La cybercriminalité à explosé en 2009 !
Si la plupart des activités ont connues une forte récession depuis la crise, la cybercriminalité ne cesse de grimper en chiffre. Le « Global Internet Security Threat Report » rapporté par Symantec, éditeur dans le domaine de la sécurité informatique, a affirmé que les attaques malveillantes ont réellement explosé en 2009. Selon la même source, les logiciels malveillants ont atteint un record de 71% en seulement une année.
Avec 19% d’activité illégale sur Internet, les États-Unis dominent largement ce domaine. La Chine la suit de près avec 8% de taux de cybercriminalité et du Brésil qui concentre 6% de cette activité. La France, par contre, a connu un grand recul en passant de 8ème au 13ème dans le rang international. Selon les analyses, ce sont surtout les pays émergents tels le Brésil et l'Inde,où les mesures contre cette activité ne sont pas encore réellement prises, qui sont les plus grands victimes de cette activité actuellement.
En outre, Symantec a pu identifié près de 250 millions de nouveaux programmes malveillants l’année précédente. La firme a ainsi édité plus de 2,9 millions signatures antivirales en 2009, soit 71% de plus qu’en 2008. Les pirates ne se contentent plus des spams et des phishing mais renforcent de plus en plus leurs attaques en exploitant les informations tirées des réseaux sociaux. L’année 2009 a été une grande impasse pour la sécurité informatique car l’éditeur a révélé avoir bloqué 100 menaces par seconde en moyenne. Le problème persiste encore ces derniers mois avec des moyens encore plus accessibles à tout le monde.
Avec 19% d’activité illégale sur Internet, les États-Unis dominent largement ce domaine. La Chine la suit de près avec 8% de taux de cybercriminalité et du Brésil qui concentre 6% de cette activité. La France, par contre, a connu un grand recul en passant de 8ème au 13ème dans le rang international. Selon les analyses, ce sont surtout les pays émergents tels le Brésil et l'Inde,où les mesures contre cette activité ne sont pas encore réellement prises, qui sont les plus grands victimes de cette activité actuellement.
En outre, Symantec a pu identifié près de 250 millions de nouveaux programmes malveillants l’année précédente. La firme a ainsi édité plus de 2,9 millions signatures antivirales en 2009, soit 71% de plus qu’en 2008. Les pirates ne se contentent plus des spams et des phishing mais renforcent de plus en plus leurs attaques en exploitant les informations tirées des réseaux sociaux. L’année 2009 a été une grande impasse pour la sécurité informatique car l’éditeur a révélé avoir bloqué 100 menaces par seconde en moyenne. Le problème persiste encore ces derniers mois avec des moyens encore plus accessibles à tout le monde.
Les attaques de moins en moins indentifiables
Outre les phishing, les vers et les spams, les attaques des cybercriminels sont de plus en plus élaborées. Ces derniers ne se contentent plus des courriels indésirables mais s’attaquent aussi aux réseaux sociaux. Les victimes sont toujours bien visées et ce sont généralement des hauts employés des entreprises cibles. Les attaques habituelles n’ont pas disparues pour autant mais ont été plus renforcées afin de les rendre inaperçues. Pour ce faire, les pirates traduisent actuellement des programmes et des courriels en langue française à destination des pays émergents où les internautes ne sont pas encore sensibilisés contre cette activité.
La vente de faux antivirus est également une pratique bien connue et encore en vigueur dans ce domaine. Elle a même engendré une autre forme d’attaque, la vente des kits d’attaque, qui est devenue une source de revenu pour les cybercriminels. Appelés piratages pour les nuls, ces programmes sont destinés aux apprentis pirates qui souhaitent envoyer des programmes malveillants. Les génies de l’informatique ne sont plus désormais les seuls à pouvoir mettre en place des attaques informatiques.
De plus, ces kits sont accessibles à tout le monde et peuvent être téléchargés gratuitement. Mais il existe également des programmes plus sophistiqués tels que Zeus. Disponible à 700 dollars, ce dernier permet de créer un programme de piratage personnalisé pouvant échappé au contrôle de sécurité. La cybercriminalité est devenue un véritable phénomène mondial qui ne peut plus être freiné par les programmes de sécurité. Néanmoins, les éditeurs en sécurité informatique dont Symantec, ne cessent de mettre en garde les internautes.
La vente de faux antivirus est également une pratique bien connue et encore en vigueur dans ce domaine. Elle a même engendré une autre forme d’attaque, la vente des kits d’attaque, qui est devenue une source de revenu pour les cybercriminels. Appelés piratages pour les nuls, ces programmes sont destinés aux apprentis pirates qui souhaitent envoyer des programmes malveillants. Les génies de l’informatique ne sont plus désormais les seuls à pouvoir mettre en place des attaques informatiques.
De plus, ces kits sont accessibles à tout le monde et peuvent être téléchargés gratuitement. Mais il existe également des programmes plus sophistiqués tels que Zeus. Disponible à 700 dollars, ce dernier permet de créer un programme de piratage personnalisé pouvant échappé au contrôle de sécurité. La cybercriminalité est devenue un véritable phénomène mondial qui ne peut plus être freiné par les programmes de sécurité. Néanmoins, les éditeurs en sécurité informatique dont Symantec, ne cessent de mettre en garde les internautes.
La cybercriminalité, une évolution criminelle
La cybercriminalité est passée d’une simple attaque à un véritable espionnage. Selon les études, la crise économique mondiale est l’une des causes de la hausse de cette activité. Avec des milliards de dollars générés, ce business de piratage attire souvent les personnes à la recherche d’un revenu complémentaire. En effet, les internautes ne manquent jamais d’acheter et de cliquer sur des liens pertinents ce qui constitue une entrée de revenu pour les pirates. Par ailleurs, l’ouverture des courriels indésirables n’est plus la seule origine des attaques informatiques, mais le simple fait de naviguer sur le web peut mener à l’intrusion de ces infections suite à la présence d’un panneau publicitaire infecté par exemple.
Cette activité est devenue un véritable refuge pour les criminels. Elle est même actuellement utilisée pour pratiquer des détournements d’argent et de données bancaires. Ces tâches reviennent surtout aux apprentis pirates recrutés pour recevoir l’argent détourné afin de ne pas être détecté. Mais le plus grands risquent de ces attaques est la récupération et la revente des données bancaire des victimes.
Les pirates informatiques ne cessent de renforcer leur attaque.
Un cheval de troie récoltant toutes les historiques de sites pornographiques de ses victimes vient d’être détecté récemment. Ce dernier regroupe ces données afin d’effectuer un chantage envoyé par mail dans lequel il demande une somme, sous peine de rendre public ces informations. Évidemment, les hauts personnages sont leurs principales cibles. En l’espace de quelques années, le piratage informatique est passé à une autre dimension d’espionnage ciblant les grandes firmes mondiales et leurs employés.
Cette activité est devenue un véritable refuge pour les criminels. Elle est même actuellement utilisée pour pratiquer des détournements d’argent et de données bancaires. Ces tâches reviennent surtout aux apprentis pirates recrutés pour recevoir l’argent détourné afin de ne pas être détecté. Mais le plus grands risquent de ces attaques est la récupération et la revente des données bancaire des victimes.
Les pirates informatiques ne cessent de renforcer leur attaque.
Un cheval de troie récoltant toutes les historiques de sites pornographiques de ses victimes vient d’être détecté récemment. Ce dernier regroupe ces données afin d’effectuer un chantage envoyé par mail dans lequel il demande une somme, sous peine de rendre public ces informations. Évidemment, les hauts personnages sont leurs principales cibles. En l’espace de quelques années, le piratage informatique est passé à une autre dimension d’espionnage ciblant les grandes firmes mondiales et leurs employés.
Suggestion de lecture dans la même thématique :
Suggestion de publications disponible dans la même thématique