Pierre PASCALLON
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Pierre PASCALLON
« Je veux tracer le chemin d'effort pour construire une grande métropole multipolaire Clermont-Val
d'Allier voulue à terme à nouveau capitale régionale de l'espace central français ».
"A partir de P. PASCALLON : Quel avenir pour Clermont-Ferrand et l'Auvergne à l'heure de la fusion Auvergne-
Rhône-Alpes. ACVam 2015"
Question : La réforme territoriale régionale a fait passer la France au 1er janvier 2016 de 22 régions
à 13 régions. La fusion de "l'Auvergne" dans "Rhône-Alpes" pour nous donner la nouvelle grande
région "Auvergne-Rhône-Alpes" était-elle évidente dans ce cadre ?
PP : Non. Cela a été une surprise complète, d'autant que tout s'est fait sans la moindre concertation.
Nos opinions publiques en effet (cf. sondage d'avril 2014 pour La Montagne) souhaitaient
davantage que l'on s'oriente vers une grande région "Massif Central", celle déjà de Valéry
GISCARD D'ESTAING et de son "Plan Massif central" de 1975. Mais ce n'était pas possible avec
les contraintes de l'actuelle réforme territoriale qui ne voulait pas toucher à "l'intégrité" des 22
régions existantes.
A défaut, on aurait pu penser à une grande région par 9fusion des deux régions existantes,
l'Auvergne et le Limousin, comme le défendait désormais Valéry GISCARD D'ESTAING en 2004,
comme le prônait encore le comité BALLADUR en 2009 dans le cadre d'une France à 15 régions.
Cela était possible dans le cadre de la réforme territoriale actuelle, mais ne répondait pas en fait aux
objectifs profonds de cette réforme.
Question : Quelles sont au final les raisons qui ont poussé les Pouvoirs Publics dans le cadre de leur
réforme territoriale régionale à rapprocher et à unir l'Auvergne avec Rhône-Alpes ?
PP : L'objectif de la réforme territoriale a été lorsque c'est apparu nécessaire -et la région Auvergne
relevait de cette logique-, de rapprocher "bloc à bloc" les petites régions de régions limitrophes plus
fortes pour qu'au total -par regroupement et agrégation de régions connexes- on obtienne de grandes
régions puissantes à même de tirer leur épingle du jeu par comparaison avec les meilleurs territoires
de la vieille Europe à l'heure de la guerre économique, commerciale et monétaire mondiale.
Question : Le rapprochement et la fusion de l'Auvergne avec Rhône-Alpes a été ainsi avec cet
objectif et les modalités (les contraintes) de la réforme territoriale régionale un choix quasi-obligé ?
PP : Oui, un choix quasi-obligé. Le rapprochement et la fusion de l'Auvergne avec le Limousin
-poursuivent les défenseurs de l'actuelle réforme- aurait été le rapprochement et l'union de deux
petites régions. Elle n'a jamais "donné" un fort, un puissant ;
Le spectre de rapprochement et de fusion pour l'Auvergne avec d'autres régions limitrophes était
-outre le Limousin-, finalement assez large vers le Nord (la Bourgogne, le Centre), vers le Sud (le
Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées). Mais toutes ces possibilités de recomposition n'étaient pas
pleinement convaincantes, à des degrés et à des titres variés... si bien qu'il ne restait pour les
Pouvoirs Publics -solution résiduelle, par défaut, quasi-inévitable et quasi-obligatoire, avec
l'objectif et les modalités (contraintes) de leur réforme-, que le choix d'un rapprochement et d'une
fusion de l'Auvergne avec Rhône-Alpes.
Question : Un choix donc de fusion quasi-obligée...et pas complètement injustifié ?
PP : Une véritable région, on le sait, doit être une entité territoriale spatialement polarisée autour
d'une métropole incontestable, entité géographiquement et historiquement vécue par ses habitants,
leur assurant au mieux le plein épanouissement de leur personnalité.
On a bien dès aujourd'hui avec la nouvelle grande région "Auvergne-Rhône-Alpes" -assurent les
défenseurs de ce choix- deux éléments liés qui sont au coeur de la définition précédente.
- une entité spatiale polarisée autour d'un pôle urbain au rayonnement incontesté : Lyon,
métropole rayonnante et puissante ;
- une entité spatiale géographiquement et historiquement vécue par ses habitants, avec en
particulier -la mise en place de l'autoroute A 89 y a contribué- des flux commerciaux,
économiques, des liens de plus en plus significatifs, une interpénétration croissante des deux
anciennes régions.
Question : Cette fusion, effective depuis le 1er janvier 2016, est-elle une chance pour Clermont-
Ferrand et l'Auvergne, ou au contraire est-elle grosse pour nous de risques réels ?
PP : les promesse potentielles, les raisons d'optimisme ne manquent pas. Nous devrions avec cette
fusion bénéficier de l'apport d'institutions et de politiques publiques régionales Rhône-Alpes plus
"riches" que les nôtres ; nous devrions surtout -mais tout cela est bien sûr intimement lié- bénéficier
de l'apport d'une économie plus dynamique et plus attractive que la nôtre.
Mais on ne saurait occulter les risques réels que comporte pour nous cette fusion. Il y aura -c'est en
fait déjà entamé- des conséquences négatives sur les institutions publiques régionales auvergnates
(avec la centralisation inévitable des services publics dans la nouvelle capitale de la nouvelle
région : LYON, et l'éloignement désormais des centres de décisions publics et administratifs
aspirés par la Capitale des Gaules). Il y aura aussi des conséquences négatives sur notre économie
privée régionale auvergnate. Il y a un effet des différences de "puissance" et de "poids"
considérables entre les deux régions au point qu'on a pu parler -fut-ce de façon un peu caricaturale
du "nain" et du "géant". Cette différence va amener -elle est déjà très forte- une domination, une
suprématie, une emprise de Lyon et de Rhône-Alpes sur Clermont-Ferrand et sur l'Auvergne, cette
"main mise" de Lyon et de Rhône-Alpes sur "nous" ne pouvant qu'être confirmée voire accusée par
la fusion.
Question : Face à ces risques de la fusion, qu'avons-nous à faire ici à Clermont-Ferrand ?
PP : Il nous faut nous mobiliser à plein pour construire une grande métropole multipolaire
Clermont-Val d'Allier que l'on espère voir plus tard reconnue -puisque c'est sa vocation profonde- à
l'occasion d'une nouvelle réforme territoriale comme demain à terme la capitale de l'espace "creux"
central français.
Question : Vous proposez de travailler à construire une grande métropole multipolaire Clermont-Val
d'Allier. Qu'est-ce à dire ?
PP : Il faut être persuadé – à l'heure de "l'urbanisation métropolitaine"- qu'il est impératif pour nous
de nous doter d'une grande métropole. C'est encore plus vrai aujourd'hui dans le cadre de la grande
région "Auvergne-Rhône-Alpes" face à la puissance de l'agglomération lyonnaise.
Pour y parvenir, il faut d'abord renforcer la ville centre, Clermont-Ferrand, en terme d'activité et en
termes d'attractivité.
Renforcer Clermont en terme d'activité ? Cela passe par la mise en place d'un grand technopole dont
nous précisons la localisation et le contenu dans notre ouvrage.
Renforcer Clermont en terme d'attractivité ? Nous devons absolument -en y intégrant "l'aventure
MICHELIN"- développer une "Cité internationale : les hommes et les transports sur le site des
pistes Cataroux".
Il faut demain renforcer Clermont-Ferrand élargie au Val d'Allier. Il convient de retrouver ici le
projet "ARVERNIA" de GISCARD de 1988 avec une véritable métropole multipolaire Val d'Allier
de VICHY à BRIOUDE. On ne va pas assez vite vers la mise en place de cette métropole, au sens
de la loi 2014. GRENOBLE -et nous devons pour beaucoup dans la nouvelle région "Auvergne-
Rhône-Alpes" devenir la "Grenoble de l'Ouest"- fait partie des métropoles créées au 1er janvier
2015.
Question : Vous souhaitez qu'à l'occasion de la prochaine réforme territoriale -s'il y en a uneClermont-
Ferrand puisse redevenir une capitale "régionale" ?
PP : Il est sûr que suite aux élections régionales de décembre dernier, sont en train de s'installer
-qu'elles soient de "Gauche" ou de "Droite"- de véritables "baronnies" qui ne souhaitent plus
entendre
parler de réforme territoriale. Ce ne sera donc pas facile de revenir sur le redécoupage régional
actuel.
Et pourtant, tôt ou tard, à la suite de la prochaine élection présidentielle de 2017 ?, tout le monde
sait que le mille feuille territorial français actuel n'est pas encore satisfaisant ; qu'il faudra donc une
nouvelle réforme territoriale qui déciderait pour de bon de remettre "tout à plat", de repartir d'une
"feuille blanche" : la "table rase".
Clermont-Ferrand a perdu avec la réforme territoriale régionale 2014-2015 son titre de capitale
régionale. Nous avons subi un véritable déclassement identitaire.
Nous avons donc à nous vouloir demain à nouveau -là où nous sommes : "coeur du coeur" de
l'espace "creux" hexagonal- capitale régionale en tant que telle, capitale légitime et irremplaçable au
niveau de la "diagonale aride" de notre pays d'une grande région "Centre France"sur laquelle nous
rayonnons.
Nous allons consacrer toutes nos forces dans le cadre de notre nouvelle association -"Clermont
Métropole, capitale de la Région Auvergne Centre France"- à "afficher" et à faire progresser ce
projet un peu fou, nous souvenant des vieux penseurs auvergnats : "celui là est sûr de se tromper le
moins qui a l'audace d'espérer le plus".
« Je veux tracer le chemin d'effort pour construire une grande métropole multipolaire Clermont-Val
d'Allier voulue à terme à nouveau capitale régionale de l'espace central français ».
"A partir de P. PASCALLON : Quel avenir pour Clermont-Ferrand et l'Auvergne à l'heure de la fusion Auvergne-
Rhône-Alpes. ACVam 2015"
Question : La réforme territoriale régionale a fait passer la France au 1er janvier 2016 de 22 régions
à 13 régions. La fusion de "l'Auvergne" dans "Rhône-Alpes" pour nous donner la nouvelle grande
région "Auvergne-Rhône-Alpes" était-elle évidente dans ce cadre ?
PP : Non. Cela a été une surprise complète, d'autant que tout s'est fait sans la moindre concertation.
Nos opinions publiques en effet (cf. sondage d'avril 2014 pour La Montagne) souhaitaient
davantage que l'on s'oriente vers une grande région "Massif Central", celle déjà de Valéry
GISCARD D'ESTAING et de son "Plan Massif central" de 1975. Mais ce n'était pas possible avec
les contraintes de l'actuelle réforme territoriale qui ne voulait pas toucher à "l'intégrité" des 22
régions existantes.
A défaut, on aurait pu penser à une grande région par 9fusion des deux régions existantes,
l'Auvergne et le Limousin, comme le défendait désormais Valéry GISCARD D'ESTAING en 2004,
comme le prônait encore le comité BALLADUR en 2009 dans le cadre d'une France à 15 régions.
Cela était possible dans le cadre de la réforme territoriale actuelle, mais ne répondait pas en fait aux
objectifs profonds de cette réforme.
Question : Quelles sont au final les raisons qui ont poussé les Pouvoirs Publics dans le cadre de leur
réforme territoriale régionale à rapprocher et à unir l'Auvergne avec Rhône-Alpes ?
PP : L'objectif de la réforme territoriale a été lorsque c'est apparu nécessaire -et la région Auvergne
relevait de cette logique-, de rapprocher "bloc à bloc" les petites régions de régions limitrophes plus
fortes pour qu'au total -par regroupement et agrégation de régions connexes- on obtienne de grandes
régions puissantes à même de tirer leur épingle du jeu par comparaison avec les meilleurs territoires
de la vieille Europe à l'heure de la guerre économique, commerciale et monétaire mondiale.
Question : Le rapprochement et la fusion de l'Auvergne avec Rhône-Alpes a été ainsi avec cet
objectif et les modalités (les contraintes) de la réforme territoriale régionale un choix quasi-obligé ?
PP : Oui, un choix quasi-obligé. Le rapprochement et la fusion de l'Auvergne avec le Limousin
-poursuivent les défenseurs de l'actuelle réforme- aurait été le rapprochement et l'union de deux
petites régions. Elle n'a jamais "donné" un fort, un puissant ;
Le spectre de rapprochement et de fusion pour l'Auvergne avec d'autres régions limitrophes était
-outre le Limousin-, finalement assez large vers le Nord (la Bourgogne, le Centre), vers le Sud (le
Languedoc-Roussillon, Midi-Pyrénées). Mais toutes ces possibilités de recomposition n'étaient pas
pleinement convaincantes, à des degrés et à des titres variés... si bien qu'il ne restait pour les
Pouvoirs Publics -solution résiduelle, par défaut, quasi-inévitable et quasi-obligatoire, avec
l'objectif et les modalités (contraintes) de leur réforme-, que le choix d'un rapprochement et d'une
fusion de l'Auvergne avec Rhône-Alpes.
Question : Un choix donc de fusion quasi-obligée...et pas complètement injustifié ?
PP : Une véritable région, on le sait, doit être une entité territoriale spatialement polarisée autour
d'une métropole incontestable, entité géographiquement et historiquement vécue par ses habitants,
leur assurant au mieux le plein épanouissement de leur personnalité.
On a bien dès aujourd'hui avec la nouvelle grande région "Auvergne-Rhône-Alpes" -assurent les
défenseurs de ce choix- deux éléments liés qui sont au coeur de la définition précédente.
- une entité spatiale polarisée autour d'un pôle urbain au rayonnement incontesté : Lyon,
métropole rayonnante et puissante ;
- une entité spatiale géographiquement et historiquement vécue par ses habitants, avec en
particulier -la mise en place de l'autoroute A 89 y a contribué- des flux commerciaux,
économiques, des liens de plus en plus significatifs, une interpénétration croissante des deux
anciennes régions.
Question : Cette fusion, effective depuis le 1er janvier 2016, est-elle une chance pour Clermont-
Ferrand et l'Auvergne, ou au contraire est-elle grosse pour nous de risques réels ?
PP : les promesse potentielles, les raisons d'optimisme ne manquent pas. Nous devrions avec cette
fusion bénéficier de l'apport d'institutions et de politiques publiques régionales Rhône-Alpes plus
"riches" que les nôtres ; nous devrions surtout -mais tout cela est bien sûr intimement lié- bénéficier
de l'apport d'une économie plus dynamique et plus attractive que la nôtre.
Mais on ne saurait occulter les risques réels que comporte pour nous cette fusion. Il y aura -c'est en
fait déjà entamé- des conséquences négatives sur les institutions publiques régionales auvergnates
(avec la centralisation inévitable des services publics dans la nouvelle capitale de la nouvelle
région : LYON, et l'éloignement désormais des centres de décisions publics et administratifs
aspirés par la Capitale des Gaules). Il y aura aussi des conséquences négatives sur notre économie
privée régionale auvergnate. Il y a un effet des différences de "puissance" et de "poids"
considérables entre les deux régions au point qu'on a pu parler -fut-ce de façon un peu caricaturale
du "nain" et du "géant". Cette différence va amener -elle est déjà très forte- une domination, une
suprématie, une emprise de Lyon et de Rhône-Alpes sur Clermont-Ferrand et sur l'Auvergne, cette
"main mise" de Lyon et de Rhône-Alpes sur "nous" ne pouvant qu'être confirmée voire accusée par
la fusion.
Question : Face à ces risques de la fusion, qu'avons-nous à faire ici à Clermont-Ferrand ?
PP : Il nous faut nous mobiliser à plein pour construire une grande métropole multipolaire
Clermont-Val d'Allier que l'on espère voir plus tard reconnue -puisque c'est sa vocation profonde- à
l'occasion d'une nouvelle réforme territoriale comme demain à terme la capitale de l'espace "creux"
central français.
Question : Vous proposez de travailler à construire une grande métropole multipolaire Clermont-Val
d'Allier. Qu'est-ce à dire ?
PP : Il faut être persuadé – à l'heure de "l'urbanisation métropolitaine"- qu'il est impératif pour nous
de nous doter d'une grande métropole. C'est encore plus vrai aujourd'hui dans le cadre de la grande
région "Auvergne-Rhône-Alpes" face à la puissance de l'agglomération lyonnaise.
Pour y parvenir, il faut d'abord renforcer la ville centre, Clermont-Ferrand, en terme d'activité et en
termes d'attractivité.
Renforcer Clermont en terme d'activité ? Cela passe par la mise en place d'un grand technopole dont
nous précisons la localisation et le contenu dans notre ouvrage.
Renforcer Clermont en terme d'attractivité ? Nous devons absolument -en y intégrant "l'aventure
MICHELIN"- développer une "Cité internationale : les hommes et les transports sur le site des
pistes Cataroux".
Il faut demain renforcer Clermont-Ferrand élargie au Val d'Allier. Il convient de retrouver ici le
projet "ARVERNIA" de GISCARD de 1988 avec une véritable métropole multipolaire Val d'Allier
de VICHY à BRIOUDE. On ne va pas assez vite vers la mise en place de cette métropole, au sens
de la loi 2014. GRENOBLE -et nous devons pour beaucoup dans la nouvelle région "Auvergne-
Rhône-Alpes" devenir la "Grenoble de l'Ouest"- fait partie des métropoles créées au 1er janvier
2015.
Question : Vous souhaitez qu'à l'occasion de la prochaine réforme territoriale -s'il y en a uneClermont-
Ferrand puisse redevenir une capitale "régionale" ?
PP : Il est sûr que suite aux élections régionales de décembre dernier, sont en train de s'installer
-qu'elles soient de "Gauche" ou de "Droite"- de véritables "baronnies" qui ne souhaitent plus
entendre
parler de réforme territoriale. Ce ne sera donc pas facile de revenir sur le redécoupage régional
actuel.
Et pourtant, tôt ou tard, à la suite de la prochaine élection présidentielle de 2017 ?, tout le monde
sait que le mille feuille territorial français actuel n'est pas encore satisfaisant ; qu'il faudra donc une
nouvelle réforme territoriale qui déciderait pour de bon de remettre "tout à plat", de repartir d'une
"feuille blanche" : la "table rase".
Clermont-Ferrand a perdu avec la réforme territoriale régionale 2014-2015 son titre de capitale
régionale. Nous avons subi un véritable déclassement identitaire.
Nous avons donc à nous vouloir demain à nouveau -là où nous sommes : "coeur du coeur" de
l'espace "creux" hexagonal- capitale régionale en tant que telle, capitale légitime et irremplaçable au
niveau de la "diagonale aride" de notre pays d'une grande région "Centre France"sur laquelle nous
rayonnons.
Nous allons consacrer toutes nos forces dans le cadre de notre nouvelle association -"Clermont
Métropole, capitale de la Région Auvergne Centre France"- à "afficher" et à faire progresser ce
projet un peu fou, nous souvenant des vieux penseurs auvergnats : "celui là est sûr de se tromper le
moins qui a l'audace d'espérer le plus".
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