Un an seulement avec une tendance Centre-gauche, les Italiens ont migré vers la Droite. Les élections législatives ont donné la victoire à Silvio Berlusconi. Il devient ainsi le nouveau président du conseil ayant obtenu la majorité au Sénat et à l’Assemblée avec plus de 80% de participation.
Après son mandat entre 2001-2006, à 71 ans, ce sera son 3ème mandat en 15 ans. Cette victoire, Silvio Berlusconi le doit à ses alliés de Droite nationaliste dont il est le leader depuis maintenant 14 ans.
Une victoire qui a un prix, Silvio Berlusconi aura maintenant la charge de relever l’économie de l’Italie ; un pays endetté où l’inflation est non maîtrisable, et comme il le dit, le pays a besoin des reformes d’urgence ; il faut intervenir sur l’Italie comme on le ferait sur une entreprise en crise. Il promet entre autre une augmentation de la retraite, la baisse des impôts, mais surtout la détaxation des heures supplémentaires qui permettraient de salariés de travailler plus, pour produire plus donc plus de consommation.
En effet, les Italiens attendent beaucoup du nouveau président du Conseil notamment sur la question du pouvoir d’achat ou du moins maintenir le niveau de vie actuel qui n’est pas ce qu’on appelle satisfaisant. L’Italie est en pleine crise politique qu’économique ; selon les prévisions, l’accroissement économique ne dépasserait pas de 1% d’ici 2008 ; les années à venir restent encore sans réponse.
D’un autre côté, sur le plan social, on n’oublie pas les ordures de Naples associés à la Mafia, la recrudescence du cancer… les essentiels qui devront être à la une du programme Berlusconi qui devra mener l’Italie dans une nouvelle ère économique.
Après son mandat entre 2001-2006, à 71 ans, ce sera son 3ème mandat en 15 ans. Cette victoire, Silvio Berlusconi le doit à ses alliés de Droite nationaliste dont il est le leader depuis maintenant 14 ans.
Une victoire qui a un prix, Silvio Berlusconi aura maintenant la charge de relever l’économie de l’Italie ; un pays endetté où l’inflation est non maîtrisable, et comme il le dit, le pays a besoin des reformes d’urgence ; il faut intervenir sur l’Italie comme on le ferait sur une entreprise en crise. Il promet entre autre une augmentation de la retraite, la baisse des impôts, mais surtout la détaxation des heures supplémentaires qui permettraient de salariés de travailler plus, pour produire plus donc plus de consommation.
En effet, les Italiens attendent beaucoup du nouveau président du Conseil notamment sur la question du pouvoir d’achat ou du moins maintenir le niveau de vie actuel qui n’est pas ce qu’on appelle satisfaisant. L’Italie est en pleine crise politique qu’économique ; selon les prévisions, l’accroissement économique ne dépasserait pas de 1% d’ici 2008 ; les années à venir restent encore sans réponse.
D’un autre côté, sur le plan social, on n’oublie pas les ordures de Naples associés à la Mafia, la recrudescence du cancer… les essentiels qui devront être à la une du programme Berlusconi qui devra mener l’Italie dans une nouvelle ère économique.
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