La famille Walid est menacée d’expulsion pour regagner l’Algérie dans la ville d’Annaba. Le père Messaoud Walid sans papier n'a jamais obtenu de titre de séjour, la mère enceinte de huit mois en Novembre 2007 s’est vue refusé le renouvellement du titre de son séjour provisoire par la préfecture des Bouches-du-Rhône à Marseille.
Pour la mère, le préfet du Bouche du Rhône, Michel Sappin, a décidé d’offrir une autorisation de séjour de six mois à elle et à sa famille. En effet, Walid un garçon de 11 ans est atteint d’une maladie rare : la maladie de la lune, autrement dit, il ne peut sortir et s’exposer au soleil. Arrivé à Marseille en Juin 2006, Walid a été accueilli pour y être soigné et opéré un mois après son arrivé. Et pour la première fois, Walid a été scolarisé et pris en charge.
Walid a obtenu sa combinaison spécialement conçue par la NASA pour se protéger des rayons solaires. Ces soins que le père Messaoud Walid ont peur de perdre dit-il : « En Algérie, Walid n’aurait jamais les mêmes attentions qu’ici ». L’avocat de la famille Laurent Bartolomei a fait remarque aussi du manque d’équipement adéquat en Algérie.
Autrement dit, à terme des six mois, la mère et l’enfant devront regagner l’Algérie du fait du titre tout à fait exceptionnel du séjour. Selon la préfecture toujours, la surveillance de l’état de santé étant possible même dans le pays d’origine.
Pour la mère, le préfet du Bouche du Rhône, Michel Sappin, a décidé d’offrir une autorisation de séjour de six mois à elle et à sa famille. En effet, Walid un garçon de 11 ans est atteint d’une maladie rare : la maladie de la lune, autrement dit, il ne peut sortir et s’exposer au soleil. Arrivé à Marseille en Juin 2006, Walid a été accueilli pour y être soigné et opéré un mois après son arrivé. Et pour la première fois, Walid a été scolarisé et pris en charge.
Walid a obtenu sa combinaison spécialement conçue par la NASA pour se protéger des rayons solaires. Ces soins que le père Messaoud Walid ont peur de perdre dit-il : « En Algérie, Walid n’aurait jamais les mêmes attentions qu’ici ». L’avocat de la famille Laurent Bartolomei a fait remarque aussi du manque d’équipement adéquat en Algérie.
Autrement dit, à terme des six mois, la mère et l’enfant devront regagner l’Algérie du fait du titre tout à fait exceptionnel du séjour. Selon la préfecture toujours, la surveillance de l’état de santé étant possible même dans le pays d’origine.
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