Dans la partie 1, nous avons vu les difficultés de la mise en place d’un diagnostique clinique fiable et précis, lors d’une pathologie intéressant la zone inguino-pubienne. L’apport d’une méthodologie comme présenté dans le Quick Skan de Arnaud Bruchard ou dans the 3G approach de Franklyn-Miller, nous permet en tant que thérapeute, d’avoir une idée beaucoup plus précise des tests à mettre en place, et de mettre en corrélation ces derniers avec l’anatomo-pathologie.
Nous avons vu que le dernier temps du Quick Skan introduisait la notion de test biomécanique. Cette notion nous semble primordial, dans l’idée de proposer une réhabilitation précise et individualiser pour le sportif de haut niveau. En effet, lorsque l’on regarde le taux de récidive de cette pathologie (15 à 31%), nous pouvons fort logiquement nous poser la question des objectifs suivis lors de la réhabilitation. Nous savons aujourd’hui, que les processus de réhabilitation lors de la prise en charge d’une pubalgie, ont tendance à trop se focaliser sur le diagnostic anatomique, sans se soucier réellement des déficits biomécaniques quelquefois aberrants dans la région pubienne. Au regard des activités pourvoyeuses de ce type de pathologie (sport avec changement de direction, sport de frappe), et dans un soucis de prise en charge globale, il paraît nécessaire d’intégrer la notion d’analyse gestuelle, dans le cadre d’une réhabilitation bien orientée.
Comme nous avons pu le voir au préalable, la dynamique de la région pubienne est complexe. En effet, il existe un nombre important de structures qui entrent en compte : musculaire (adducteurs, abdominaux), osseuses et articulaire, qui doivent travailler en synergie pour répondre aux contraintes qui sont imposées au carrefour pubien (cf. schéma ci-contre).
Nous avons vu que le dernier temps du Quick Skan introduisait la notion de test biomécanique. Cette notion nous semble primordial, dans l’idée de proposer une réhabilitation précise et individualiser pour le sportif de haut niveau. En effet, lorsque l’on regarde le taux de récidive de cette pathologie (15 à 31%), nous pouvons fort logiquement nous poser la question des objectifs suivis lors de la réhabilitation. Nous savons aujourd’hui, que les processus de réhabilitation lors de la prise en charge d’une pubalgie, ont tendance à trop se focaliser sur le diagnostic anatomique, sans se soucier réellement des déficits biomécaniques quelquefois aberrants dans la région pubienne. Au regard des activités pourvoyeuses de ce type de pathologie (sport avec changement de direction, sport de frappe), et dans un soucis de prise en charge globale, il paraît nécessaire d’intégrer la notion d’analyse gestuelle, dans le cadre d’une réhabilitation bien orientée.
Comme nous avons pu le voir au préalable, la dynamique de la région pubienne est complexe. En effet, il existe un nombre important de structures qui entrent en compte : musculaire (adducteurs, abdominaux), osseuses et articulaire, qui doivent travailler en synergie pour répondre aux contraintes qui sont imposées au carrefour pubien (cf. schéma ci-contre).