Repas GARIBALDIEN du 25 février 2006

Paris, Le 08 février 2006. Cher (e) ami (e), Pour commencer dans la bonne humeur cette nouvelle année, nous vous proposons de nous retrouver le samedi 25 février pour notre repas Garibaldien. Les habitudes peuvent être une bonne chose et cette fois encore l’ambiance sera fraternelle et décontractée, merci de nous prévenir si possible avant pour réserver vos places. Cette journée sera aussi le moment de la reprise des cartes 2006 pour ceux qui le souhaitent ou qui ne l’ont pas encore fait, le repas est bien sur ouvert à tous. Le lendemain sera un jour particulier pour nous, le dimanche 26 février nous serons présents au cimetière d’Ivry pour commémorer les résistants du groupe Manouchian, ils furent fusillés le 21 février 1944 par les allemands. Vingt trois étrangers, des FTP-MOI, ceux de l’affiche rouge, juifs, communistes et étrangers pour la plupart, venus de Pologne, de Hongrie, de Roumanie, d’Arménie, d’Espagne et d’Italie. Le portrait des cinq Italiens est fixé sur un mur du local des Garibaldiens, Rino della Negra, Spartaco Fontano, Cesare Luccarini, Antonio salvatori et Amadeo Usseglio sont morts pour notre liberté en chantant l’internationale. Ils sont aussi le symbole de tous ceux qui combattent le fascisme, cette gangrène prévisible qu’il faut frapper sans attendre qu’elle se développe. Rendez vous au cimetière principal d’Ivry à 11 heures du matin le dimanche 26 février. Par ailleurs, le dimanche 19 février à 11 heures une cérémonie se déroulera au square marcel RAJMAN rue Merlin 75011, pour honorer Marcel RAJMAN de l’affiche rouge. **************************** Le repas se tiendra au siège des Garibaldiens, 20 rue des Vinaigriers 75010 PARIS. Le prix du repas est de 22 euros par adulte et demi tarif pour les enfants. Retenez vos places en téléphonant à : - par mail : lesgaribaldiens@yahoo.fr Le Secrétaire général Philippe GUISTINATI Ce 25 février 2006, mon père, Gelsomino, aurait eu 83 ans, il est décédé le 22 février 2005. Le temps n’efface rien si l’on se souvient. En 1925, l’année de ses 50 ans son père fuyait l’Italie, condamné à mort par mussolini.