Le cancer du sein
Lors du congrès de l’American Society of Oncology (ASCO) 2008 qui s’est tenu cette année à Chicago, deux traitements ont apporté à nouvel élan dans la lutte contre ce type de cancer qui est le plus fréquent chez la femme, mais aussi le deuxième, après celui de la peau, dont les chances de survie sont les plus élevées (environ 85 % des cas).
Malgré cela, ce cancer représente la cinquième cause de mortalité au niveau mondial et il est responsable du décès de 502.000 femmes par an selon l’Organisation Mondiale de la Santé.
Dans le cas de cancers du sein précoces, une étude clinique à grande échelle a montré qu’un médicament normalement utilisé contre l’ostéoporose, le Zometa, réduisait de 35 % le risque de récurrence de la tumeur.
Découvrir de nouvelles propriétés de médicaments utilisés pour lutter contre d'autres maladies n'est pas exceptionnel dans le monde médical.
Concernant les cancers du sein très avancés, une nouvelle combinaison de chimiothérapie a permis de réduire les tumeurs de 63 % des femmes.
Il s’agit du taxol, (un médicament empêchant la division cellulaire) avec une molécule appelée Avastine (un médicament empêchant la formation de vaisseaux sanguins servant à alimentant la tumeur.
Ces résultats encourageants devraient permettre aux autorités de santé de mettre ces médicaments à la disposition des malades dans un délai le plus court possible.
Malgré cela, ce cancer représente la cinquième cause de mortalité au niveau mondial et il est responsable du décès de 502.000 femmes par an selon l’Organisation Mondiale de la Santé.
Dans le cas de cancers du sein précoces, une étude clinique à grande échelle a montré qu’un médicament normalement utilisé contre l’ostéoporose, le Zometa, réduisait de 35 % le risque de récurrence de la tumeur.
Découvrir de nouvelles propriétés de médicaments utilisés pour lutter contre d'autres maladies n'est pas exceptionnel dans le monde médical.
Concernant les cancers du sein très avancés, une nouvelle combinaison de chimiothérapie a permis de réduire les tumeurs de 63 % des femmes.
Il s’agit du taxol, (un médicament empêchant la division cellulaire) avec une molécule appelée Avastine (un médicament empêchant la formation de vaisseaux sanguins servant à alimentant la tumeur.
Ces résultats encourageants devraient permettre aux autorités de santé de mettre ces médicaments à la disposition des malades dans un délai le plus court possible.
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