19/11/2006

Jeu : Taquineries (courrier)


A Gérard,


Merci de m’avoir noté pendant ces dernières vacances comment progresser sur l’ordinateur.
Quand j’ai relu certaines notes j’ai bien ri car vraiment il y a tout indiqué en détail, il ne manque parfois que les dessins pour que j’arrive à m’en sortir, tellement les explications sont imagées.
Heureusement que ce sont des notes personnelles car telle flèche, telle touche, à droite, à gauche, double clic, descend, monte, réduit, espace… Le labyrinthe est très imagé, rien ne manque !
Je pense que vous vous êtes bien amusés avec ta sœur en le faisant, à un endroit elle m’a écrit : » mamie je crois que Gégé se paye ta tête », mais je sais que c’est une boutade !
Lorsque que vous êtes partis tu m’as dit : « mamie, le moindre problème tu appelles et je te dirai car ça m’arrive de dépanner même des copains »
J’ai quand même constaté que tu as fait écrire ta frangine. Peut être as-tu craint que ma première difficulté serait de te relire, ça c’est mon clin d’œil !
Encore merci j’apprécie et j’ouvre le cahier avec plaisir à la moindre incertitude
Je noterai mes hésitations pour ta prochaine visite. En prime nous passons un bon moment ensemble dans ces cas là.
Je t’embrasse et aux vacances de Noël avec plaisir
Mamie

Lucienne jeu du 6 novembre 2006.







Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 19/11/2006 à 01:00

LUCIENNE

19/11/2006

Jeu : inclure trois phrases dans un récit donné par l‘animatrice à 10 mn d’intervalle

L’homme semblait hagard/ Il l’aurait/ Bizarre



Lors d’une excursion avec les enfants de l’école nous avons visité une verrerie.
Un guide nous a accueillis et conduits avec maintes explications dans les dédalles de l’usine.
Ici les moules en bois abandonnés depuis longtemps, remplacés par des matériaux plus actuels Un peu plus loin les différentes poudres de couleur pour tremper l’ébauche incandescente .
Devant le four un homme semblait hagard en entendant les questions posées par les enfants, tout ébahi par leur pertinence et leur exactitude. Quelle température ? Combien de temps ?
Est-ce toujours vous qui êtes là ? Est-ce variable selon les objets ?
Il est vrai qu’elles ont fusées à tous les niveaux de la visite.
Les élèves très captivés de voir l’évolution de cette boule fondue devenir par petites touches et différentes phases de manipulation de magnifiques vases, coupes ouvraient de grands yeux.

- Regarde celui-là, il mélange des petits points avant de remettre à chauffer.
- L’autre tourne la boule brûlante avec un gant pour lui donner la forme.

D’un seul coup un cri de déception ! Que se passe-t-il ? Au moment d’ajuster le pied, patatras C’est raté ! D’après ceux qui étaient proches le pied mal collé s’est brisé, il l’aurait
simplement frôlé avec son outil.
Quel drame !
Plus qu’une chose à faire ; mettre le travail avec les brisures et tout à recommencer.
Dans l’atelier le silence, l’émotion sont palpables quelle sensation bizarre.
Les enfants sont momifiés.

- Ne vous inquiétez pas leur dit le guide pour dédramatiser la situation. Ce sont des choses qui arrivent et comme nous récupérons les débris pour les recycler, tout n’est pas perdu.

Evidemment l’ouvrier devait repartir de zéro pour recréer son ouvrage !
A notre sortie c’était évidemment le grand sujet de conversation. En fin de fabrication comme nous l’avons vu c’est très choquant.
Lorsque nous nous sommes arrêtés dans la boutique, nous n’avons pas eu besoin de leur conseiller de ne pas toucher ou de faire attention aux objets exposés.
Ils avaient vu la déception du maître verrier et s’étaient rendu compte du travail fourni et de sa fragilité.
Toutefois ce fût une journée passionnante qui leur a permis de découvrir un métier mal connu.

Lucienne jeu du 13 novembre 2006.



Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 19/11/2006 à 00:59

LUCIENNE

06/11/2006


Mots à insérer :

CAGES : cascades, casser, acrobate, amicale, géant, gare, ennemi, enlever, souvenir,
sourire.
Jokers :joie, briller, rose.




Mon compagnon

Le perroquet aux couleurs vives dans sa cage fait des cascades en s’accrochant de son bec et de ses pattes aux barreaux et à la balançoire. Il s’agite beaucoup et le bruit m’interpelle.
Peut être désire-t-il prendre sa liberté ? Que t’arrive-t-il ? Essayes-tu de casser ta prison ? Mais mon pauvre, malgré toutes tes acrobaties tu n’y parviendras pas lui dis je amicalement ! La nature est gigantesque par rapport à ton domaine, puis gare aux ennemis qui se précipiteraient vers toi dès les premiers instants. Ils auraient vite fait de t’attaquer et de t’enlever. Qui est ce ? Il ne ressemble à aucun d’entre nous ! Aucun souvenir dans leur petite cervelle d’avoir vu quelque chose d’aussi coloré, leur curiosité serait plus forte qu’un éventuel danger à s’approcher.
Je me mis à sourire car je te parlais comme si tu me comprenais. Tu me regardais de tes yeux brillants et ta tête oscillait de droite à gauche comme pour me montrer ton incompréhension, tes mimiques me remplirent de joie, tu semblais m’écouter attentivement.
J’ouvris la porte de la cage pour te donner une caresse et repartis à mes occupations. Toi tu repris ton balancement et tes acrobaties.
Ainsi va la vie, ça suffit à casser la solitude. Je m’occupe de toi, ta présence rend mes journées plus roses et tu ne le sais pas mais tu as une existence de choix.

Lucienne pour le 06 novembre 2006.




Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 06/11/2006 à 21:39

LUCIENNE

Lettre d'un homme à ses nombreuses maîitresses. Il confond tout.


Christiane J. et Lucienne

(Christiane) Mon oiseau des îles,

tu auras compris en lisant cette douce introduction combien notre séjour dans les îles me fait rêver encore et toujours. Tu resteras à jamais mon colibri.
Nous avons dansé toute la biguine toutes la nuit, émoustillés par le ti-punch.
Ta robe à fleurs virevoltait, tes cheveux longs étaient dénoués.
De retour à Paris il pleuvait mais je ne voulais pas croire que la magie s'éteignait, tu n'as pas pleuré en me quittant, j'ai admiré ton cran, j'avais un pincement au coeur en me retournant pour te faire signe au revoir, et si tu ne m'avais déjà oublié, so déjà projetée dans ton univers, tes chères études, tes copains de fac, tu décidais que ses jours de bonheur ne seraient qu'une parenthèse dans ta vie.
Je ne peux pas croire que tu aies tiré un trait sur nos escapades, les châteaux de la Loire, le concert à Pleyel, la promenade en bateau-mouche, l'orage qui nous obligea à nous abriter sous un pont, tu me parlais de tes projets de retourner vivre dans le Sud-Ouest, souviens-toi.
Réponds-moi, dit moi je n'ai pas rêvé, que tout ce que nous avons vécu est ancré dans ta mémoire et que nous pourrons encore partager des jours et des nuits de bonheur…
(réponse de Lucienne)

Robert,

Ta lettre m’inquiète au plus haut point. Que t’arrive-t-il ? Un peu de fatigue, as-tu fait une chute ? Ou perds-tu les pédales ?
Arrête de secouer la tête et de mélanger les souvenirs. Je ne comprends pas tout ce que tu écris mais je vois que tu es un beau parleur ! Il faudrait nous rencontrer pour échanger nos souvenirs en regardant les photos.
Là, tu me trouveras sûrement changée et je pourrais te dire en face : « tu vois bien que ça n'était pas avec moi ! »
Tout n'est pas faux, mais les concerts, tu me disais ne pas aimer cette foule, ces gens trop bien habillés et les châteaux de la Loire, pas d'histoire, de vieilles pierres...
Faut croire que j'ai manqué des choses avec toi.
Je veux mettre tout ça au clair au plus vite avec toi. Si jamais c'est avec une autre...
La suite de notre vie et de nos projets en dépend. Ressaisis toi et fait du rangement dans ta tête. Au sujet de la mémoire, c'est la tienne qui est malade !
A très bientôt, une rencontre avec une suite j'espère...


Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 04/11/2006 à 19:25

LUCIENNE

Lettre au patron d'un bar miteux... (Christiane L. en italique)


Christiane J et Lucienne.

monsieur Lejaune,

je me permets de t’écrire bien que je te vois tous les jours parce que, cette fois-ci je veux une réponse franche en retour.
Depuis dix ans que je suis fidèle à ton établissement, j’ai remarqué plusieurs choses qui ont changé dans ton comportement et dans ton bar. Quand je suis arrivé dans le secteur j'ai essayé tous les bars. Et puis comme tu remettais la tournée de temps en temps, je t’ai accordé la préférence. J'aurais davantage aimé que tu fasses une carte de fidélité comme cela se fait dans la plupart des commerces mais non, bon. Petit à petit je constate que mon verre se vide plus vite et je te soupçonne d'avoir diminué les doses. Mon temps journalier étant toujours le même, de cinq heures que je pars du boulot jusqu’à 8 heures que ma femme m’attend pour passer à table, je n'arrive pas à couper ma soif. Par contre elle menace de réviser mon argent de poche si je continue à perdre mon pécule aussi rapidement.
Je n'avais jamais fait attention que les travaux que tu viens de faire et éblouissaient autant, est-ce l'éclairage qui est trop fort, le nombre de spots. J'ai du mal en fin de journée à garder les yeux grands ouverts, et tu as aussi un défaut dans le carrelage, celui-là est glissant et mal posé. Je ne comprends pas mais tu vas avoir des accidents et perdre des clients !
Ce serait dommage pour toi non ?
Je t'écris tout ça pour te rendre service car je n'aimerais pas comme le conseille vivement mon médecin, ne plus venir te voir.
Essaye de penser à prendre soin de tes amis si tu veux continuer à prospérer !!
En attendant ta réponse, compte sur moi tous les soirs. Ton ami…

Piccolo.

Réponse de Christiane J

Paul,

tu constates que je me refuse à t’appeler « Piccolo » ! Est-ce parce que je tiens à ce que mes clients gardent leur dignité, je les respecte ? Oui tu es depuis 10 ans un fidèle client à qui, de temps en temps, je remets une tournée.
Non, mon comportement n'a pas changé, tu oublies de dire qu'à partir du vingt du mois, tu me laisses régulièrement une ardoise, et je ne passe pas l’éponge !
Il faut bien que je vive…
Quant aux doses dans ton verre, elles sont toujours les mêmes puisque tu vois bien que ton Ricard est servi précieusement avec un doseur.
Je vais te donner un conseil pour mieux étancher ta soif, rallonge ton Ricard avec un peu plus d’eau !!
J'ai modernisé mon bar et la clientèle m'a félicité. D'ailleurs mon chiffre d'affaires a augmenté. Les spots lumineux se reflètent dans la glace et cela donne de la gaoté.
Quand aux réflexions de ta femme, c'est à toi d'y répondre, tu sais bien que j’ai pour règle absolue de ne jamais me mêler aux histoires de famille.
Pour ce qui est de ton médecin, je suppose qu'il a aussi des amis et tu peux tout de même lui dire que je suis un ami de longue date et que tu peux compter sur moi et ça je te confirme…

À bientôt





Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 04/11/2006 à 19:20

LUCIENNE

23/10/2006

Mots à insérer :

CHALEUR. Mots :comédie, cœur, hardi, habitude, adieu, artiste, logghorée, lueur, époque, énoncer, urgence, union, ramer, râleur.
Jokers : doux, jaune, dire.





Une année


Le temps passe et se déroule tel une comédie en quatre actes principaux : les saisons.
Après la chaleur de l’été, les vacances qui ont cassé les habitudes et la routine de la vie .Voici le mois de septembre avec ses adieux aux longues journées.
La lueur du soleil se fait désirer le matin et il y a urgence à faire le travail à l’extérieur car la nuit arrive plus vite. Hardis les cœurs : profitons des après midi douces pour sortir en forêt à la cueillette des champignons, apprécions la nature et les couleurs variées de l’automne : jaune, rouge marron…les énoncer toutes est presque impossible. Nous pouvons dire que les artistes n’ont que l’embarras du choix pour les immortaliser. Deux jours de pluie, notre humeur devient maussade et nous râlons facilement. Heureusement l’arrière saison dans la région nous offre des températures agréables. Octobre, l’époque des châtaignes, du bourret annonce l’automne.Le matin, le brouillard nous cache le ciel et les lueurs du soleil. Allez du courage, ça n’est pas le moment de ramer, après avoir nettoyé le jardin, mis les fleurs à l’abri il faut aussi ramoner le foyer, ranger le bois pour acceuillir l’hiver et profiter d’un bon feu de cheminée. En unisson avec la nature nous nous mettons en veille jusqu’au printemps. Et voilà une année écoulée et bien remplie…

Lucienne pour le 16 octobre 2006.






Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 23/10/2006 à 18:53

LUCIENNE

23/10/2006


Mots à insérer :

GARCE , grâce, économie, envie, naïf, nature, tambour, timide,initier, intime, louer, libre.
Jokers :amis, lire clair.





Travaux manuels

Après des vacances variées et riches en rencontres le quotidien se remet timidement en place.
Avec grâce une amie nous a initié aux collages de serviettes, peinture, pour confectionner des pots à crayons, boites à courrier…Elle a battu le tambour pour appeler les intéressés. Tous ont quitté leur occupation : lecture, ordinateur, télé pour se regrouper. Naïvement petits et grands ont choisi un support chacun a donné libre cours à son imagination selon la nature de son inspiration. L’envie de bien faire était là mais la réussite moins évidente malgré les explications et les conseils clairs et précis. Par moments les pinceaux déviaient des ouvrages et les rires fusaient.
Nous n’avons eu qu’à nous louer de cet après midi créatif.
Maintenant que chacun a repris ses occupations et que j’ai retrouvé mon intimité je repense avec bonheur à ces quelques heures constructives et gaies.

Lucienne pour le 9 octobre 2006.






Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 23/10/2006 à 11:15