A minuit, la Tour Eiffel en couleur bleu, la couleur de l’Union Européenne, le sceau y restera jusqu’au 1er janvier 2009, alors présidente du conseil européen, la France le sera pour une durée de six mois, jour pour jour.
Le président français Nicolas Sarkozy veut avant tout une Europe conservatrice, pour il lui faudra traiter les gros dossiers, tel que l’immigration, la réduction du TVA sur les carburants et la restauration. Au centre des discussion, la défense de l’agriculture commune. Autre sujet d’actualité, les mesures toujours écologiques pour faire face aux changements climatiques et la France entend une nouvelle fiscalité écologique.
Une tâche qui ne sera pas facile car il faut renouer les liens entre les 27 pays qui en ce moment ne jouit pas d’une conjoncture économique favorable, l’augmentation des prix des carburants et des matières premières : on parle d’une façon radicale d’une relance économique.
Dernier point mais non négligeable, le NON irlandais sur la ratification du traité de Lisbonne, la France ayant déjà fait pression sur celui-ci avant même de prendre les règnes, la Pologne refuse de signer sa ratification : un grand fil à retordre pour le président Français où les décisions devront être prises ensemble, il faudra alors trouver un consensus pour renouer le lien. Ce sera le 10 juillet prochain que Nicolas Sarkozy présentera les grandes de sa présidence et qu’on sera encore plus sur le nouveau programme européen.
Le président français Nicolas Sarkozy veut avant tout une Europe conservatrice, pour il lui faudra traiter les gros dossiers, tel que l’immigration, la réduction du TVA sur les carburants et la restauration. Au centre des discussion, la défense de l’agriculture commune. Autre sujet d’actualité, les mesures toujours écologiques pour faire face aux changements climatiques et la France entend une nouvelle fiscalité écologique.
Une tâche qui ne sera pas facile car il faut renouer les liens entre les 27 pays qui en ce moment ne jouit pas d’une conjoncture économique favorable, l’augmentation des prix des carburants et des matières premières : on parle d’une façon radicale d’une relance économique.
Dernier point mais non négligeable, le NON irlandais sur la ratification du traité de Lisbonne, la France ayant déjà fait pression sur celui-ci avant même de prendre les règnes, la Pologne refuse de signer sa ratification : un grand fil à retordre pour le président Français où les décisions devront être prises ensemble, il faudra alors trouver un consensus pour renouer le lien. Ce sera le 10 juillet prochain que Nicolas Sarkozy présentera les grandes de sa présidence et qu’on sera encore plus sur le nouveau programme européen.
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