Le curcuma, une épice sacrée pour les Hindous
Le curcuma demeure une épice sacrée en Inde. Il y a toujours occupé une place importante, que ce soit dans la tradition sociale, culinaire ou médicinale. Les Hindous en consomment 1,5 à 2 g par jour. Le succès et l'utilisation du curcuma ne datent pas d'hier. Des traités médicaux datant d'environ 3 000 ans avant J-C, écrits sur des tablettes de pierre, révèlent qu'il faisait déjà partie des quelques 250 plantes médicinales utilisées à cette époque.
Le curcuma constitue l'une des principales composantes de la médecine ayurvédique (ou ayurvéda), qui est la médecine traditionnelle indienne. On la considère comme étant la plus ancienne tradition médicinale de l'humanité. En ayurvéda, le curcuma est utilisé pour purifier l'organisme, traiter les troubles digestifs, la fièvre, les infections, l'arthrite, la dysenterie, la jaunisse ainsi que d'autres problèmes hépatiques.
GLOBOCAN 2000, un logiciel qui donne accès à de l'information sur les taux d'incidence, de prévalence et de mortalité associés à 26 cancers majeurs à travers le monde, révèle des chiffres pour le moins surprenants quant à la différence entre le nombre de cancers en Inde et aux États-Unis. Pour le cancer de la prostate par exemple, sur 100 000 hommes, seulement 5 ont été touchés en Inde, contre 104 aux États-Unis. Même constat pour le cancer du sein : sur 100 000 femmes, 19 ont développé un cancer du sein en Inde, contre 91 aux États-Unis... Des chiffres qui parlent d'eux-mêmes !
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La curcumine, à l'origine de l'action anticancéreuse du curcuma
La curcumine, qui constitue le principal composé du curcuma, possède plusieurs activités pharmacologiques, notamment des propriétés hypocholestérolémiques (qui conduisent à une diminution de la quantité de cholestérol en circulation dans le sang), antioxydantes (plusieurs fois supérieures à la vitamine E) et anticancéreuses.
Des études révèlent que la curcumine serait bénéfique dans la prévention de certains cancers mais aussi dans leur traitement ; c'est le cas notamment du cancer de l'estomac, de l'intestin, du foie, de la peau et du côlon, ce dernier faisant d'ailleurs partie des cancers sur lesquels la curcumine pourrait avoir le plus d'influence bénéfique.
Sachant que la faible biodisponibilité du curcuma - autrement dit sa faible absorption par l'organisme - réduit l'efficacité de ses bienfaits thérapeutiques, il est intéressant de savoir que le poivre peut augmenter de plus de 1 000 fois l'absorption de la curcumine par l'organisme. Un mélange judicieux donc, à ajouter le plus souvent possible à ses repas !
Des études révèlent que la curcumine serait bénéfique dans la prévention de certains cancers mais aussi dans leur traitement ; c'est le cas notamment du cancer de l'estomac, de l'intestin, du foie, de la peau et du côlon, ce dernier faisant d'ailleurs partie des cancers sur lesquels la curcumine pourrait avoir le plus d'influence bénéfique.
Sachant que la faible biodisponibilité du curcuma - autrement dit sa faible absorption par l'organisme - réduit l'efficacité de ses bienfaits thérapeutiques, il est intéressant de savoir que le poivre peut augmenter de plus de 1 000 fois l'absorption de la curcumine par l'organisme. Un mélange judicieux donc, à ajouter le plus souvent possible à ses repas !
Les bienfaits thérapeutiques du curcuma sur notre corps
Outre ses propriétés anticancéreuses, le curcuma renferme beaucoup d'autres bienfaits dont le corps peut profiter, à commencer par le système immunitaire. En effet, son action antioxydante peut être d'une aide précieuse, notamment dans des cas de cancers, en prévenant la détérioration des tissus qui peut survenir lors des traitements de chimiothérapie.
Sur le système cardio-vasculaire, le curcuma aura une action favorable en prévenant les dépôts de cholestérol dans la membrane des artères et en diminuant le taux de cholestérol dans le sang. De plus, ses actions anti-inflammatoire et fluidifiante aident à prévenir et à soulager la thrombophlébite.
Divers problèmes affectant le système digestif peuvent être soulagés grâce au curcuma. Ce dernier améliore en effet la digestion, en stimulant le foie et la vésicule biliaire. En augmentant la solubilité de la bile, il peut prévenir la formation de calculs. L'épice sacrée des Hindous constitue également un excellent hépatoprotecteur et bactéricide. L'hépatite, la jaunisse, la diarrhée, les ulcères gastriques, les flatulences ou encore les ballonnements sont autant de maux qui peuvent être soulagés sous l'action du curcuma.
En médecine ayurvédique, le curcuma est très utilisé pour traiter des affections à caractère inflammatoire. On compare même son action à celle de la cortisone ! Tout ce qui est arthrite, rhumatismes, douleurs musculaires, arthrite rhumatoïde, tendinite et bursite peuvent donc être apaisés grâce aux propriétés anti-inflammatoires du curcuma.
Alors, on inscrit le curcuma sur sa prochaine liste de commissions ? Dame Nature regorge de trésors thérapeutiques ; à nous de leur faire honneur !
Important : Étant un fluidifiant sanguin, le curcuma ne doit pas être associé à un anticoagulant. Sa consommation est également à éviter en cas d'opération chirurgicale ou d'accouchement imminent.
Sur le système cardio-vasculaire, le curcuma aura une action favorable en prévenant les dépôts de cholestérol dans la membrane des artères et en diminuant le taux de cholestérol dans le sang. De plus, ses actions anti-inflammatoire et fluidifiante aident à prévenir et à soulager la thrombophlébite.
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