Ce débat a "suscité" de nombreuses réactions et commentaires !
De fait, le CLUB PARTICIPATION ET PROGRES, a convié lors d'un Colloque, les meilleurs connaisseurs des domaines Militaires, et de toutes les Armées Françaises, et les Géopoliticiens spécialisés en la matière !
Un livre a été publié, qui reprend les "grandes interventions" de tous ces "intervenants".
Vous trouverez en pièce jointe, la liste complète des intervenants, ainsi qu'un bon de commande qui vous permettra d'acquérir l'ouvrage directement chez l'éditeur.
Bien respectueusement.
Pierre PASCALLON
Président du CLUB PARTICIPATION ET PROGRES
V- l' A.P.D.A.
Les Françaises et les Français, ont "appris" malheureusement que le "TERRORISME", pouvait frapper "à notre porte" !
LE CLUB PARTICIPATION ET PROGRES a organisé, sur le thème :
"RENDRE LE RENSEIGNEMENT PLUS EFFICACE DANS LE TERRORISME"
Un colloque, réunissant sur la "tribune", les "meilleurs spécialistes du moment", tant militaires que civils pour en débattre.
Ce colloque fait l'objet d'un livre.
Vous trouverez une pièce jointe, un bon de commande, qui vous permettra d'une part de "découvrir les intervenants", et d'autre part, de commander l'ouvrage, ou l'on apprend à chaque page, ce que la France, a mis en place... Et ce que la France doit mettre en place.
Bien Respectueusement.
Pierre PASCALLON.
Président du CLUB PARTICIPATION ET PROGRES
Pierre Pascallon
Président du Club Participation et progrès
pierre.pascallon0054@orange.fr
Portable : 06 45 26 20 71
LE LIVRE EVENEMENT : "Rendre le renseignement plus efficace encore dans la lutte contre le terrorisme":
Pierre Pascallon
pierre.pascallon0054@orange.fr
Tèl : 04 73 71 62 72
Portable : 06 46 26 20 71
Mesdames, Messieurs,
En vous remerciant vraiment de l'attention bienveillante apportée à la parution de cet ouvrage.
Pierre Pascallon
Président de l’Association Métropole Clermont-Val d’Allier
Ancien Député Maire d’Issoire
vous convie
à une rencontre débat
autour de
Brice HORTEFEUX
Vice Président de la Région Auvergne- Rhône Alpes
et de l’interrogation
la fusion Auvergne-Rhône Alpes ? »
● Jean Marc BOYER - Sénateur du Puy de Dôme
● Dominique BRIAT – Conseillère Municipale Déléguée à la ville de Clermont Ferrand
Conseillère Communautaire de Clermont Auvergne Métropole
● Franck CHIGNIER-RIBOULON - Professeur Géographie humaine à l’Université Clermont Auvergne
● Claude DEVES - Professeur Emérite de droit public à l’Université Clermont Auvergne
● Dominique LACROIX - Directeur Honoraire du Service Etudes :
Secrétariat Général pour les affaires régionales (SGAR)
● Gérard LENOIR - Ancien Membre du CESER
(Conseil économique, social et environnemental) Auvergne
Responsable retraité CFDT
● Thierry MARTIGNON - Membre du Directoire de la Caisse d’Epargne
Auvergne-Limousin
• Philippe VIGNERON - Promoteur Immobilier en Auvergne
Journaliste – Ancien rédacteur en chef de La Montagne
Fédération BTP du Puy de Dôme
21 rue Max Dormoy
63000 Clermont Ferrand
où Monsieur Georges FAURE
Président de la Fédération du BTP du Puy de Dôme
vous accueillera.
Entrée libre
« pot » à la fin de la rencontre-débat
« Faut-il recréer un service militaire ? »
Sous la Présidence du Colonel Jérôme Pellistrandi
Rédacteur en chef Revue Défense Nationale
Lundi 12 Février 2018
à 14 h
Ecole Militaire,
1 place Joffre
75007 Paris
Introduction Générale 14h-14h30
- « La suspension du service militaire actif : le contexte. »
Par le Vice-Amiral d’escadre (2S) Philippe Durteste ; Sous-chef d’Etat-major plan à l’EMA (1993-1995).
- « La suspension du service militaire actif : le vécu »
Par Remi Aufrere-Privel, Président du groupe solidarité (1994-1996), Commission Ministérielle Armées-Jeunesse.
I.Partie : 14h30 à 16h – Rétablir le traditionnel service militaire obligatoire d’hier ?
I.1. Avantage à rétablir le service militaire obligatoire d’hier.
- « Le service militaire : but principal et effets secondaires »
Par le Général de Division (CR) Claude Le Borgne, stratégiste.
- « Le service militaire pour recréer une défense opérationnelle du territoire pour faire face aux menaces ».
Par Emmanuel Dupuy, Président de l’Institut Prospective et Sécurité en Europe (IPSE), Professeur Associé auprès de l’Université de Paris Sud.
- « La service militaire pour faire face à la résurgence de la guerre froide : l’exemple de la suède »
Par le colonel Per Akerblom, Attaché de défense à l’Ambassade de Suède à Paris.
I.2. Difficulté à rétablir le service militaire obligatoire d’hier.
- « L’idée de service militaire obligatoire face aux transformations du pacte social »
Par Philippe Moreau Defarges, ancien Diplomate, auteur de « nouvelles relations internationales » (Point- Essais le seuil 2017).
- « Le service militaire obligatoire ne correspond plus à aucune nécessité actuelle »
Par Michele Battesti, historienne, Directrice de Recherche associée au centre Roland Mousnier à l’Université Paris IV.
- « Le service militaire obligatoire serait un contre sens historique »
Par Eric Pourcel, Docteur en Droit, officier réserve opérationnel.
II. Partie : 16h- 18h30 – Inventer un nouveau service militaire et civil universel pour demain ?
II. 1. Intérêt d’un nouveau service militaire et civil universel.
- « Le projet de service national universel (SNU) initialement envisagé »
Par Serge Lepeltier, Ancien Ministre de l’Ecologie, Ancien Maire de Bourges,
Membre du Groupe Défense du candidat Emmanuel Macron.
- « Que doit être -que peut être- le service national universel (SNU) de demain ? »
Par Hervé Drévillon, Professeur d’Histoire Université Paris I Panthéon Sorbonne, Directeur de la recherche Service Historique de la Défense.
- « Pour un nouveau service national universel, apprentissage de la résilience et de la cohésion citoyenne. »
Par Annie Crépin, Maîtresse de conférence honoraire en histoire contemporaine, Auteur de « Histoire de la conscription. » (Gallimard, Folio Histoire 2009).
- « Le service d’un mois : un besoin majeur de défense militaire et civile »
Par le Général (2S) Etienne Copel,,Vice-Président du Haut Comité pour le Défense civile.
II. 2. Perplexité face au nouveau service militaire et civil universel
- « Le service national universel, une réponse adaptée ? »
Par Patrice Buffotot, Directeur de l’observatoire européen de la sécurité et de la Revue Electronique Défense et Stratégie.
- « Le service national universel sera-t-il vraiment un service universel pour la nation ? »
Par le Général (2S) Jean Claude Allard, Directeur de recherche à l’IRIS.
- « S’orienter demain vers un service volontaire de 6 mois fléché vers les jeunes de banlieue en déshérence ».
Par le Général de Division (2S) Éric de la Maisonneuve, Président de la société de Stratégie.
Conclusion générale – 18h30 – 19h00
Par le Colonel Jérôme Pellistrandi, Rédacteur en chef Revue Défense Nationale.
PRROGRAMME DEFINITIF TB 12 FEVRIER 2018.pdf (312.48 Ko)
COUPON REPONSE TB 12 FEVRIER 2018.pdf (36.28 Ko)
TABLE RONDE DU CLUB PARTICIPATION ET PROGRES
«Que faire pour rendre le renseignement plus efficace encore contre la lutte contre le terrorisme ?»
Le 06 Septembre 2017.
Madame, Monsieur,
Je souhaitais vous faire part de notre prochaine table ronde sur le renseignement dans la lutte contre le terrorisme le 25 Septembre 2017 à l'Ecole Militaire.
Il n'est pas besoin que je vous souligne l'intérêt et l'actualité de ce sujet : le terrorisme ne cesse de roder sur nos nations, sur la France en particulier.
Le dernier attentat de Barcelone nous persuade si nous en doutions encore que les djihadistes n'ont pas désarmé et que la guerre contre ces criminels s'annonce longue et difficile.
Il faut donc tout faire pour prévenir de nouveaux attentats, amoindrir, si l'on ne peut totalement la supprimer, cette menace qui pèse durement désormais sur la sécurité de nos concitoyens.
Le renseignement est et doit être une arme déterminante dans ce combat.
Le nouveau Président de la République vient de créer, nous le savons, une « task force » pour mieux coordonner les ressources et les services de renseignement français.
Cette table ronde, avec les meilleurs spécialistes de ces questions, entend précisément faire le point sur l'état actuel de notre système de renseignement face au terrorisme, sur les améliorations annoncées et sur les progrès qui restent à faire.
Merci de nous assurer de votre présence.
Bien sincèrement et respectueusement.
Pierre PASCALLON.
Président du Club Participation et Progrès.
P.S. : Pour s'inscrire, voir les 4 Pièces Jointes.
TABLE RONDE 09 2017 PRESENTATION.pdf (47.28 Ko)
PROGRAMME TABLE RONDE 09 2017.pdf (27.58 Ko)
COUPON REPONSE TABLE RONDE.SEPTEMBRE.pdf (50.55 Ko)
GRANDE CONFERENCE CLUB PARTICIPATION ET PROGRES. 10 AVRIL 2017. ASSEMBLEE NATIONALE.
PARIS. FRANCE.
CLUB PARTICIPATION ET PROGRES. 10 AVRIL 2017.
ASSEMBLEE NATIONALE.
PARIS. FRANCE.
Madame, Monsieur,
Je vous prie de bien vouloir trouver en pièce jointe, les documents relatifs à la prochaine "Grande Conférence" du CLUB PARTICIPATION ET PROGRES, animée par Monsieur le Général Vincent DESPORTES (2S), et qui se déroulera le 10 avril prochain à l'Assemblée Nationale.
En espérant vivement votre présence,
Bien respectueusement.
Pierre PASCALLON.
Président du Club Participation et Progrès.
Pierre PASCALLON
Président du Club Participation et Progrès
Mail : pierre.pascallon0054@gmail.com
Portable : 06.45.26.20.71
Le 11 Octobre 2016.
Madame, Monsieur,
Je tenais à vous informer du prochain Colloque « du Club Participation et Progrès », qui se tiendra à l'Assemblée Nationale, à Paris, le « 14 Novembre 2016 ».
Vous voudrez bien trouver ci-dessous les premiers éléments d'information sur cette journée qui s'annonce d'ores et déjà comme « le grand débat » du dernier trimestre de l'année 2016 à Paris :
« Quelle Europe demain pour lui éviter de sortir de l'Histoire » ?
126, rue de l'Université - 75355 PARIS 07 à 8H30 ».
(Programme pj 1).
Je souhaite que vous puissiez être présent(e) à ce rendez-vous.
Je vous remercie de bien vouloir nous retourner en ce sens, et le plus rapidement possible, votre coupon-réponse qui est joint au présent envoi :(pj 2).
Bien respectueusement.
Pierre PASCALLON.
LE COUPON V2 COLLOQUE 14 11 DEFINITIF.pdf (45.39 Ko)
Christian De Boissieu ,
Vincent Desportes,
Pierre-Noel Giraud,
Michel Rocard,
Christian St Etienne,...
- Par chèque (joint) de ............ €.
- Par carte bancaire (sauf American Express) ou Paypal sur Internet à l’adresse : paiement.harmattan.fr
- En euros sur chèques domiciliés sur banque française
- Par virement en euros sur notre CCP Paris (IBAN : FR 04 2004 1000 0123 6254 4N02 011 / BIC : PSSTFRPPPAR
- 3. Par carte bancaire (sauf American Express) ou Paypal sur Internet à l’adresse paiement :http://www.editions-harmattan.fr/
Colloque « Quelle mobilisation de la Nation face au terrorisme international ? »
« Je veux tracer le chemin d'effort pour construire une grande métropole multipolaire Clermont-Val
d'Allier voulue à terme à nouveau capitale régionale de l'espace central français ».
"A partir de P. PASCALLON : Quel avenir pour Clermont-Ferrand et l'Auvergne à l'heure de la fusion Auvergne-
Rhône-Alpes. ACVam 2015"
Question : La réforme territoriale régionale a fait passer la France au 1er janvier 2016 de 22 régions
à 13 régions. La fusion de "l'Auvergne" dans "Rhône-Alpes" pour nous donner la nouvelle grande
région "Auvergne-Rhône-Alpes" était-elle évidente dans ce cadre ?
PP : Non. Cela a été une surprise complète, d'autant que tout s'est fait sans la moindre concertation.
Nos opinions publiques en effet (cf. sondage d'avril 2014 pour La Montagne) souhaitaient
davantage que l'on s'oriente vers une grande région "Massif Central", celle déjà de Valéry
GISCARD D'ESTAING et de son "Plan Massif central" de 1975. Mais ce n'était pas possible avec
les contraintes de l'actuelle réforme territoriale qui ne voulait pas toucher à "l'intégrité" des 22
régions existantes.
A défaut, on aurait pu penser à une grande région par 9fusion des deux régions existantes,
l'Auvergne et le Limousin, comme le défendait désormais Valéry GISCARD D'ESTAING en 2004,
comme le prônait encore le comité BALLADUR en 2009 dans le cadre d'une France à 15 régions.
Cela était possible dans le cadre de la réforme territoriale actuelle, mais ne répondait pas en fait aux
objectifs profonds de cette réforme.
Question : Quelles sont au final les raisons qui ont poussé les Pouvoirs Publics dans le cadre de leur
réforme territoriale régionale à rapprocher et à unir l'Auvergne avec Rhône-Alpes ?
PP : L'objectif de la réforme territoriale a été lorsque c'est apparu nécessaire -et la région Auvergne
relevait de cette logique-, de rapprocher "bloc à bloc" les petites régions de régions limitrophes plus
fortes pour qu'au total -par regroupement et agrégation de régions connexes- on obtienne de grandes
régions puissantes à même de tirer leur épingle du jeu par comparaison avec les meilleurs territoires
de la vieille Europe à l'heure de la guerre économique, commerciale et monétaire mondiale.
Question : Le rapprochement et la fusion de l'Auvergne avec Rhône-Alpes a été ainsi avec cet
objectif et les modalités (les contraintes) de la réforme territoriale régionale un choix quasi-obligé ?
PP : Oui, un choix quasi-obligé. Le rapprochement et la fusion de l'Auvergne avec le Limousin
-poursuivent les défenseurs de l'actuelle réforme- aurait été le rapprochement et l'union de deux
petites régions. Elle n'a jamais "donné" un fort, un puissant ;
Le spectre de rapprochement et de fusion pour l'Auvergne avec d'autres régions limitrophes était
-outre le Limousin-, finalement assez large vers le Nord (la Bourgogne, le Centre), vers le Sud (le
Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées). Mais toutes ces possibilités de recomposition n'étaient pas
pleinement convaincantes, à des degrés et à des titres variés... si bien qu'il ne restait pour les
Pouvoirs Publics -solution résiduelle, par défaut, quasi-inévitable et quasi-obligatoire, avec
l'objectif et les modalités (contraintes) de leur réforme-, que le choix d'un rapprochement et d'une
fusion de l'Auvergne avec Rhône-Alpes.
Question : Un choix donc de fusion quasi-obligée...et pas complètement injustifié ?
PP : Une véritable région, on le sait, doit être une entité territoriale spatialement polarisée autour
d'une métropole incontestable, entité géographiquement et historiquement vécue par ses habitants,
leur assurant au mieux le plein épanouissement de leur personnalité.
On a bien dès aujourd'hui avec la nouvelle grande région "Auvergne-Rhône-Alpes" -assurent les
défenseurs de ce choix- deux éléments liés qui sont au coeur de la définition précédente.
- une entité spatiale polarisée autour d'un pôle urbain au rayonnement incontesté : Lyon,
métropole rayonnante et puissante ;
- une entité spatiale géographiquement et historiquement vécue par ses habitants, avec en
particulier -la mise en place de l'autoroute A 89 y a contribué- des flux commerciaux,
économiques, des liens de plus en plus significatifs, une interpénétration croissante des deux
anciennes régions.
Question : Cette fusion, effective depuis le 1er janvier 2016, est-elle une chance pour Clermont-
Ferrand et l'Auvergne, ou au contraire est-elle grosse pour nous de risques réels ?
PP : les promesse potentielles, les raisons d'optimisme ne manquent pas. Nous devrions avec cette
fusion bénéficier de l'apport d'institutions et de politiques publiques régionales Rhône-Alpes plus
"riches" que les nôtres ; nous devrions surtout -mais tout cela est bien sûr intimement lié- bénéficier
de l'apport d'une économie plus dynamique et plus attractive que la nôtre.
Mais on ne saurait occulter les risques réels que comporte pour nous cette fusion. Il y aura -c'est en
fait déjà entamé- des conséquences négatives sur les institutions publiques régionales auvergnates
(avec la centralisation inévitable des services publics dans la nouvelle capitale de la nouvelle
région : LYON, et l'éloignement désormais des centres de décisions publics et administratifs
aspirés par la Capitale des Gaules). Il y aura aussi des conséquences négatives sur notre économie
privée régionale auvergnate. Il y a un effet des différences de "puissance" et de "poids"
considérables entre les deux régions au point qu'on a pu parler -fut-ce de façon un peu caricaturale
du "nain" et du "géant". Cette différence va amener -elle est déjà très forte- une domination, une
suprématie, une emprise de Lyon et de Rhône-Alpes sur Clermont-Ferrand et sur l'Auvergne, cette
"main mise" de Lyon et de Rhône-Alpes sur "nous" ne pouvant qu'être confirmée voire accusée par
la fusion.
Question : Face à ces risques de la fusion, qu'avons-nous à faire ici à Clermont-Ferrand ?
PP : Il nous faut nous mobiliser à plein pour construire une grande métropole multipolaire
Clermont-Val d'Allier que l'on espère voir plus tard reconnue -puisque c'est sa vocation profonde- à
l'occasion d'une nouvelle réforme territoriale comme demain à terme la capitale de l'espace "creux"
central français.
Question : Vous proposez de travailler à construire une grande métropole multipolaire Clermont-Val
d'Allier. Qu'est-ce à dire ?
PP : Il faut être persuadé – à l'heure de "l'urbanisation métropolitaine"- qu'il est impératif pour nous
de nous doter d'une grande métropole. C'est encore plus vrai aujourd'hui dans le cadre de la grande
région "Auvergne-Rhône-Alpes" face à la puissance de l'agglomération lyonnaise.
Pour y parvenir, il faut d'abord renforcer la ville centre, Clermont-Ferrand, en terme d'activité et en
termes d'attractivité.
Renforcer Clermont en terme d'activité ? Cela passe par la mise en place d'un grand technopole dont
nous précisons la localisation et le contenu dans notre ouvrage.
Renforcer Clermont en terme d'attractivité ? Nous devons absolument -en y intégrant "l'aventure
MICHELIN"- développer une "Cité internationale : les hommes et les transports sur le site des
pistes Cataroux".
Il faut demain renforcer Clermont-Ferrand élargie au Val d'Allier. Il convient de retrouver ici le
projet "ARVERNIA" de GISCARD de 1988 avec une véritable métropole multipolaire Val d'Allier
de VICHY à BRIOUDE. On ne va pas assez vite vers la mise en place de cette métropole, au sens
de la loi 2014. GRENOBLE -et nous devons pour beaucoup dans la nouvelle région "Auvergne-
Rhône-Alpes" devenir la "Grenoble de l'Ouest"- fait partie des métropoles créées au 1er janvier
2015.
Question : Vous souhaitez qu'à l'occasion de la prochaine réforme territoriale -s'il y en a uneClermont-
Ferrand puisse redevenir une capitale "régionale" ?
PP : Il est sûr que suite aux élections régionales de décembre dernier, sont en train de s'installer
-qu'elles soient de "Gauche" ou de "Droite"- de véritables "baronnies" qui ne souhaitent plus
entendre
parler de réforme territoriale. Ce ne sera donc pas facile de revenir sur le redécoupage régional
actuel.
Et pourtant, tôt ou tard, à la suite de la prochaine élection présidentielle de 2017 ?, tout le monde
sait que le mille feuille territorial français actuel n'est pas encore satisfaisant ; qu'il faudra donc une
nouvelle réforme territoriale qui déciderait pour de bon de remettre "tout à plat", de repartir d'une
"feuille blanche" : la "table rase".
Clermont-Ferrand a perdu avec la réforme territoriale régionale 2014-2015 son titre de capitale
régionale. Nous avons subi un véritable déclassement identitaire.
Nous avons donc à nous vouloir demain à nouveau -là où nous sommes : "coeur du coeur" de
l'espace "creux" hexagonal- capitale régionale en tant que telle, capitale légitime et irremplaçable au
niveau de la "diagonale aride" de notre pays d'une grande région "Centre France"sur laquelle nous
rayonnons.
Nous allons consacrer toutes nos forces dans le cadre de notre nouvelle association -"Clermont
Métropole, capitale de la Région Auvergne Centre France"- à "afficher" et à faire progresser ce
projet un peu fou, nous souvenant des vieux penseurs auvergnats : "celui là est sûr de se tromper le
moins qui a l'audace d'espérer le plus".