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PASCALE *****
17/02/2008
inventer des expressions selon les indications trouvées sur les documents remis
S’intranquiliser la cervelle.
Expression populaire qui, à l'origine, désignait l'incapacité que l’on a à se détendre et s’évader jusqu’à parfois atteindre une sorte de coma ou de transe.
La formule n’est pas un leurre et nombre de moines tibétains continuent à l’utiliser même si, dans leur langue, la traduction donnerait plutôt ceci : «s’asticoter les neurones». Gare à celui ou celle qui oserait alors se gausser car rien n’est plus sérieux que leurs assemblées pourtant dites «spirituelles». Comme quoi les mots...
-- « désasticote-toi les neurones et ravigote toi la seule cellule grise qui te sert de cerveau », ironisait le roi au bouffon qui lui servait de valet.
Plus récemment utilisé en milieu de soins, l’argument est devenu une vraie thérapie philosophique. Il faut savoir en 1899 s’était déjà ouverte la première association « unatranquilizansoï » nombriliste et contemplative mais saine et totalement apolitique. Ses membres restent encore aujourd’hui fermes sur leurs acquis et leurs apprentissages perdurent de nos jours.
« Qui va piano va siano, Québapla, Inverrabin » restent les plus connues.
Le travail n’y est pas tabou mais simplement nécessaire pour vivre. Comme manger en fait.
Le « una » devint avec le temps « in » d’où l’étrange incompatibilité des racines originelles. Mais s’il y avait que cela !
Au figuré « se désasticoter » (et non s’asticoter) les neurones signifie « éprouver un intense plaisir à ne rien faire ».
Dans certaines régions, on fête cette incapacité en réalisant de grandes joutes amicales populaires.
C’est à qui fera le mieux l’anguille, se faufilant pour échapper aux tâches qu’un bourreau nommé d’office intime d’exécuter. A la fin de la journée les participants dansent autour d'un grand feu de joie contenant toutes les taches non faites dans l’année par l’ensemble du monde politique du coin. Tout cela dans une atmosphère de farce bon enfant même si les élus ne négligeaient pas parfois d'en extirper quelques feuillets dilatoires. Histoire d’alimenter leurs grands-messes sans doute.
De positive, l’expression « unatranquilizansoï » affublée d’un « in » aurait pu devenir négative mais le vrai sens demeure et les générations ont su adroitement contourner l’obstacle.
Actuellement les associations recherchent de nouveaux membres et leur site Internet permet de bien cerner leurs objectifs.
www.tropn’enfait
Pascale jeu du 11 février 2008.
Expression populaire qui, à l'origine, désignait l'incapacité que l’on a à se détendre et s’évader jusqu’à parfois atteindre une sorte de coma ou de transe.
La formule n’est pas un leurre et nombre de moines tibétains continuent à l’utiliser même si, dans leur langue, la traduction donnerait plutôt ceci : «s’asticoter les neurones». Gare à celui ou celle qui oserait alors se gausser car rien n’est plus sérieux que leurs assemblées pourtant dites «spirituelles». Comme quoi les mots...
-- « désasticote-toi les neurones et ravigote toi la seule cellule grise qui te sert de cerveau », ironisait le roi au bouffon qui lui servait de valet.
Plus récemment utilisé en milieu de soins, l’argument est devenu une vraie thérapie philosophique. Il faut savoir en 1899 s’était déjà ouverte la première association « unatranquilizansoï » nombriliste et contemplative mais saine et totalement apolitique. Ses membres restent encore aujourd’hui fermes sur leurs acquis et leurs apprentissages perdurent de nos jours.
« Qui va piano va siano, Québapla, Inverrabin » restent les plus connues.
Le travail n’y est pas tabou mais simplement nécessaire pour vivre. Comme manger en fait.
Le « una » devint avec le temps « in » d’où l’étrange incompatibilité des racines originelles. Mais s’il y avait que cela !
Au figuré « se désasticoter » (et non s’asticoter) les neurones signifie « éprouver un intense plaisir à ne rien faire ».
Dans certaines régions, on fête cette incapacité en réalisant de grandes joutes amicales populaires.
C’est à qui fera le mieux l’anguille, se faufilant pour échapper aux tâches qu’un bourreau nommé d’office intime d’exécuter. A la fin de la journée les participants dansent autour d'un grand feu de joie contenant toutes les taches non faites dans l’année par l’ensemble du monde politique du coin. Tout cela dans une atmosphère de farce bon enfant même si les élus ne négligeaient pas parfois d'en extirper quelques feuillets dilatoires. Histoire d’alimenter leurs grands-messes sans doute.
De positive, l’expression « unatranquilizansoï » affublée d’un « in » aurait pu devenir négative mais le vrai sens demeure et les générations ont su adroitement contourner l’obstacle.
Actuellement les associations recherchent de nouveaux membres et leur site Internet permet de bien cerner leurs objectifs.
www.tropn’enfait
Pascale jeu du 11 février 2008.
Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 17/02/2008 à 20:49