Ces chiffres, corrigés des variations saisonnières et des jours ouvrables, sont le produit d'une nouvelle méthodologie, souligne l'Insee dans un avertissement.
"Les volumes des comptes trimestriels sont désormais calculés aux prix de l'année précédente chaînés" et non pas par rapport à ceux de l'année 2000, écrit l'Insee.
Ce calcul a pour principal avantage, explique l'institut, "de pondérer les niveaux élémentaires composant les produits ou branches de l'économie par les poids les plus récents connus (prix de l'année précédente et non prix de l'année 2000)".
Il donne par exemple à l'évolution de la consommation des ménages en produits électroniques son poids le plus récent dans la consommation des ménages en produits manufacturés "plus faible que ce qu'il était en 2000", du fait des baisses de prix importantes et régulières depuis plusieurs années.
"De ce fait, des écarts de croissance apparaissent par rapport au calcul en prix constants : en moyenne en 2006, les dépenses de consommation des ménages en produits manufacturés progressent en prix chaînés de 2,7%, alors que le chiffre équivalent en prix constants jusqu'à présent publié était de +4,3%", fait observer l'institut.
En avril, dans le champ du commerce, la consommation s'est contractée de 0,6%. Les dépenses de consommation en biens durables - transport et équipement du logement - se sont également repliées de 0,6% du fait de la réduction des dépenses d'équipement du logement de 1,7%.
A l'inverse, les achats d'automobiles sont repartis à la hausse (0,9%), de même que les dépenses du secteur du textile et du cuir, +1,4%. Les dépenses de consommation en autres produits manufacturés sont en recul de 0,7%.
Les 37 économistes interrogés par Reuters s'attendaient en moyenne à une hausse de 0,2% la consommation des ménages en produits manufacturés au mois d'avril.
"Les volumes des comptes trimestriels sont désormais calculés aux prix de l'année précédente chaînés" et non pas par rapport à ceux de l'année 2000, écrit l'Insee.
Ce calcul a pour principal avantage, explique l'institut, "de pondérer les niveaux élémentaires composant les produits ou branches de l'économie par les poids les plus récents connus (prix de l'année précédente et non prix de l'année 2000)".
Il donne par exemple à l'évolution de la consommation des ménages en produits électroniques son poids le plus récent dans la consommation des ménages en produits manufacturés "plus faible que ce qu'il était en 2000", du fait des baisses de prix importantes et régulières depuis plusieurs années.
"De ce fait, des écarts de croissance apparaissent par rapport au calcul en prix constants : en moyenne en 2006, les dépenses de consommation des ménages en produits manufacturés progressent en prix chaînés de 2,7%, alors que le chiffre équivalent en prix constants jusqu'à présent publié était de +4,3%", fait observer l'institut.
En avril, dans le champ du commerce, la consommation s'est contractée de 0,6%. Les dépenses de consommation en biens durables - transport et équipement du logement - se sont également repliées de 0,6% du fait de la réduction des dépenses d'équipement du logement de 1,7%.
A l'inverse, les achats d'automobiles sont repartis à la hausse (0,9%), de même que les dépenses du secteur du textile et du cuir, +1,4%. Les dépenses de consommation en autres produits manufacturés sont en recul de 0,7%.
Les 37 économistes interrogés par Reuters s'attendaient en moyenne à une hausse de 0,2% la consommation des ménages en produits manufacturés au mois d'avril.
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