Au moins 12 morts et plus de 50 blessés, c’est le bilan des violences raciste qu’ont eu lieu à Johannesburg la semaine dernière. Cette chasse aux étrangers touche principalement les zimbabwéens immigrés habitant les bidonvilles dans les quartiers pauvres de la ville.
La crise économique en Zimbabwe, ces clandestins se sont installés en Afrique du Sud pour fuir la pauvreté du pays. Les bidonvilles ont été pris d’assaut, face à la gravité des affrontements physiques et meurtriers, les policiers ont du utiliser des balles en caoutchouc pour disperser la foule. Le problème de chômage, les acteurs de ces violences accusent les immigrés clandestins de voler leurs emplois.
Pour l’heure le gouvernement a fortement condamné ces manifestations xénophobes et ont mis en place une commission spéciale pour trouver une solution ; en attendant, les commissariats de police sont devenus des camps de réfugiés immigrés dont la plupart malgré une situation critique, ne veulent pas retourner dans leur pays natal.
La crise économique en Zimbabwe, ces clandestins se sont installés en Afrique du Sud pour fuir la pauvreté du pays. Les bidonvilles ont été pris d’assaut, face à la gravité des affrontements physiques et meurtriers, les policiers ont du utiliser des balles en caoutchouc pour disperser la foule. Le problème de chômage, les acteurs de ces violences accusent les immigrés clandestins de voler leurs emplois.
Pour l’heure le gouvernement a fortement condamné ces manifestations xénophobes et ont mis en place une commission spéciale pour trouver une solution ; en attendant, les commissariats de police sont devenus des camps de réfugiés immigrés dont la plupart malgré une situation critique, ne veulent pas retourner dans leur pays natal.
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