Après des semaines de lutte contre le gouvernement de Robert Mugabe, le président de l’opposition Morgan Tsvangirai se retire de la course à la présidentielle à cinq jours du 2ème tour.
Cela est difficile à comprendre qu’après dix ans d’opposition, le président de la MDC, Morgan Tsvangirai jette l’éponge face à une telle opportunité. Il a annoncé du jour au lendemain son retrait à la course à la présidentielle au Zimbabwe. Il met en avant les réactions de violence et d’intimidation à l’encontre des opposants, arrestations, menace à tabac, emprisonnement…
Annoncé favori au premier tour, Morgan Tsvangirai est considéré comme un danger politique pour le président Mugabe. Objectif atteint alors pour ce dernier qui a multiplié ces derniers jours les manifestations violences ; depuis le 29 mars dernier, les intimidations et les violences ont fait près de 86 morts et près de 10 000 blessés. La décision de Morgan Tsvangirai est une grande surprise alors pour le monde entier, lui-même après avoir annoncé que personne ne pourrait annuler une élection démocratique.
Ce désistement a touché le silence de la communauté africaine, la SADC divisée, le président Sud Africain, Thabo Mbeki qui fut le médiateur de ce conflit semble embarrassé. De son côté, l’ONU qualifie cet évènement de mauvais présage pour l’avenir démocratique et politique du pays.
Cela est difficile à comprendre qu’après dix ans d’opposition, le président de la MDC, Morgan Tsvangirai jette l’éponge face à une telle opportunité. Il a annoncé du jour au lendemain son retrait à la course à la présidentielle au Zimbabwe. Il met en avant les réactions de violence et d’intimidation à l’encontre des opposants, arrestations, menace à tabac, emprisonnement…
Annoncé favori au premier tour, Morgan Tsvangirai est considéré comme un danger politique pour le président Mugabe. Objectif atteint alors pour ce dernier qui a multiplié ces derniers jours les manifestations violences ; depuis le 29 mars dernier, les intimidations et les violences ont fait près de 86 morts et près de 10 000 blessés. La décision de Morgan Tsvangirai est une grande surprise alors pour le monde entier, lui-même après avoir annoncé que personne ne pourrait annuler une élection démocratique.
Ce désistement a touché le silence de la communauté africaine, la SADC divisée, le président Sud Africain, Thabo Mbeki qui fut le médiateur de ce conflit semble embarrassé. De son côté, l’ONU qualifie cet évènement de mauvais présage pour l’avenir démocratique et politique du pays.
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