Etirements musculaires : Questions réponses selon les études.
4ème question:
Combien de temps doit durer un étirement passif.
Comme vu précédemment, les étirements passifs ont peu de résultats. Toutefois, dans les études qui accèdent à des résultast bénéfiques, on note souvent que la pratique des étirements est déterminée sur un temps de tenu long. Freitas et al. explique en 2014, que la réponse au stretching dépend de son intensité et de sa durée. (90-130 et 180 secondes). Les modifications sont corrélées avec l’augmentation de ces deux facteurs. Même équipe, même année, même conclusion concernant l’effet des étirements passifs (high intensity stetching) sur la modification architecturale ( longueur fasciculaire, angle de pennation, épaisseur) du muscle biceps fémoral pendant 8 semaines.
En conclusion, la pratique des étirements passifs doit être realisée avec des temps de tenu long et intense pour obtenir des résultats structurels ( à l’exception des ponts rémanants).
CONCLUSION
A la lueur de ces lectures d’études, force de constater que les étirements passifs ne sont plus très prisés des scientifiques. Cependant, la cible des études est trop souvent un effet direct sur la relation de cause à effet. D’une manière plus générale, la pratique des étirements par le masseur-kinésithérapeute relève plus d’une prise en charge globale, que d’une action purement directe. Néanmoins, il apparait que pour obtenir une modification structurelle et architecturale maintenue dans le temps, par l’usage d’un étirement passif, il est indispensable de proposer cette pratiques sur des temps très longs. Rappelons que le muscle est un tissue fragile et non ductile (voir article sur les lésions musculaires ). Sa déformation doit passer par une destruction provoquant son remaniement. Dans ce cas , nous sommes très proches d’un travail excentrique, qui lui, provoque des effets significatifs à travers un nombre consiérable d’éudes scientifiques.
Bibliographie.
Combien de temps doit durer un étirement passif.
Comme vu précédemment, les étirements passifs ont peu de résultats. Toutefois, dans les études qui accèdent à des résultast bénéfiques, on note souvent que la pratique des étirements est déterminée sur un temps de tenu long. Freitas et al. explique en 2014, que la réponse au stretching dépend de son intensité et de sa durée. (90-130 et 180 secondes). Les modifications sont corrélées avec l’augmentation de ces deux facteurs. Même équipe, même année, même conclusion concernant l’effet des étirements passifs (high intensity stetching) sur la modification architecturale ( longueur fasciculaire, angle de pennation, épaisseur) du muscle biceps fémoral pendant 8 semaines.
En conclusion, la pratique des étirements passifs doit être realisée avec des temps de tenu long et intense pour obtenir des résultats structurels ( à l’exception des ponts rémanants).
CONCLUSION
A la lueur de ces lectures d’études, force de constater que les étirements passifs ne sont plus très prisés des scientifiques. Cependant, la cible des études est trop souvent un effet direct sur la relation de cause à effet. D’une manière plus générale, la pratique des étirements par le masseur-kinésithérapeute relève plus d’une prise en charge globale, que d’une action purement directe. Néanmoins, il apparait que pour obtenir une modification structurelle et architecturale maintenue dans le temps, par l’usage d’un étirement passif, il est indispensable de proposer cette pratiques sur des temps très longs. Rappelons que le muscle est un tissue fragile et non ductile (voir article sur les lésions musculaires ). Sa déformation doit passer par une destruction provoquant son remaniement. Dans ce cas , nous sommes très proches d’un travail excentrique, qui lui, provoque des effets significatifs à travers un nombre consiérable d’éudes scientifiques.
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- Scotte Franck. Cours Kinésport
- Speed meeting Kinesport, www.kinesport.info.