Rencontre avec Edouard Molinaro
Edouard Molinaro réussit parfaitement l'association "classicisme-éclectisme"
Il commence par réaliser des films noirs et complexes, des policiers, des drames, avant d’allez vers le burlesque.
Bien qu’il entre loin dans un jeu guignolesque, il préserve aux acteurs leur part d’humanité et leur évite la caricature.
Son nom de réalisateur et scénariste est souvent lié au cinéma des années 70 auquel il a donné ses lettres de noblesse.
Il passe maître au cinéma en prenant la pleine mesure de la rivalité entre la part du visuel et de celle du texte
Souvent, il a souvent pris le risque d’adapter au cinéma des œuvres écrites pour le théâtre en réalisant des films historiques qui ont pour cadre le 18 ième siècle, ce goût pour le siècle des lumières l’a poussé à tourner « Mon oncle Benjamin », « le souper », « Beaumarchais, l’insolent »
Les interprètes de ces films, Jacques Brel, Claude Brasseur, Claude Rich, Fabrice Lucchini, sont tous de grands admirateurs et spécialistes de la langue française, cet intérêt commun a été un élément important de leur travail commun
Après avoir exploré le cinéma sous de nombreux aspects, ce réalisateur tourne les films qui lui ressemblent, plein de finesse et porte sur ses contemporains un regard emprunt d’acuité et d’humour
Tourner pour le grand et le petit écran lui a permis l’emploi de techniques différentes et le mélange des genres.
L’évolution des techniques, les nouvelles possibilités offertes au cinéma lui donnent envie faire de nouvelles expériences et mettre en oeuvre de nouvelles façons de raconter les histoires en images, telle la 3D
Il reste profondément indépendant, face aux sujets nouveaux apparus dans notre société et qui retiennent son attention.
Jean-Pierre Mocky
Il commence par réaliser des films noirs et complexes, des policiers, des drames, avant d’allez vers le burlesque.
Bien qu’il entre loin dans un jeu guignolesque, il préserve aux acteurs leur part d’humanité et leur évite la caricature.
Son nom de réalisateur et scénariste est souvent lié au cinéma des années 70 auquel il a donné ses lettres de noblesse.
Il passe maître au cinéma en prenant la pleine mesure de la rivalité entre la part du visuel et de celle du texte
Souvent, il a souvent pris le risque d’adapter au cinéma des œuvres écrites pour le théâtre en réalisant des films historiques qui ont pour cadre le 18 ième siècle, ce goût pour le siècle des lumières l’a poussé à tourner « Mon oncle Benjamin », « le souper », « Beaumarchais, l’insolent »
Les interprètes de ces films, Jacques Brel, Claude Brasseur, Claude Rich, Fabrice Lucchini, sont tous de grands admirateurs et spécialistes de la langue française, cet intérêt commun a été un élément important de leur travail commun
Après avoir exploré le cinéma sous de nombreux aspects, ce réalisateur tourne les films qui lui ressemblent, plein de finesse et porte sur ses contemporains un regard emprunt d’acuité et d’humour
Tourner pour le grand et le petit écran lui a permis l’emploi de techniques différentes et le mélange des genres.
L’évolution des techniques, les nouvelles possibilités offertes au cinéma lui donnent envie faire de nouvelles expériences et mettre en oeuvre de nouvelles façons de raconter les histoires en images, telle la 3D
Il reste profondément indépendant, face aux sujets nouveaux apparus dans notre société et qui retiennent son attention.
Jean-Pierre Mocky