Tout organisme animal réagit aux aspects de son milieu physique que on équipement sensoriel lui permet de capter. Parmi ces excitants ou stimuli, il en est qui entraîne en vertu de liaisons physiologiques préétablies propres à l’espaces sur la langue d’un chien provoque la salivation, une décharge électrique) à la patte, provoque la flexion, une stimulation thermique entassée provoque une vasodilatation. Par rapport à ces réactions déclenchées par des stimuli précis, d’autres stimuli sont neutres : un son, une lumière ne provoquent pas la salivation ni la flexion de la patte. Survenant dans le milieu de l’animal, les stimuli neutres commandent une réaction d’alerte ou d’orientation (l’animal dirige le regard vers la source du stimuli, dresse les oreilles, qui s’atténue jusqu’ à disparaître complètement. Si le stimulus se répète, il y a habitude.
La sécrétion de salive et des sucs gastriques peut être déclenchée par le contact direct avec de la nourriture, par la vue de celle-ci, mais aussi par des stimuli externes liés à l’heure du repas. Par exemple, si l’on présente sa nourriture au chien en même temps que retentit une sonnerie, on constate que, au bout d’un certain temps, la seule sonnerie déclenche le processus de salivation. Il est possible de déclencher, par un processus d’apprentissage — ou conditionnement, un réflexe conditionné (salivation liée au stimulus). le réflexe conditionné correspond à ce que l’on appelle couramment « discipline, éducation, habitude » et toutes les activités psychiques, si complexes soient-elles, ne sont que la résultante de processus physiologiques de type réflexes.
On peut considérer alors le phénomène d’accoutumance (qui est parfois désigné sous son anglais d’habituation) comme une des formes le plus simples et les plus générales d’apprentissage ; il s’analyse en la disparition plus ou moins progressive d’une réaction innée, en cas de répétition du stimulus qui l’a suscitée.
La sécrétion de salive et des sucs gastriques peut être déclenchée par le contact direct avec de la nourriture, par la vue de celle-ci, mais aussi par des stimuli externes liés à l’heure du repas. Par exemple, si l’on présente sa nourriture au chien en même temps que retentit une sonnerie, on constate que, au bout d’un certain temps, la seule sonnerie déclenche le processus de salivation. Il est possible de déclencher, par un processus d’apprentissage — ou conditionnement, un réflexe conditionné (salivation liée au stimulus). le réflexe conditionné correspond à ce que l’on appelle couramment « discipline, éducation, habitude » et toutes les activités psychiques, si complexes soient-elles, ne sont que la résultante de processus physiologiques de type réflexes.
On peut considérer alors le phénomène d’accoutumance (qui est parfois désigné sous son anglais d’habituation) comme une des formes le plus simples et les plus générales d’apprentissage ; il s’analyse en la disparition plus ou moins progressive d’une réaction innée, en cas de répétition du stimulus qui l’a suscitée.
Mots clé : conditionnement, accoutumance, son, salive, salivation, vasodilatation, chien, simulation du milieu, stimuli, stimulus, processus d apprentissage, habituation, reflexe conditionne, excitant, excitants, reflexe, reflexes, suc gastrique, reflexion,
Suggestion de publications disponible dans la même thématique