Ce qu’il faut éviter :
≥ L’utilisation de cryothérapie gazeuse en aiguë car le choc thermique lèse les cellules satellites de Mauro.
≥ Immobiliser
≥ Attendre.
Ce qu’il faut favoriser :
≥ L’optimisation des secrétions d’hormone de croissance à leur pic naturel par la sieste.
≥ La régulation diététique et micro-nutritionnelle afin à la fois de garantir le pool protéique nécessaire à la reconstruction, mais aussi réguler le statut pro-inflammatoire omniprésent lors d’une blessure, par l’équilibre du statut en acide gras.
≥ La mobilisation précoce.
≥ Le travail excentrique précoce
Encadré
Les PICs ou PW1+/Pax7- Interstitial Cells :
Les PICs ou PW1+/Pax7- Interstitial Cells :
Publié début 2010 dans Nature Cell Biology, la découverte de ces cellules apporte de nouvelles questions notamment en terme de sollicitation après lésion musculaire.
Ces progéniteurs sont des cellules interstitielles, localisées dans le muscle qui exprime la protéine de réponse au stress cellulaire PW1 mais pas les autres marqueurs typiques des cellules musculaires (comme Pax7). Elles ont une capacité à générer des cellules musculaires mais également à régénérer des cellules satellites et d’autres PICs, alors qu’elles n’ont pas une origine commune dans la lignée des cellules satellites. Ces PICs sont très myogène in vitro et contribuent efficacement à la régénération musculaire.
La question sur l’impact de l’activité physique, posée directement à l’un des co-inventeurs de ces cellules amène la réponse suivante :
« Les PICs sont très myogenique in vivo mais moins in vitro. Pour le moment, nous ne savons pas les conséquences de l'activité musculaire. »
Ces progéniteurs sont des cellules interstitielles, localisées dans le muscle qui exprime la protéine de réponse au stress cellulaire PW1 mais pas les autres marqueurs typiques des cellules musculaires (comme Pax7). Elles ont une capacité à générer des cellules musculaires mais également à régénérer des cellules satellites et d’autres PICs, alors qu’elles n’ont pas une origine commune dans la lignée des cellules satellites. Ces PICs sont très myogène in vitro et contribuent efficacement à la régénération musculaire.
La question sur l’impact de l’activité physique, posée directement à l’un des co-inventeurs de ces cellules amène la réponse suivante :
« Les PICs sont très myogenique in vivo mais moins in vitro. Pour le moment, nous ne savons pas les conséquences de l'activité musculaire. »