Tous à vos plumes!
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PHOTOS 2006/2007
CHRISTIANE J.*****
09/06/2007
Musique douce (celte : Solitudes) devant une image (une tour d'ordinateur)
Laissez-vous aller à vos rêveries (même si pauvre de toi, le sort ne te fut pas profitable! Mais j'ai bien aimé ton désir de ne pas céder à la facilité lorsque je t'ai proposé de choisir une autre image) et la mélancolie des derniers mots n'ôtent rien, bien au contraire, à la qualité de l'ensemble écrit d'un seul "jet". Ton texte est tout simplement "vrai".
Grrrrrrrrrrrrrrrrr
Puis-je fermer les yeux ?
Pour me pénétrer de cette musique qui appelle à la douceur, l’apaisement.
Tiens un chant d’oiseau !
Non, je me refuse à ce « lâcher-prise ».
J’ai chaussé les lunettes noires à portée de main, serait-ce pour simuler la pénombre ?
Ce que j’aime c’est le son de l’eau qui coule, c’est un ruisseau paisible.
Cet oiseau qui pépie, que dit-il ? Je ne comprends pas son langage.
A travers les verres fumés je distingue la colonne de mon ordinateur, je ne puis faire aucun lien avec cette musique qui me paraît être d’un siècle passé et cet engin ultra moderne qui brille d’un éclat mat, deux petits tiroirs sont prêts à engloutir, engloutir quoi ? Quels textes, quelles images vont surgir sur l’écran ou quel pensum à lire ou relire pour corriger quelques fautes ?
Décidément mon esprit est attiré par les sons, si je pouvais j’effacerais la musique pour ne garder que le bruit de l’eau, c’est le ressac des vagues qui m’aide à adapter ma respiration à son rythme – et toujours ces oiseaux qui pépient avec insistance.
Non inutile d’aller plus loin dans l’abandon.
Je retire les lunettes noires, je m’approche de l’ordinateur témoin de ma réalité, j’engouffre un CD-rom, tiens c’est le « musée d’Orsay », pourquoi pas, c’est du concret.
Mais décidément les images défilent et la musique se superpose et en fond toujours la mer, le ressac éternel qui me renvoie au passé, à d’autres contemplations … autrefois partagées celles-là.
Christiane J. le 4 juin 2007.
Pour me pénétrer de cette musique qui appelle à la douceur, l’apaisement.
Tiens un chant d’oiseau !
Non, je me refuse à ce « lâcher-prise ».
J’ai chaussé les lunettes noires à portée de main, serait-ce pour simuler la pénombre ?
Ce que j’aime c’est le son de l’eau qui coule, c’est un ruisseau paisible.
Cet oiseau qui pépie, que dit-il ? Je ne comprends pas son langage.
A travers les verres fumés je distingue la colonne de mon ordinateur, je ne puis faire aucun lien avec cette musique qui me paraît être d’un siècle passé et cet engin ultra moderne qui brille d’un éclat mat, deux petits tiroirs sont prêts à engloutir, engloutir quoi ? Quels textes, quelles images vont surgir sur l’écran ou quel pensum à lire ou relire pour corriger quelques fautes ?
Décidément mon esprit est attiré par les sons, si je pouvais j’effacerais la musique pour ne garder que le bruit de l’eau, c’est le ressac des vagues qui m’aide à adapter ma respiration à son rythme – et toujours ces oiseaux qui pépient avec insistance.
Non inutile d’aller plus loin dans l’abandon.
Je retire les lunettes noires, je m’approche de l’ordinateur témoin de ma réalité, j’engouffre un CD-rom, tiens c’est le « musée d’Orsay », pourquoi pas, c’est du concret.
Mais décidément les images défilent et la musique se superpose et en fond toujours la mer, le ressac éternel qui me renvoie au passé, à d’autres contemplations … autrefois partagées celles-là.
Christiane J. le 4 juin 2007.
Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 09/06/2007 à 14:56