Déchets alimentaires : un constat alarmant
Chaque année l'ensemble des pays de l'Union Européenne génère 90 millions de tonnes de nourriture perdue. Les européens jettent aisément les pots de yaourts périmés, une banane quelque peu noircie, un légume pas mûr qui ne le sera jamais. En cause, plusieurs facteurs : l'hygiénisme ambiant, qui fait croire que le moindre microbe ingéré dans un yaourt périmé de quelques jours engendrera une mauvaise digestion, une maladie dégénérative ; des préconceptions qui conduisent à passer pour un avare auprès de ses amis lorsqu'on leur présente des fruits trop mûrs ou du pain acheté la veille.
Les grandes enseignes alimentaires cherchent aussi à se prémunir de tous procès ou maladie déclenché suite à l'ingestion d'aliments avariés en avançant les dates de péremption. Les invendus arrivant dans les limites de consommation devraient pouvoir être limités en assurant la promotion de ces produits en rabaissant leur prix. Certains supermarchés sont en train de faire évoluer leur politique et de réfléchir à de telles initiatives, même si ces signes semblent minimes. Les fruits et légumes arrivent souvent en rayon dans un état de maturité très peu avancé, ce qui conduit le consommateur à attendre longtemps avant de le consommer. Il l'oublie, ou alors le néglige parce qu'il nécessite une préparation particulière et finit par le jeter. Des fruits et légumes plus mûrs, arrivant au bon moment dans les rayons des supermarchés conduiraient les citoyens européens à les consommer plus rapidement et donc à éviter le gâchis.
La restauration collective planche aussi sur le sujet par des sensibilisations mais aussi des actions, par exemple en ne proposant aux enfants qu'un morceau de pain au lieu de deux, ce qui le les empêchera aucunement d'en demander un second, mais qui évitera de jeter les morceaux de pain entamés.
Ces initiatives semblent être menées sérieusement et se déploient sur l'ensemble du territoire européen, à voir si les actions de sensibilisation doivent mettre l'accent sur le citoyen ou les grandes enseignes afin de créer un réel sursaut quant au gaspillage alimentaire.
Les grandes enseignes alimentaires cherchent aussi à se prémunir de tous procès ou maladie déclenché suite à l'ingestion d'aliments avariés en avançant les dates de péremption. Les invendus arrivant dans les limites de consommation devraient pouvoir être limités en assurant la promotion de ces produits en rabaissant leur prix. Certains supermarchés sont en train de faire évoluer leur politique et de réfléchir à de telles initiatives, même si ces signes semblent minimes. Les fruits et légumes arrivent souvent en rayon dans un état de maturité très peu avancé, ce qui conduit le consommateur à attendre longtemps avant de le consommer. Il l'oublie, ou alors le néglige parce qu'il nécessite une préparation particulière et finit par le jeter. Des fruits et légumes plus mûrs, arrivant au bon moment dans les rayons des supermarchés conduiraient les citoyens européens à les consommer plus rapidement et donc à éviter le gâchis.
La restauration collective planche aussi sur le sujet par des sensibilisations mais aussi des actions, par exemple en ne proposant aux enfants qu'un morceau de pain au lieu de deux, ce qui le les empêchera aucunement d'en demander un second, mais qui évitera de jeter les morceaux de pain entamés.
Ces initiatives semblent être menées sérieusement et se déploient sur l'ensemble du territoire européen, à voir si les actions de sensibilisation doivent mettre l'accent sur le citoyen ou les grandes enseignes afin de créer un réel sursaut quant au gaspillage alimentaire.
L'Union Européenne lance une grande campagne de sensibilisation au gaspillage alimentaire.
Pour en savoir plus sur le gaspillage alimentaire lisez également :
Suggestion de publications disponible dans la même thématique