Le mot tatouage vient du mot « tatau ». Cette pratique fut déjà connue des Egyptiens en 2000 avant notre ère. On pensait que le tatouage offrait une protection contre la malchance et la maladie. Dans les années 1970, un véritable engouement pour le tatouage est né et a connu une forte amplification vingt ans plus tard. Le tatouage est devenu un moyen de séduire.
Les pigments utilisés jadis proviennent du noir de fumée, de résines ou bien des substances organiques, animales ou végétales mélangées avec de l’alcool, de l’eau, du sperme ou du sang ; mais actuellement, les matières premières sont purement industrielles.
Les personnes sous traitements médicaux ne doivent pas se tatouer, il en est de même pour l’alcoolique, les toxicomanes ou les personnes enceintes et on ne va pas vous le rappeler, les personnes atteintes du SIDA, car chaque petite perforation augmente le risque de transmission des bactéries et c’est sur ce point que les règles d’hygiène sont d’une importance capitale.
Le tatouage fini, le détatouage est encore une autre histoire, le sien démodé ou mal fait, les « lasers déclenchés » sont utilisés pour enlever les tatouages. L’onde de choc créée fait exploser les encres en fines particules, qui sont éliminées au fil des semaines par les filtres de l’organisme sous 6 à 8 semaines. Toutefois l’utilisation des lasers dont la longueur d’onde est très bien absorbée par la mélanine de l’épiderme peut conduire à une hypo pigmentation de la peau.
L’hésitation est toujours au rendez vous chez les clients, se tatouer à jamais, ou tatouer pour se détatouer après. Certains pensent déjà à leur vieillesse, le tatouage perdra toute sa beauté. C’est pour cela qu’il existe des tatouages autocollants ; ils sont en général vendus comme des papiers collants transparents et disparaît après quelques semaines sous l’effet de l’eau. Plus pratique pour ceux qui veulent voir comment on se sent dans la peau.
Les pigments utilisés jadis proviennent du noir de fumée, de résines ou bien des substances organiques, animales ou végétales mélangées avec de l’alcool, de l’eau, du sperme ou du sang ; mais actuellement, les matières premières sont purement industrielles.
Les personnes sous traitements médicaux ne doivent pas se tatouer, il en est de même pour l’alcoolique, les toxicomanes ou les personnes enceintes et on ne va pas vous le rappeler, les personnes atteintes du SIDA, car chaque petite perforation augmente le risque de transmission des bactéries et c’est sur ce point que les règles d’hygiène sont d’une importance capitale.
Le tatouage fini, le détatouage est encore une autre histoire, le sien démodé ou mal fait, les « lasers déclenchés » sont utilisés pour enlever les tatouages. L’onde de choc créée fait exploser les encres en fines particules, qui sont éliminées au fil des semaines par les filtres de l’organisme sous 6 à 8 semaines. Toutefois l’utilisation des lasers dont la longueur d’onde est très bien absorbée par la mélanine de l’épiderme peut conduire à une hypo pigmentation de la peau.
L’hésitation est toujours au rendez vous chez les clients, se tatouer à jamais, ou tatouer pour se détatouer après. Certains pensent déjà à leur vieillesse, le tatouage perdra toute sa beauté. C’est pour cela qu’il existe des tatouages autocollants ; ils sont en général vendus comme des papiers collants transparents et disparaît après quelques semaines sous l’effet de l’eau. Plus pratique pour ceux qui veulent voir comment on se sent dans la peau.
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