M-FRANCE *****

Pendant 9 mois, ma mère m’a aimé(e) dans son ventre, mon père m’a aimé(e) dans sa tête…Vous allez m’adorer.




Jeu du 26 novembre...
Qu’ils ont été longs ces neufs mois, Milla, avant que tu n’arrives. Longs et difficiles, surtout pour Karine, ta maman. Jusqu'à ta naissance, rien n’était joué d’avance. Mais nous gardions confiance et bâtissions d’avance ton avenir. Ton papa, fier comme un coq, d’avoir fait ses preuves, ne parlait que de toi. Sa joie ne connut plus de borne lorsqu’il apprit qu’une petite fille s’annonçait ; bien sûr, parfois un nuage ternissait son enthousiasme « pourvu que tout se passe bien… », mais l’espoir reprenait le dessus. Il choyait ta maman, l’entourait de tendresse, te parlait à travers elle et te promettait une vie de rêve ; il t’appelait déjà « ma princesse. Ce bébé à venir était le centre de notre vie. Un malaise de Karine et voilà la famille en alerte, mais ce moment de faiblesse ne durait pas, il fallait redonner courage et confiance à la future maman. Ma petite Milla, tant d’amour t’attendait que tu ne pouvais être que ce beau bébé, rose et souriant qui dort, apaisé, sur le sein de ta maman. Le sourire qui de temps en temps entrouvre tes lèvres prouve ton bien-être Que tu es belle, petite Milla ! Puisse ta vie être aussi douce que ce que nous l’avons rêvée.

Marie France jeu du 26 novembre 2007.





Pascale Madame Martin-Debève
Rédigé par Pascale Madame Martin-Debève le 28/11/2007 à 19:50