L'ancienne Première Dame a promis de "renouveler la puissance de l'Amérique par une diplomatie qui renforce notre sécurité, fait progresser nos intérêts et reflète nos valeurs".Je pense que la puissance américaine a laissé à désirer mais reste désirée", a-t-elle estimé.
Nous allons tenter une nouvelle approche, peut-être différente", a déclaré l'ancienne Première dame des Etats-Unis, interrogée sur les plans de la nouvelle administration du président élu Barack Obama pour convaincre l'Iran de renoncer à son programme nucléaire.
Ce en quoi l'administration Obama croit, c'est qu'une attitude en faveur du dialogue pourrait porter ses fruits", a-t-elle ajouté.
"Nous n'avons aucune illusion: nous savons que même avec une nouvelle administration cherchant à ouvrir le dialogue pour tenter d'influencer son comportement, il est difficile de prédire le résultat", a prévenu Mme Clinton qui pendant la campagne électorale avait exprimé des réticences à l'égard du souhait de M. Obama d'engager le dialogue avec Téhéran sans conditions préalables.
Mais le président élu a promis de suivre cette politique et nous le ferons", a-t-elle conclu.
Alors qu'on lui demandait si elle avait l'intention de rencontrer elle-même des dirigeants iraniens, Mme Clinton est restée vague soulignant que l'administration sortante du président George W. Bush était encore au pouvoir jusqu'au 20 janvier.
Nous allons tenter une nouvelle approche, peut-être différente", a déclaré l'ancienne Première dame des Etats-Unis, interrogée sur les plans de la nouvelle administration du président élu Barack Obama pour convaincre l'Iran de renoncer à son programme nucléaire.
Ce en quoi l'administration Obama croit, c'est qu'une attitude en faveur du dialogue pourrait porter ses fruits", a-t-elle ajouté.
"Nous n'avons aucune illusion: nous savons que même avec une nouvelle administration cherchant à ouvrir le dialogue pour tenter d'influencer son comportement, il est difficile de prédire le résultat", a prévenu Mme Clinton qui pendant la campagne électorale avait exprimé des réticences à l'égard du souhait de M. Obama d'engager le dialogue avec Téhéran sans conditions préalables.
Mais le président élu a promis de suivre cette politique et nous le ferons", a-t-elle conclu.
Alors qu'on lui demandait si elle avait l'intention de rencontrer elle-même des dirigeants iraniens, Mme Clinton est restée vague soulignant que l'administration sortante du président George W. Bush était encore au pouvoir jusqu'au 20 janvier.
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