Prise d’appui et gestion de la force de réaction au sol
Comme nous l’avons vu auparavant, lors de la prise d’appui, le coureur à pied va devoir gérer la force de réaction au sol, sous peine de subir l’onde de choc de cette dernière.
Si la force de réaction au sol n’est pas amortie, l’onde de choc va se propager de manière rapide au travers des différentes articulations du sujet, de ses membres inférieurs jusqu’à la tête.
Les 3 courbes ci-après, nous montre la capacité d’amorti de la force de réaction au sol dans trois conditions différentes :
a- Pieds nus - prise d’appui talon.
b- Avec chaussure – prise d’appui talon.
c- Pieds nus – prise d’appui avant pied.
On peut conclure, que la technique de prise d’appui avant-pied, permet d’éviter l’onde de choc relative à la force de réaction au sol en l’amortissant. En effet, elle permet d’éviter l’impact transitoire lors de la pose du pied au sol, ce qui n’est pas le cas lors d’une prise d’appui talon, que ce soit avec ou sans chaussure.
Une pose d’appui talon entraîne une force de collision brutale de l’ordre de 1,5 à 3 fois le poids du corps lors des 50 premières millisecondes de l’appui.
Le schéma ci-dessous nous montre la magnitude de la force verticale lors de la prise d’appui à l’impact, et ce en fonction du type de prise d’appui (avec au sans chaussure).
Une pose d’appui talon entraîne une force de collision brutale de l’ordre de 1,5 à 3 fois le poids du corps lors des 50 premières millisecondes de l’appui.
Le schéma ci-dessous nous montre la magnitude de la force verticale lors de la prise d’appui à l’impact, et ce en fonction du type de prise d’appui (avec au sans chaussure).
A vitesse identique, la force verticale à l’impact subit par le coureur à pied est 3 fois moins importante, lors d’une prise d’appui avant-pied, sans chaussure.
L’impact est quasiment similaire lors d’une prise d’appui talon, que ce soit avec ou sans chaussure.
Pour conclure, sur l’impact de la gestion de l’onde de choc relative à la force de réaction au sol. Nous pouvons dire, que la technique de prise d’appui avant-pied, permet d’amortir la force de réaction au sol, en empêchant la propagation d’une onde de choc, relative à cette dernière.
Lors d’une prise d’appui talon (avec ou sans chaussure), le coureur à pied va subir l’onde de choc, qui sera néfaste pour sa structure corporelle, et qui sera un facteur de risque supplémentaire de blessures du membre inférieur.
Nous pouvons donc dire que le pied humain est plus efficace que la chaussure dans le cadre de la gestion de la force de réaction au sol.
Cependant, la technique de prise d’appui, permettra ou non de profiter de cet outil mis à notre disposition.
L’impact est quasiment similaire lors d’une prise d’appui talon, que ce soit avec ou sans chaussure.
Pour conclure, sur l’impact de la gestion de l’onde de choc relative à la force de réaction au sol. Nous pouvons dire, que la technique de prise d’appui avant-pied, permet d’amortir la force de réaction au sol, en empêchant la propagation d’une onde de choc, relative à cette dernière.
Lors d’une prise d’appui talon (avec ou sans chaussure), le coureur à pied va subir l’onde de choc, qui sera néfaste pour sa structure corporelle, et qui sera un facteur de risque supplémentaire de blessures du membre inférieur.
Nous pouvons donc dire que le pied humain est plus efficace que la chaussure dans le cadre de la gestion de la force de réaction au sol.
Cependant, la technique de prise d’appui, permettra ou non de profiter de cet outil mis à notre disposition.