Au Pakistan où la violence refait surface après les 40 jours de deuil pour Benhazir Bhutto, les législatives furent en faveur de ses supporters. Les résultats vont tous dans le même sans, tous en faveur de l’opposition. Un résultat écrasant et évocateur de l’absence de démocratie totale de la part du gouvernement en place.
Face à cette situation, le Général Pervez Musharaff ne quittera pas le pouvoir a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse. Son parti ayant été battu largement par les partis opposants. Il n’est pas question de démissionner, Pervez Musharaff a été élu pour 5 ans et il y restera malgré les résultats de votes écrasants des partis opposants.
En route vers la démocratie pour l’opposition, une quête qui fut longtemps commencé depuis des années. Le parti dirigé par le mari de Bhenazir Bhutto assassinée en décembre dernier, qui, ne peut malheureusement pas diriger seul le pays n’ayant pas obtenu la majorité des voix a fait appel à la Ligue Musulmane dirigé par Nawaz Sharif, le deuxième parti opposant pour une collaboration à long terme au pouvoir. En tout cas, pour les islamistes pakistanais, c’est déjà un rand pas vers la victoire.
Dans les rues d’Islamabad, les sourires sont au bout des lèvres pour des milliers de pakistanais, mais c’est là un la lutte qui se poursuit encore et pourrait durer des jours, des semaines ou encore des mois.
Face à cette situation, le Général Pervez Musharaff ne quittera pas le pouvoir a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse. Son parti ayant été battu largement par les partis opposants. Il n’est pas question de démissionner, Pervez Musharaff a été élu pour 5 ans et il y restera malgré les résultats de votes écrasants des partis opposants.
En route vers la démocratie pour l’opposition, une quête qui fut longtemps commencé depuis des années. Le parti dirigé par le mari de Bhenazir Bhutto assassinée en décembre dernier, qui, ne peut malheureusement pas diriger seul le pays n’ayant pas obtenu la majorité des voix a fait appel à la Ligue Musulmane dirigé par Nawaz Sharif, le deuxième parti opposant pour une collaboration à long terme au pouvoir. En tout cas, pour les islamistes pakistanais, c’est déjà un rand pas vers la victoire.
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