Introduction
La prise en charge de l’entorse externe de la cheville revêt une importance toute particulière pour le kinésithérapeute. En effet, les données épidémiologiques nous montrent que le nombre d’entorses de cheville en France est de l’ordre de 6000 par jour, faisant de cette dernière une pathologie importante dans le paysage thérapeutique français.
D’après Cloke et al. les entorses de la cheville représentent 15 à 45% du nombre total des blessures répertoriées en sport.
Les données issues de la littérature nous expliquent que les lésions de Grade I et II d’après la classification de Malliaropoulos et al. sont le plus à risque de récidive.
Cette classification se base sur la mesure de trois critères objectifs que sont : l’amplitude articulaire active, l’œdème et le résultat de la radiographie en stress (cf. tableau ci-dessous).
La prise en charge de l’entorse externe de la cheville revêt une importance toute particulière pour le kinésithérapeute. En effet, les données épidémiologiques nous montrent que le nombre d’entorses de cheville en France est de l’ordre de 6000 par jour, faisant de cette dernière une pathologie importante dans le paysage thérapeutique français.
D’après Cloke et al. les entorses de la cheville représentent 15 à 45% du nombre total des blessures répertoriées en sport.
Les données issues de la littérature nous expliquent que les lésions de Grade I et II d’après la classification de Malliaropoulos et al. sont le plus à risque de récidive.
Cette classification se base sur la mesure de trois critères objectifs que sont : l’amplitude articulaire active, l’œdème et le résultat de la radiographie en stress (cf. tableau ci-dessous).