Les Minimoys débarquent pour la « Guerre des deux mondes »
Maltazard a réussi à se hisser parmi les hommes. Son but est clair : former une armée de séides géants pour imposer son règne à l’univers. Seul Arthur semble en mesure de le contrer… à condition qu’il parvienne à regagner sa chambre et à reprendre sa taille habituelle ! Bloqué à l’état de Minimoy, il peut évidemment compter sur l’aide de Sélénia et Bétamèche, mais aussi – surprise ! - sur le soutien de Darkos, le propre fils de Maltazard, qui semble vouloir changer de camp. A pied, à vélo, en voiture et en Harley Davidson, la petite troupe est prête à tout pour mener le combat final contre Maltazard.
Le terrible Maltazard a déclaré la guerre aux Hommes. Fort heureusement, Arthur veille. Coincé au Pays des Minimoys, le jeune héros n'a pas dit son dernier mot et représente le dernier espoir face au méchant. Aidé de Sélénia, Bétamèche et Darkos, il va se lancer dans une ultime aventure.
Que les choses soient claires, Arthur 3, La guerre des deux mondes est sans aucun doute le meilleur épisode de la saga. Pourquoi ? Parce qu'il est bien rythmé, qu'il est un savant mélange d'action et d'humour et qu'il redore le blason de la franchise après un deuxième opus décevant. Les (grands) enfants seront ravis.
Que les choses soient claires, Arthur 3, La guerre des deux mondes est sans aucun doute le meilleur épisode de la saga. Pourquoi ? Parce qu'il est bien rythmé, qu'il est un savant mélange d'action et d'humour et qu'il redore le blason de la franchise après un deuxième opus décevant. Les (grands) enfants seront ravis.
Le meilleur et ultime volet des aventures d'Arthur au pays des Minimoys !
Le troisième et dernier volet des aventures d'Arthur, le mini-mini héros (2 mm) qui a déjà enchanté les enfants, accourus par millions risque bien de faire un carton. Cette fois, Maltazard le méchant a réussi à se hisser parmi les hommes (il a atteint 2,10 m d'altitude!) et entend dominer le monde, grâce à une armée de séides géants.
Seul Arthur semble en mesure de contrer ses plans machiavéliques, à condition de pouvoir regagner sa chambre et de reprendre sa taille habituelle. En attendant, bloqué à l'état de Minimoy, il peut compter sur l'aide de Sélénia et Bétamèche, mais aussi sur le soutien de Darkos, le propre fils de Maltazard, qui semble vouloir changer de camp.
Le réalisateur a laissé son imagination vagabonder comme un gamin à qui l'on aurait confié les clés d'un magasin de jouets. La bonne humeur permanente et les qualités techniques de l'ensemble donnent l'impression d'assister à un bouquet final continu. Pas de doute, Luc Besson a gagné son pari !
Seul Arthur semble en mesure de contrer ses plans machiavéliques, à condition de pouvoir regagner sa chambre et de reprendre sa taille habituelle. En attendant, bloqué à l'état de Minimoy, il peut compter sur l'aide de Sélénia et Bétamèche, mais aussi sur le soutien de Darkos, le propre fils de Maltazard, qui semble vouloir changer de camp.
Le réalisateur a laissé son imagination vagabonder comme un gamin à qui l'on aurait confié les clés d'un magasin de jouets. La bonne humeur permanente et les qualités techniques de l'ensemble donnent l'impression d'assister à un bouquet final continu. Pas de doute, Luc Besson a gagné son pari !
Conclusion et Critiques de la Rédaction
Luc Besson nous livre le troisième et ultime volet des aventures d'Arthur aux Pays des Minimoys, neuf mois seulement après le précédent opus. Une conclusion aussi brillante que rythmée, s'adressant malgré tout aux plus jeunes. Arthur et la Vengeance de Maltazard avait laissé bon nombre de spectateurs sur leur faim, par son ensemble d'une très faible consistance, mais aussi et surtout un « dénouement » beaucoup trop ouvert. Voilà donc LA conclusion tant attendue. Et le résultat devrait sans nul doute combler l'impatience voire le dégoût de certains inconditionnels. Tout d'abord, l'intrigue ne se compose d'aucun temps mort. Le cinéaste alterne brillamment scène d'action et d'humour avec le talent qu'on lui connait.
Par ailleurs, les rebondissements ne manquent pas, les personnages trouvent enfin un développement à la hauteur de ce qu'ils méritent (notamment en ce qui concerne la fameuse mère d'Arthur) et le spectacle se révèle être au rendez-vous (une armée de moustiques géants, dit « séides », effrayants à souhait). Bien sûr, ce n'est pas aussi violent que Léon, aussi poétique que Le Grand Bleu ou aussi sensationnel (d'un point de vue visuel) que Le Cinquième Elément, mais le charme opére. Indéniablement. Ainsi, les enfants s'en délecteront avec un réel plaisir. Quant aux plus âgés, ce film devrait leur rappeler, qu'un jour, eux aussi ont eu huit ans. Un piqûre parfois non négligeable...
Luc Besson met un terme à son épopée, après plus de dix années de travail. Quel que soit l'avis de tout un chacun au sujet de son oeuvre, Arthur et les Minimoys (l'homme considère les trois épisodes comme un seul et même long métrage) aura non seulement marqué l'Histoire de l'animation sur le territoire français, mais aussi à l'étranger. Une brillante avancée, donc, prometteuse quant à l'avenir. Il est en effet à peu près acquis de voir le genre se développer au sein de nos productions, et ce, pour notre plus grand bonheur. Fort de son succès, Besson aura depuis participer au financement de projets divers et excitants, à l'instar de La Mécanique du coeur ou d'Un Monstre à Paris. Ne serait-ce que pour cela, la saga Arthur mérite un certain égard... A l'arrivée, chaque génération devrait y trouver son compte. D'avance merci, Monsieur Besson.
Arthur 3, la guerre des deux mondes : Voir la bande-annonce !
Voir la bande-annonce : Arthur 3, la Guerre des 2 Mondes |
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