Un coffret collector qui fait plaisir !
Ce n'est pas un hasard si nous vous proposons le test de la version collector de Aliens vs predator, disponible en marge de la sortie du jeu vendu seul. Une édition spéciale nommée « Hunter Edition » offrant plusieurs bonus de nature à combler les nombreux fans de cinéma fantastique. Ainsi, Sega propose tout d'abord une splendide jaquette métallique en guise de boitier de protection pour le jeu. De plus, une figurine de Facehugger tirée de la saga Aliens permettra de rendre vos étagères de collectionneurs plus...effrayantes ! Vous ne connaissez pas le Facehugger ?
Petit retour en arrière, ces odieuses créatures ont le pouvoir de se cramponner sur le visage de leurs victimes (généralement humaines) afin de féconder ces dernières, le corps humain étant particulièrement apprécié pour ses vertus en tant qu'ôte de Xenomorphe. Sympathique...Mais nous trouverons également dans ce coffret, un badge de la Weyland Corp, compagnie crée à l'époque par le célébrissime Charles Bishop Weyland, lequel souhaitant exploiter le potentiel des Aliens à des fins commerciales. Paix à son âme...Additionnellement, une carte 3D lenticulaire confèrera son lot d'émotions, un exemplaire étant présent dans la boite.
Enfin, les amateurs de jeu en ligne bénéficieront d'un code de téléchargement permettant d'accéder à du contenu additionnel. Concrètement, plusieurs nouvelles cartes (ou « map ») seront ajoutées, toujours dans l'optique du jeu multijoueur en réseau. Évidemment, tous ces « bonus » seront empaquetés dans une jolie boite aux couleurs de nos charmantes créatures.
Petit retour en arrière, ces odieuses créatures ont le pouvoir de se cramponner sur le visage de leurs victimes (généralement humaines) afin de féconder ces dernières, le corps humain étant particulièrement apprécié pour ses vertus en tant qu'ôte de Xenomorphe. Sympathique...Mais nous trouverons également dans ce coffret, un badge de la Weyland Corp, compagnie crée à l'époque par le célébrissime Charles Bishop Weyland, lequel souhaitant exploiter le potentiel des Aliens à des fins commerciales. Paix à son âme...Additionnellement, une carte 3D lenticulaire confèrera son lot d'émotions, un exemplaire étant présent dans la boite.
Enfin, les amateurs de jeu en ligne bénéficieront d'un code de téléchargement permettant d'accéder à du contenu additionnel. Concrètement, plusieurs nouvelles cartes (ou « map ») seront ajoutées, toujours dans l'optique du jeu multijoueur en réseau. Évidemment, tous ces « bonus » seront empaquetés dans une jolie boite aux couleurs de nos charmantes créatures.
Aliens, Predator...ou Humain ?
Rentrons maintenant dans le vif du sujet, en évoquant plus précisément le contenu proposé aux joueurs de Aliens vs Preadator. En plus du jeu « online » déjà évoqué et particulièrement jouissif pour les fans, trois « campagnes » bien distinctes seront disponibles selon un choix de trois races et quatre modes de difficulté.
Evoquons d'abord la « race humaine », qui propose de prendre les commandes d'un authentique Marines suréquipé, bien que novice. Pistolet, fusil à lunette, lance-flammes, fusil à impulsions, cribleur M59 ou shotgun, notre « bleu » aura de quoi recevoir ses assaillants...D'autres équipements seront également de la partie, comme la lampe torche très utile face aux Aliens, les stimulants (régénération), tubes incandescents et l'indispensable détecteur de mouvements. Votre objectif principal sera de survivre (!), sachant qu'il vous sera également demandé de secourir des collègues en détresse ou d'appuyer divers assauts face à l'adversaire.
Le fait de choisir la campagne « Aliens » occasionnera un intérêt supérieur, de part la nature des coups à votre disposition. Bien sûr, un Xenomorphe n'est pas apte à faire usage d'armes à feu mais en même temps, serait-ce bien utile ? Clairement non ! Doté de griffes redoutables, de crocs acérés et d'une queue assassine, notre mutant usera de divers coups plus ou moins puissantes selon les besoins. Des attaques violentes et rapides qui, couplées à ses capacités de grimpeur hors norme, lui confèreront un avantage certain, tant face aux humains que contre un Predator. Ainsi, Aliens pourra grimper sur les murs et plafonds en faisant également usage de sauts impressionnants. De plus, son mythique sifflement sera utile pour attirer une proie afin de l'isoler, ce dans l'optique de l'attaquer discrètement. Notez que les conduits représenteront son terrain de jeu favoris sachant que son but principal restera de libérer ses compagnons et de contribuer à la prolifération de sa race, en brisant des fioles de semence d'Aliens s'écoulant ensuite dans les égouts, mais aussi en fécondant ses pauvres victimes...tout un programme !
Le dernier mode de jeu proposé vous donnera accès aux pouvoirs du Predator, personnage doté d'une vision thermique véritablement efficace. Évoluant principalement dans la jungle, notre guerrier pourra également passer en mode furtif à volonté, de manière à approcher ses cibles sans se faire remarquer. Après quoi, plusieurs attaques lui permettront de prendre le dessus, comme une charge éclair, ou un coup de griffe d'une rare violence. Amputations, vols de crânes en guise de trophées, toutes les actions visibles dans les films seront à votre disposition. De plus, un certain nombre d'armes lui seront confiées, comme des mines de proximité, une lance, un canon à plasma ou des disques tranchants. Un boucher en puissance en somme...Mais réduire Predator au simple rôle de bête sanguinaire serait une erreur, ce dernier ayant également la capacité de détourner des systèmes électroniques ou de reprogrammer ses congénères trouvés morts sur le champ de bataille, ce dans l'optique d'en faire d'authentiques bombes à retardement.
Evoquons d'abord la « race humaine », qui propose de prendre les commandes d'un authentique Marines suréquipé, bien que novice. Pistolet, fusil à lunette, lance-flammes, fusil à impulsions, cribleur M59 ou shotgun, notre « bleu » aura de quoi recevoir ses assaillants...D'autres équipements seront également de la partie, comme la lampe torche très utile face aux Aliens, les stimulants (régénération), tubes incandescents et l'indispensable détecteur de mouvements. Votre objectif principal sera de survivre (!), sachant qu'il vous sera également demandé de secourir des collègues en détresse ou d'appuyer divers assauts face à l'adversaire.
Le fait de choisir la campagne « Aliens » occasionnera un intérêt supérieur, de part la nature des coups à votre disposition. Bien sûr, un Xenomorphe n'est pas apte à faire usage d'armes à feu mais en même temps, serait-ce bien utile ? Clairement non ! Doté de griffes redoutables, de crocs acérés et d'une queue assassine, notre mutant usera de divers coups plus ou moins puissantes selon les besoins. Des attaques violentes et rapides qui, couplées à ses capacités de grimpeur hors norme, lui confèreront un avantage certain, tant face aux humains que contre un Predator. Ainsi, Aliens pourra grimper sur les murs et plafonds en faisant également usage de sauts impressionnants. De plus, son mythique sifflement sera utile pour attirer une proie afin de l'isoler, ce dans l'optique de l'attaquer discrètement. Notez que les conduits représenteront son terrain de jeu favoris sachant que son but principal restera de libérer ses compagnons et de contribuer à la prolifération de sa race, en brisant des fioles de semence d'Aliens s'écoulant ensuite dans les égouts, mais aussi en fécondant ses pauvres victimes...tout un programme !
Le dernier mode de jeu proposé vous donnera accès aux pouvoirs du Predator, personnage doté d'une vision thermique véritablement efficace. Évoluant principalement dans la jungle, notre guerrier pourra également passer en mode furtif à volonté, de manière à approcher ses cibles sans se faire remarquer. Après quoi, plusieurs attaques lui permettront de prendre le dessus, comme une charge éclair, ou un coup de griffe d'une rare violence. Amputations, vols de crânes en guise de trophées, toutes les actions visibles dans les films seront à votre disposition. De plus, un certain nombre d'armes lui seront confiées, comme des mines de proximité, une lance, un canon à plasma ou des disques tranchants. Un boucher en puissance en somme...Mais réduire Predator au simple rôle de bête sanguinaire serait une erreur, ce dernier ayant également la capacité de détourner des systèmes électroniques ou de reprogrammer ses congénères trouvés morts sur le champ de bataille, ce dans l'optique d'en faire d'authentiques bombes à retardement.
Diversité, plaisir de jeu, mais manque d'originalité
Dans un premier temps, on regrettera le relatif classicisme proposé en terme de déroulement de l'action et d'environnements graphiques. Mais c'est surtout la campagne « Marines » qui se montre décevante, en raison d'un goût de « déjà vu » à tous niveaux. Du coup, on s'ennuie un peu...Ce manque de fraîcheur se confirme d'ailleurs dans les deux autres campagnes (Aliens et Predator), en matière de graphismes et d'action. Mais fort heureusement, la prise en main d'Aliens et Predator se montre particulièrement jouissive, surtout pour le fan des productions cinématographiques. On retrouve ainsi toutes les attaques mythiques de ces deux chasseurs, le tout dans une action d'une rare violence, proposant quelque fatalités très « gores ».
A ne pas mettre entre toutes les mains, c'est certain ! Les commandes offrent quant à elles un confort de jeu notable, permettant de maitriser facilement les différentes facettes des personnages, pour un plaisir optimal. On a véritablement le sentiment de prendre possession du Xenomorphe ou du Predateur, comme si on y était. Un plaisir de jeu fortement accentué par la présence d'excellents bruitages, rendant à merveille l'ambiance des films, notamment à la faveur de cris monstrueux fidèlement retranscrits. Même si l'expérience dans la peau du Predateur s'avère être la plus riche (palette de coups importante) et la plus impressionnante (vision thermique vraiment « trippante »), chacune des campagnes proposée génèrera des sensations différentes. Le jeu en tant qu'être humain sera probablement le plus angoissant, l'arsenal proposé semblant quelque peu dérisoire face à la puissance et la vélocité des deux monstres.
Un stress permanent qui aura aussi le mérité de faire oublier partiellement les défauts de cette campagne. Par contre, en tant qu'Aliens, on prend possession d'un véritable prédateur animal, à la fois rapide et sournois. Voilà qui donne un sentiment de supériorité face aux humains, mais une relative impression d'infériorité contre le terrible Predator. Ce dernier regroupant en effet les principales qualités d'un être humain évolué (intelligence), mixées à celles d'un prédateur animal (instinct), son utilisation confère l'agréable sentiment d'être au sommet de la chaîne alimentaire. Une sorte d'être « ultime » capable d'alterner primarité et ruses de sioux, offrant ainsi une expérience de jeu plus subtile que celle proposée par le Marines ou l'Aliens.
Au final, malgré un manque d'originalité, l'expérience de jeu avec Aliens et Predator justifie à elle seule l'acquisition du « soft », à condition d'être un minimum amateur des univers présentés. On reste tout de même un peu déçu par l'aspect visuel, mais l'ambiance générale se montre tellement réussie et riche en émotions, qu'on passe un excellent moment « manette en main ». Avec également une petite douzaine d'heures de jeu pour terminer les trois scénarios, ainsi qu'un mode en ligne de qualité, Aliens vs Predator réussit finalement son examen de passage, proposant une durée de vie supérieure à d'autres jeux du genre. Un grand moment de jeux vidéo, malgré les imperfections.
A ne pas mettre entre toutes les mains, c'est certain ! Les commandes offrent quant à elles un confort de jeu notable, permettant de maitriser facilement les différentes facettes des personnages, pour un plaisir optimal. On a véritablement le sentiment de prendre possession du Xenomorphe ou du Predateur, comme si on y était. Un plaisir de jeu fortement accentué par la présence d'excellents bruitages, rendant à merveille l'ambiance des films, notamment à la faveur de cris monstrueux fidèlement retranscrits. Même si l'expérience dans la peau du Predateur s'avère être la plus riche (palette de coups importante) et la plus impressionnante (vision thermique vraiment « trippante »), chacune des campagnes proposée génèrera des sensations différentes. Le jeu en tant qu'être humain sera probablement le plus angoissant, l'arsenal proposé semblant quelque peu dérisoire face à la puissance et la vélocité des deux monstres.
Un stress permanent qui aura aussi le mérité de faire oublier partiellement les défauts de cette campagne. Par contre, en tant qu'Aliens, on prend possession d'un véritable prédateur animal, à la fois rapide et sournois. Voilà qui donne un sentiment de supériorité face aux humains, mais une relative impression d'infériorité contre le terrible Predator. Ce dernier regroupant en effet les principales qualités d'un être humain évolué (intelligence), mixées à celles d'un prédateur animal (instinct), son utilisation confère l'agréable sentiment d'être au sommet de la chaîne alimentaire. Une sorte d'être « ultime » capable d'alterner primarité et ruses de sioux, offrant ainsi une expérience de jeu plus subtile que celle proposée par le Marines ou l'Aliens.
Au final, malgré un manque d'originalité, l'expérience de jeu avec Aliens et Predator justifie à elle seule l'acquisition du « soft », à condition d'être un minimum amateur des univers présentés. On reste tout de même un peu déçu par l'aspect visuel, mais l'ambiance générale se montre tellement réussie et riche en émotions, qu'on passe un excellent moment « manette en main ». Avec également une petite douzaine d'heures de jeu pour terminer les trois scénarios, ainsi qu'un mode en ligne de qualité, Aliens vs Predator réussit finalement son examen de passage, proposant une durée de vie supérieure à d'autres jeux du genre. Un grand moment de jeux vidéo, malgré les imperfections.
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