Super 8, quand Abrams et Spielberg travaillent de concert c'est super !
Super 8
Mais d’abord, pourquoi Super 8 ? Super 8 est un format de film créé par Kodak en 1965 pour le cinéma amateur. C’est le format de film utilisé par cette bande d’enfants pour leur court-métrage. Le même format qu’utilisait J.J. Abrams et avec lequel il a remporté la première place d’un concours dédié à ce format spécifique. Le même format qu’utilisait Steven Spielberg, producteur du film d’Abrams. C’est ainsi que Spielberg et Abrams ont pris contact pour la première fois quand ce dernier a été contacté par Spielberg pour lui confier la restauration de ses films super 8. A propos de l’histoire maintenant…
L’histoire commence avec la veillée funèbre en l’honneur de la mère d’un de ces enfants, Joe (Joel Courtney), qui se retrouve alors seul avec son père, l’adjoint au shérif (Kyle Chandler). Quatre mois plus tard, ce sont les vacances d’été et Charles Kaznyk (Riley Griffiths) veut en profiter pour finir le court-métrage qu’il veut présenter à un concours de films super 8. Avec l’aide de Joe, Carey, Martin, Preston et la jolie Alice (Elle Fanning), Charlie va pouvoir réaliser son film de zombies. Un soir, alors qu’ils tournent une scène sur le quai de la gare, ils sont témoins du déraillement d’un train. Ils se sortent miraculeusement indemnes de cet interlude catastrophe mais des phénomènes étranges se produisent bientôt dans la petite ville de l’Ohio. L’armée investit les lieux et bouclent la zone de l’accident sans expliquer pourquoi au shérif. En plus de cela, plusieurs disparitions inexpliquées sont reportées et les chiens semblent fuir la ville. Après la disparition du shérif, le père de Joe prend les choses en main bien qu’il n’est que peu d’éléments. Le spectateur lui en sait plus. Il sait que quelque chose s’est échappé du train même s’il ignore de quel genre de chose il s’agit… Quand Alice est enlevée par cette chose, Joe veut tout tenter pour la retrouver.
Abrams maintient le suspense en suggérant plutôt qu’en montrant et cela fonctionne à merveille. Le film se veut un hommage aux films des années 80 tels E.T. Et en effet, on en retrouve l’atmosphère et on ne peut s’empêcher de penser à Elliot quand on voit Joe parcourir les rues sur son vélo ! Le seul bémol est qu’on n’insiste parfois pas assez sur les émotions. On aimerait en savoir plus sur les personnages et mieux les connaître. De même, on a du mal à cerner la chose évadée du train et en cela E.T. prenait plus le temps de développer la rencontre des mondes terrestre et extra-terrestre en se focalisant davantage sur la relation entre E.T. et Elliot. Super 8 se préoccupe plus des relations entre les enfants : premières amours, rivalité, amitié mais aussi et surtout de la façon dont Joe, qui jusque là acquiesçait au moindre désir de Charlie, va finalement s’affirmer. En bref, vous vous régalerez, vous frissonnerez et sursauterez surement devant cet excellent film, Super 8.
L’histoire commence avec la veillée funèbre en l’honneur de la mère d’un de ces enfants, Joe (Joel Courtney), qui se retrouve alors seul avec son père, l’adjoint au shérif (Kyle Chandler). Quatre mois plus tard, ce sont les vacances d’été et Charles Kaznyk (Riley Griffiths) veut en profiter pour finir le court-métrage qu’il veut présenter à un concours de films super 8. Avec l’aide de Joe, Carey, Martin, Preston et la jolie Alice (Elle Fanning), Charlie va pouvoir réaliser son film de zombies. Un soir, alors qu’ils tournent une scène sur le quai de la gare, ils sont témoins du déraillement d’un train. Ils se sortent miraculeusement indemnes de cet interlude catastrophe mais des phénomènes étranges se produisent bientôt dans la petite ville de l’Ohio. L’armée investit les lieux et bouclent la zone de l’accident sans expliquer pourquoi au shérif. En plus de cela, plusieurs disparitions inexpliquées sont reportées et les chiens semblent fuir la ville. Après la disparition du shérif, le père de Joe prend les choses en main bien qu’il n’est que peu d’éléments. Le spectateur lui en sait plus. Il sait que quelque chose s’est échappé du train même s’il ignore de quel genre de chose il s’agit… Quand Alice est enlevée par cette chose, Joe veut tout tenter pour la retrouver.
Abrams maintient le suspense en suggérant plutôt qu’en montrant et cela fonctionne à merveille. Le film se veut un hommage aux films des années 80 tels E.T. Et en effet, on en retrouve l’atmosphère et on ne peut s’empêcher de penser à Elliot quand on voit Joe parcourir les rues sur son vélo ! Le seul bémol est qu’on n’insiste parfois pas assez sur les émotions. On aimerait en savoir plus sur les personnages et mieux les connaître. De même, on a du mal à cerner la chose évadée du train et en cela E.T. prenait plus le temps de développer la rencontre des mondes terrestre et extra-terrestre en se focalisant davantage sur la relation entre E.T. et Elliot. Super 8 se préoccupe plus des relations entre les enfants : premières amours, rivalité, amitié mais aussi et surtout de la façon dont Joe, qui jusque là acquiesçait au moindre désir de Charlie, va finalement s’affirmer. En bref, vous vous régalerez, vous frissonnerez et sursauterez surement devant cet excellent film, Super 8.
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