II faut choisir : ça dure ou ça brûle ; le drame, c'est que ça ne puisse pas à la fois durer et brûler. Albert Camus
Et si la vie était une œuvre d’art en perpétuelle évolution, une création infinie ? C’est ainsi qu’Henri Bergson, philosophe du XXe siècle, voyait notre existence. Selon lui, chacun de nous porte en soi une force créatrice capable de transformer le monde. Bergson, plutôt connu pour son essai sur « Le rire » (texte le plus facile à lire de ses œuvres), est le théoricien de l’élan vital, de l’énergie spirituelle et de la joie comme signe que la vie a triomphé. Il est aussi le premier philosophe à avoir étudié les phénomènes métapsychiques comme la télépathie.
À travers l’élan vital, l’intuition et la joie, il nous invite à devenir les artisans de notre propre vie. Dans un monde en quête de sens, sa pensée résonne comme un appel à la liberté, à la créativité, et à la métamorphose de l’humanité.
L’élan vital : une force de vie créative
Pour Bergson, la vie est animée par un élan vital, une impulsion créative qui traverse chaque être. Contrairement aux idées reçues, la vie ne se résume pas à des cycles répétitifs ou à des mécanismes figés. Depuis les premières formes de vie sur Terre, cet élan vital n’a cessé de produire des nouveautés, imprévisibles et uniques. C’est ce que les scientifiques comme Darwin ont nommé la théorie de l’évolution. Cet élan se manifeste en nous comme une exigence de création : écrire, peindre, inventer, aimer. La vraie vie, selon Bergson, n’est pas une routine. Elle est une danse, un élan qui nous pousse à dépasser les cadres et à enrichir le monde. Loin du prêt-à-penser et du prêt-à-sentir que nous infuse la société, en nous laissant croire que nous sommes originaux, Bergson nous invite à nous reconnecter à nos émotions profondes. Notre intelligence ne peut se contenter de moules grammaticaux pour comprendre la vie et saisir son évolution créatrice.
Pour Bergson, la vie est animée par un élan vital, une impulsion créative qui traverse chaque être. Contrairement aux idées reçues, la vie ne se résume pas à des cycles répétitifs ou à des mécanismes figés. Depuis les premières formes de vie sur Terre, cet élan vital n’a cessé de produire des nouveautés, imprévisibles et uniques. C’est ce que les scientifiques comme Darwin ont nommé la théorie de l’évolution. Cet élan se manifeste en nous comme une exigence de création : écrire, peindre, inventer, aimer. La vraie vie, selon Bergson, n’est pas une routine. Elle est une danse, un élan qui nous pousse à dépasser les cadres et à enrichir le monde. Loin du prêt-à-penser et du prêt-à-sentir que nous infuse la société, en nous laissant croire que nous sommes originaux, Bergson nous invite à nous reconnecter à nos émotions profondes. Notre intelligence ne peut se contenter de moules grammaticaux pour comprendre la vie et saisir son évolution créatrice.
La joie : signe du triomphe de la vie
Comment savoir si nous sommes en phase avec cet élan vital ? De la même façon que Spinoza, Bergson considère que la joie est notre boussole. Selon lui, chaque grande joie est le signe que la vie a triomphé. Elle indique que nous avons créé, innové, ou simplement écouté notre véritable nature. Contrairement au plaisir, souvent passager et lié aux désirs immédiats, la joie est profonde et durable. Elle naît de la création : plus riche est la création, plus intense est la joie.
« Les philosophes qui ont spéculé sur la signification de la vie et sur la destinée de l’homme n’ont pas assez remarqué que la nature a pris la peine de nous renseigner là-dessus elle-même. Elle nous avertit par un signe précis que notre destination est atteinte. Ce signe c’est la joie. La joie annonce toujours que la vie a réussi, qu’elle a gagné du terrain, qu’elle a remporté une victoire : toute grande joie a un accent triomphal. Partout où il y a joie, il y a création : plus riche est la création, plus profonde est la joie. » (L’énergie spirituelle, Bergson).
La pure joie est toujours celle qui naît à l’intérieur d’un esprit créateur. Au passage, je tiens à vous partager une synchronicité, qui fera plaisir à Jung, mais aussi peut-être à Bergson, intervenue en ce jour du 1er janvier 2025, jour où j’ai rédigé cet article et où j’ai entamé la lecture d’un livre sur un sujet complètement différent, le Yoga Kundalini (Kundalini des saisons, yoga du vivant de Marion Sebih), et où le destin a créé une rime, car je suis tombée sur la même citation de Bergson sur la joie. Le hasard est créatif !
Pour parvenir à cet élan vital et à atteindre la joie, Bergson nous propose un outil précieux : l’intuition. Contrairement à l’intelligence qui analyse, calcule et divise, l’intuition nous connecte directement à la fluidité de la vie. En écoutant notre intuition, nous pouvons vivre plus pleinement, en harmonie avec notre élan vital. Cela demande parfois du courage, car la société nous pousse souvent à nous conformer. Mais selon Bergson, c’est dans cette authenticité que se trouve la véritable richesse.
La vie est comparable à une mélodie fluide, un temps vécu qui échappe aux catégories rigides de l’intelligence. Contrairement au temps mesuré, linéaire et figé, la durée bergsonienne est un mouvement continu, reflétant la profondeur de notre vie intérieure.
« Une mélodie que nous écoutons, les yeux fermés, en ne pensant qu’à elle, est tout près de coïncider avec ce temps qui est la fluidité même de notre vie intérieure » (Durée et simultanéité, Bergson). La musique est donc une excellente pédagogue pour concevoir le temps autrement.
Comment savoir si nous sommes en phase avec cet élan vital ? De la même façon que Spinoza, Bergson considère que la joie est notre boussole. Selon lui, chaque grande joie est le signe que la vie a triomphé. Elle indique que nous avons créé, innové, ou simplement écouté notre véritable nature. Contrairement au plaisir, souvent passager et lié aux désirs immédiats, la joie est profonde et durable. Elle naît de la création : plus riche est la création, plus intense est la joie.
« Les philosophes qui ont spéculé sur la signification de la vie et sur la destinée de l’homme n’ont pas assez remarqué que la nature a pris la peine de nous renseigner là-dessus elle-même. Elle nous avertit par un signe précis que notre destination est atteinte. Ce signe c’est la joie. La joie annonce toujours que la vie a réussi, qu’elle a gagné du terrain, qu’elle a remporté une victoire : toute grande joie a un accent triomphal. Partout où il y a joie, il y a création : plus riche est la création, plus profonde est la joie. » (L’énergie spirituelle, Bergson).
La pure joie est toujours celle qui naît à l’intérieur d’un esprit créateur. Au passage, je tiens à vous partager une synchronicité, qui fera plaisir à Jung, mais aussi peut-être à Bergson, intervenue en ce jour du 1er janvier 2025, jour où j’ai rédigé cet article et où j’ai entamé la lecture d’un livre sur un sujet complètement différent, le Yoga Kundalini (Kundalini des saisons, yoga du vivant de Marion Sebih), et où le destin a créé une rime, car je suis tombée sur la même citation de Bergson sur la joie. Le hasard est créatif !
Pour parvenir à cet élan vital et à atteindre la joie, Bergson nous propose un outil précieux : l’intuition. Contrairement à l’intelligence qui analyse, calcule et divise, l’intuition nous connecte directement à la fluidité de la vie. En écoutant notre intuition, nous pouvons vivre plus pleinement, en harmonie avec notre élan vital. Cela demande parfois du courage, car la société nous pousse souvent à nous conformer. Mais selon Bergson, c’est dans cette authenticité que se trouve la véritable richesse.
La vie est comparable à une mélodie fluide, un temps vécu qui échappe aux catégories rigides de l’intelligence. Contrairement au temps mesuré, linéaire et figé, la durée bergsonienne est un mouvement continu, reflétant la profondeur de notre vie intérieure.
« Une mélodie que nous écoutons, les yeux fermés, en ne pensant qu’à elle, est tout près de coïncider avec ce temps qui est la fluidité même de notre vie intérieure » (Durée et simultanéité, Bergson). La musique est donc une excellente pédagogue pour concevoir le temps autrement.
Point de création sans émotion
Pour Bergson, toute création – qu’elle soit artistique, scientifique ou sociale – naît d’une émotion profonde. L’émotion agit comme un stimulant, déclenchant des idées nouvelles et des transformations. Les émotions, pour Bergson, ne sont pas de simples réactions passives. Elles sont des forces créatrices, des déclencheurs de transformation. Une émotion profonde peut bouleverser nos certitudes. « Création signifie, avant tout, émotion » (Les deux sources de la morale et de la religion, Bergson).
Et n’est-ce pas l’amour, cette émotion par excellence, qui inspire les plus grandes œuvres d’art, les découvertes scientifiques ou les gestes héroïques ? Bergson affirme que l’émotion est à l’origine de toutes les grandes créations humaines. C’est toujours une émotion neuve qui est « à l’origine des grandes créations de l’art, de la science et de la civilisation » (Les deux sources de la morale et de la religion, Bergson)
Même l’intelligence du savant est mue par une émotion. Dans le cas des héros, c’est une volonté de communiquer leur élan aux autres hommes, de telle sorte que chacun, puisse tendre à l’ouverture de son âme et à la transformation de la société.
Ce concept est particulièrement pertinent à l’heure du développement de l’intelligence artificielle et des agents conversationnels. L’IA peut-elle véritablement être créative, alors qu’elle est totalement dénuée d’émotions ? Toutes ces créations sont issues d’algorithmes sans émotion. Si l’on reprend la définition de Bergson, l’IA n’est pas en mesure de « créer » véritablement…
Pour Bergson, l’art véritable révèle l’unique, l’irréductible. L’artiste voit au-delà des apparences pour capturer l’essence d’un être ou d’un objet. Il rend visible ce que l’œil ordinaire ne perçoit pas : le mouvement, l’intention fondamentale, et l’aspiration profonde de la vie.
Les émotions suscitées par l’art sont singulières. Chaque œuvre génère des sentiments nouveaux, impossibles à réduire à des mots généraux comme « joie » ou « tristesse ». Bergson explique que l’art agit comme une forme d’hypnose, introduisant en nous des émotions créées par l’artiste, mais révélant aussi une vérité profonde sur nous-mêmes et le monde. Cela rejoint le concept de l’ineffable de Jankélévitch.
« L’émotion créatrice qui soulevait ces âmes privilégiées, et qui était un débordement de vitalité, s’est répandue autour d’elles : enthousiastes, elles rayonnaient un enthousiasme qui ne s’est jamais complètement éteint et qui peut toujours retrouver sa flamme. » (Les deux sources de la morale et de la religion, Bergson). Il ne dépend que de nous de rallumer ce feu mystique !
Bergson a développé une conception originale des émotions, celles-ci ne naissent pas nécessairement en nous, elles nous traversent, nous sommes pris par elles. L’émotion est tel un élan, un souffle qui nous bouscule. Les émotions nous font entrer dans une danse cosmique enjoué ; « à vrai dire, elle n’introduit pas ces sentiments en nous ; elle nous introduit plutôt en eux, comme des passants qu’on pousserait dans une danse. ». « Quand la musique pleure, c’est l’humanité, c’est la nature entière qui pleure avec elle » (Les deux sources de la morale et de la religion, Bergson)
Et si c’était ça, la vraie réussite : non pas adopter des résolutions, se fixer des objectifs, mais vibrer avec la mélodie imprévisible de la vie ?
Bergson nous invite à devenir les créateurs de nos propres vies, à embrasser nos émotions et à écouter notre intuition. C’est dans cette liberté que réside notre plus grande richesse.
Cette philosophie trouve une résonance contemporaine : dans un monde souvent marqué par l’uniformisation et la routine, l’appel de Bergson à la créativité, à la joie, et à la spiritualité nous emporte comme l’hymne à joie de la neuvième symphonie de Beethoven.
« Je voudrais maintenant vous dire quelques mots de ce que j’appellerai la puissance créatrice de l’effort ; c’est une puissance merveilleuse. Elle métamorphose tout ce qu’elle touche. Elle fait que le plomb le plus vil se change en or le plus pur. » (Mélanges, Bergson).
A vous de jouer !
Pour Bergson, toute création – qu’elle soit artistique, scientifique ou sociale – naît d’une émotion profonde. L’émotion agit comme un stimulant, déclenchant des idées nouvelles et des transformations. Les émotions, pour Bergson, ne sont pas de simples réactions passives. Elles sont des forces créatrices, des déclencheurs de transformation. Une émotion profonde peut bouleverser nos certitudes. « Création signifie, avant tout, émotion » (Les deux sources de la morale et de la religion, Bergson).
Et n’est-ce pas l’amour, cette émotion par excellence, qui inspire les plus grandes œuvres d’art, les découvertes scientifiques ou les gestes héroïques ? Bergson affirme que l’émotion est à l’origine de toutes les grandes créations humaines. C’est toujours une émotion neuve qui est « à l’origine des grandes créations de l’art, de la science et de la civilisation » (Les deux sources de la morale et de la religion, Bergson)
Même l’intelligence du savant est mue par une émotion. Dans le cas des héros, c’est une volonté de communiquer leur élan aux autres hommes, de telle sorte que chacun, puisse tendre à l’ouverture de son âme et à la transformation de la société.
Ce concept est particulièrement pertinent à l’heure du développement de l’intelligence artificielle et des agents conversationnels. L’IA peut-elle véritablement être créative, alors qu’elle est totalement dénuée d’émotions ? Toutes ces créations sont issues d’algorithmes sans émotion. Si l’on reprend la définition de Bergson, l’IA n’est pas en mesure de « créer » véritablement…
Pour Bergson, l’art véritable révèle l’unique, l’irréductible. L’artiste voit au-delà des apparences pour capturer l’essence d’un être ou d’un objet. Il rend visible ce que l’œil ordinaire ne perçoit pas : le mouvement, l’intention fondamentale, et l’aspiration profonde de la vie.
Les émotions suscitées par l’art sont singulières. Chaque œuvre génère des sentiments nouveaux, impossibles à réduire à des mots généraux comme « joie » ou « tristesse ». Bergson explique que l’art agit comme une forme d’hypnose, introduisant en nous des émotions créées par l’artiste, mais révélant aussi une vérité profonde sur nous-mêmes et le monde. Cela rejoint le concept de l’ineffable de Jankélévitch.
« L’émotion créatrice qui soulevait ces âmes privilégiées, et qui était un débordement de vitalité, s’est répandue autour d’elles : enthousiastes, elles rayonnaient un enthousiasme qui ne s’est jamais complètement éteint et qui peut toujours retrouver sa flamme. » (Les deux sources de la morale et de la religion, Bergson). Il ne dépend que de nous de rallumer ce feu mystique !
Bergson a développé une conception originale des émotions, celles-ci ne naissent pas nécessairement en nous, elles nous traversent, nous sommes pris par elles. L’émotion est tel un élan, un souffle qui nous bouscule. Les émotions nous font entrer dans une danse cosmique enjoué ; « à vrai dire, elle n’introduit pas ces sentiments en nous ; elle nous introduit plutôt en eux, comme des passants qu’on pousserait dans une danse. ». « Quand la musique pleure, c’est l’humanité, c’est la nature entière qui pleure avec elle » (Les deux sources de la morale et de la religion, Bergson)
Et si c’était ça, la vraie réussite : non pas adopter des résolutions, se fixer des objectifs, mais vibrer avec la mélodie imprévisible de la vie ?
Bergson nous invite à devenir les créateurs de nos propres vies, à embrasser nos émotions et à écouter notre intuition. C’est dans cette liberté que réside notre plus grande richesse.
Cette philosophie trouve une résonance contemporaine : dans un monde souvent marqué par l’uniformisation et la routine, l’appel de Bergson à la créativité, à la joie, et à la spiritualité nous emporte comme l’hymne à joie de la neuvième symphonie de Beethoven.
« Je voudrais maintenant vous dire quelques mots de ce que j’appellerai la puissance créatrice de l’effort ; c’est une puissance merveilleuse. Elle métamorphose tout ce qu’elle touche. Elle fait que le plomb le plus vil se change en or le plus pur. » (Mélanges, Bergson).
A vous de jouer !
Pour en savoir plus sur la philosophie de Bergson
Je vous conseille le livre très synthétique, Bergson, La création de soi par soi, de Karl Sarafidis (Eyrolles, 2013).
Principaux livres de Bergson pour découvrir sa pensée :
Essai sur les données immédiates de la conscience (1889), thèse de doctorat de Bergson sur l’idée de durée
Matière et Mémoire (1896) : Sur l’union de l’âme et du corps.
Le rire, essai sur la signification du comique (1900)
L’Évolution Créatrice (1907) : Exploration de l’élan vital et de la dynamique de la vie.
L’Énergie Spirituelle (1919) : Réflexions sur la conscience, l’intuition, et les phénomènes psychiques.
Les Deux Sources de la Morale et de la Religion (1932) : Sur les sociétés fermées et ouvertes.
La Pensée et le Mouvant (1934) : Synthèse de sa méthode philosophique.
Je vous conseille le livre très synthétique, Bergson, La création de soi par soi, de Karl Sarafidis (Eyrolles, 2013).
Principaux livres de Bergson pour découvrir sa pensée :
Essai sur les données immédiates de la conscience (1889), thèse de doctorat de Bergson sur l’idée de durée
Matière et Mémoire (1896) : Sur l’union de l’âme et du corps.
Le rire, essai sur la signification du comique (1900)
L’Évolution Créatrice (1907) : Exploration de l’élan vital et de la dynamique de la vie.
L’Énergie Spirituelle (1919) : Réflexions sur la conscience, l’intuition, et les phénomènes psychiques.
Les Deux Sources de la Morale et de la Religion (1932) : Sur les sociétés fermées et ouvertes.
La Pensée et le Mouvant (1934) : Synthèse de sa méthode philosophique.
Rédigé par Marjorie Rafécas le Mercredi 1 Janvier 2025 à 21:55
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Marjorie Rafécas
Passionnée de philosophie et des sciences humaines, je publie régulièrement des articles sur mon blog Philing Good, l'anti-burnout des idées (http://www.wmaker.net/philobalade), ainsi que sur La Cause Littéraire (https://www.lacauselitteraire.fr). Je suis également l'auteur de La revanche du cerveau droit co-écrit avec Ferial Furon (Editions du Dauphin, 2022), ainsi que d'un ouvrage très décalé Descartes n'était pas Vierge (2011), qui décrit les philosophes par leur signe astrologique.
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