Après plus de 50 ans, au pouvoir, après la démission de son président à la présidentielle, Cuba connaît enfin le nom de son nouveau président : aucune surprise, Raul Castro, le frère âgé de 76 ans. Le successeur de Fidel Castro est enfin connu, les deux frères d’armes à la tête de Cuba.
Raul Castro était le seul candidat, il fut élu par l’assemblée, par 614 députés pour poursuivre le rôle de président cubain. Son frère Fidel a bien sur voté pour lui à l’hôpital.
A peine nommé, Raul précise bien l’importance du rôle de son frère « Fidel ès Fidel » dit il dans son discours. Son frère aîné qu’il consultera toujours lors des prises de grandes décisions durant son mandat, les 5 ans à avenir. Sur le plan politique, Raul n’est pas un débutant, ancien ministre de la défense en 1969, le nouveau président fut toujours partisan de la révolution communiste.
Du côté de la population, 11 millions de cubains souhaitent une ouverture à l’extérieur, et surtout l’amélioration du quotidien dont l’augmentation du revenu, l’importation des produits de bases difficile à trouver au pays. Un changement qui se voit mal aux yeux des cubains de Floride, des anciens combattants. Un changement que les Etats-Unis attendent tant et qu’ils qualifient de « potentiel ». L’embargo US ne sera pas à l’affiches sans avoir vu ces changements en question.
Raul Castro était le seul candidat, il fut élu par l’assemblée, par 614 députés pour poursuivre le rôle de président cubain. Son frère Fidel a bien sur voté pour lui à l’hôpital.
A peine nommé, Raul précise bien l’importance du rôle de son frère « Fidel ès Fidel » dit il dans son discours. Son frère aîné qu’il consultera toujours lors des prises de grandes décisions durant son mandat, les 5 ans à avenir. Sur le plan politique, Raul n’est pas un débutant, ancien ministre de la défense en 1969, le nouveau président fut toujours partisan de la révolution communiste.
Du côté de la population, 11 millions de cubains souhaitent une ouverture à l’extérieur, et surtout l’amélioration du quotidien dont l’augmentation du revenu, l’importation des produits de bases difficile à trouver au pays. Un changement qui se voit mal aux yeux des cubains de Floride, des anciens combattants. Un changement que les Etats-Unis attendent tant et qu’ils qualifient de « potentiel ». L’embargo US ne sera pas à l’affiches sans avoir vu ces changements en question.
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