Le monde du Jazz vient de perdre une étoile, le jazzy français Henri Salvador est décédé hier à Paris dans son domicile à l’âge de 90 ans après une rupture d’anévrisme. Né à Cayenne, en Guyanne le 18 Juillet 1917, Henri Salvador a débuté sa carrière le jour où il a rêvé de devenir musicien il y a il longtemps au temps de Louis Armstrong et Duke Ellington. Sa carrière, il l’a commencé à l’âge de 16 ans dans des cabarets parisiens où il accompagne Django Reinhardt. Sa carrière lui fait voyager en Amérique du Sud en 1941 où il fut une star du jazz au Brésil. En montant petit à petit les échelles, il connut d’innombrables succès avec un sourire sincère.
Sa musique a traversé le monde entier avec « Zoro est arrivé », « Maladies d’amour » « le loup, la biche et le chevalier », Le travail, c’est la santé » et surtout « Le lion est mort ce soir ». Des chansons qui ont fait danser, chanter ou pleurer des millions de gens, ses chansons resteront vivantes. Ces derniers concert en décembre dernier au Palais des Congrès de Paris, il fut fier d’être le dernier chanteur et aussi le plus âgé, la dernière fois qu’on l’a vu fut jeudi avant sa mort au Studio de l’Europe 1. Mais c’est une carrière infinie pour une éternité pour Henri Salvador, d’ailleurs « je n’aime pas de retraite » disait-il. Et la mort est pour lui qu’une porte vers une autre vie qu’il compare à une autre galaxie, « Vous vous rendez compte du nombre de vies qu’on a à vivres » il disait ne jamais appréhender la mort. Les obsèques auront lieu Samedi à l’église de la madeleine à Paris.
Sa musique a traversé le monde entier avec « Zoro est arrivé », « Maladies d’amour » « le loup, la biche et le chevalier », Le travail, c’est la santé » et surtout « Le lion est mort ce soir ». Des chansons qui ont fait danser, chanter ou pleurer des millions de gens, ses chansons resteront vivantes. Ces derniers concert en décembre dernier au Palais des Congrès de Paris, il fut fier d’être le dernier chanteur et aussi le plus âgé, la dernière fois qu’on l’a vu fut jeudi avant sa mort au Studio de l’Europe 1. Mais c’est une carrière infinie pour une éternité pour Henri Salvador, d’ailleurs « je n’aime pas de retraite » disait-il. Et la mort est pour lui qu’une porte vers une autre vie qu’il compare à une autre galaxie, « Vous vous rendez compte du nombre de vies qu’on a à vivres » il disait ne jamais appréhender la mort. Les obsèques auront lieu Samedi à l’église de la madeleine à Paris.
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