Anatomo-pathologie
L’architecture osseuse de l’articulation gléno-humérale permet une large gamme de mouvements mais confère peu de stabilité. L’épaule repose sur un réseau de structures permettant de la stabiliser : stabilité passive via le bourrelet glénoïdien et les ligaments gléno-huméraux (Tab 1), stabilité active via les muscles de la coiffe des rotateurs principalement. L’atteinte de ces structures anatomiques peut conduire à une luxation traumatique et à une instabilité chronique [4,5].
L’architecture osseuse de l’articulation gléno-humérale permet une large gamme de mouvements mais confère peu de stabilité. L’épaule repose sur un réseau de structures permettant de la stabiliser : stabilité passive via le bourrelet glénoïdien et les ligaments gléno-huméraux (Tab 1), stabilité active via les muscles de la coiffe des rotateurs principalement. L’atteinte de ces structures anatomiques peut conduire à une luxation traumatique et à une instabilité chronique [4,5].