Les enjeux ont été principalement la question du Kosovo et l’entrée de la Serbie dans l’Union Européenne. Deux sujets brûlants qui ont opposé le président serbe actuel Boris Tadic et le pro nationaliste Tomislav Nicolic.
Il y a une semaine, on pensait tous à un scrutin serré, les sondages donnaient une légère avance pour le parti radical nationaliste. Le coude à coude à l’élection législative en Serbie a finalement donné victoire à Boris Tadic, une victoire qui marque le premier pas de la Serbie vers l’Europe.
L’entrée de la Serbie dans l’Union Européenne se fera alors sans le Kosovo car le gouvernement ne reconnaît pas son indépendance du 17 février dernier, inacceptable pour le parti pro nationaliste qui réclament une coalition, la majorité absolue n’étant pas acquise par le vainqueur.
Une victoire déjà saluée par l’Europe et la presse serbe, mais un résultat sans majorité absolue forcera le président Boris Tadic à former un gouvernement de coalition, le représentant du parti radical Serbe Tomislav Nicolic n’a pas tardé a affirmé que rien n’est perdu, il met en garde le parti démocrate car il ne dirigera pas seul le pays. Avec 77 députés pour l’extrême Droite, le parti démocrate devra aussi faire un pas vers un gouvernement de coalition qui s’annonce difficile.
Il y a une semaine, on pensait tous à un scrutin serré, les sondages donnaient une légère avance pour le parti radical nationaliste. Le coude à coude à l’élection législative en Serbie a finalement donné victoire à Boris Tadic, une victoire qui marque le premier pas de la Serbie vers l’Europe.
L’entrée de la Serbie dans l’Union Européenne se fera alors sans le Kosovo car le gouvernement ne reconnaît pas son indépendance du 17 février dernier, inacceptable pour le parti pro nationaliste qui réclament une coalition, la majorité absolue n’étant pas acquise par le vainqueur.
Une victoire déjà saluée par l’Europe et la presse serbe, mais un résultat sans majorité absolue forcera le président Boris Tadic à former un gouvernement de coalition, le représentant du parti radical Serbe Tomislav Nicolic n’a pas tardé a affirmé que rien n’est perdu, il met en garde le parti démocrate car il ne dirigera pas seul le pays. Avec 77 députés pour l’extrême Droite, le parti démocrate devra aussi faire un pas vers un gouvernement de coalition qui s’annonce difficile.
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