Génie ou surdoué ?
Il n’est pas douteux qu’un bébé, dont le père et la mère s’occupent, a l’intelligence éveillée plus tôt que celui qu’on laisse dormir toute la journée. Mais il faut une proportion en tout et le séjour prolongé d’un enfant au salon a une influence désastreuse sur sa nervosité, sur son sommeil, à un âge où la vie au grand air est indispensable et où la bonne confection de pâtés de sable doit être la principale occupation.
Comme on ne peut supprimer l’émotion, il faut en faire une éducation progressive en modérant tout tendance aux excès, en classe, il est important que l’enfant ait l’âge approprié à sa classe. Nombre de professeurs de philosophie se plaignent d’avoir des élèves intelligents mais dont le développement cérébral n’est pas suffisant pour pouvoir bénéficier de leur cours. L’homme fait lui aussi, a besoin de repos, surtout lorsqu’il a été affaibli par une forte fièvre. Souvent on entend parler d’hommes chez lesquels « la lame a usé le fourreau », qui se sont brûlés par les deux bouts : expression populaire qui expriment une vérité, l’anémie cérébrale, la folie atteignent chaque jour les individus, remarquables qui n’ont pas su limiter leur faculté de travail, donner au cerveau un repos indispensable.
Il n’est pas douteux qu’un bébé, dont le père et la mère s’occupent, a l’intelligence éveillée plus tôt que celui qu’on laisse dormir toute la journée. Mais il faut une proportion en tout et le séjour prolongé d’un enfant au salon a une influence désastreuse sur sa nervosité, sur son sommeil, à un âge où la vie au grand air est indispensable et où la bonne confection de pâtés de sable doit être la principale occupation.
Comme on ne peut supprimer l’émotion, il faut en faire une éducation progressive en modérant tout tendance aux excès, en classe, il est important que l’enfant ait l’âge approprié à sa classe. Nombre de professeurs de philosophie se plaignent d’avoir des élèves intelligents mais dont le développement cérébral n’est pas suffisant pour pouvoir bénéficier de leur cours. L’homme fait lui aussi, a besoin de repos, surtout lorsqu’il a été affaibli par une forte fièvre. Souvent on entend parler d’hommes chez lesquels « la lame a usé le fourreau », qui se sont brûlés par les deux bouts : expression populaire qui expriment une vérité, l’anémie cérébrale, la folie atteignent chaque jour les individus, remarquables qui n’ont pas su limiter leur faculté de travail, donner au cerveau un repos indispensable.
Comme on l’a souligné, il faut la distinguer de la fatigue. Alors que celle ci demeure compatible avec une certaine activité, et permet encore le travail après qu’elle a été ressentie. Alors qu’il peut disparaître par le repos sans laisser de traces appréciables, au contraire le contraire, le surmenage physique oblige celui qui y est soumis à la suppression de toute activité, et peut laisser après lui des lésions de nature et de gravité très diverses.
Chez les enfants de 6 à 13ans, la physionomie de la croissance détermine la ligne de conduite que doit suivre l’éducateur, s’il veut éviter les accidents imputables du surmenage. De 6 à 13 ans, le développement des muscles n’est pas plus avancé que les os. Les deux systèmes suivent un accroissement parallèle. Le cœur, autre muscle est sans résistance, sans tonicité. Il a par contre, une grande élasticité, celle des tissus jeunes, elle lui permet de s’adapter, du moins momentanément à des tâches excessives. Le foie et les reins remplissent d’une façon limitée leurs fonctions antitoxiques d’élimination. En résumé, l’enfant n’est pas un « petit homme » ainsi qu’on le dit. Sa résistance générale est proportionnellement beaucoup moindre que celui de l’adulte. Sa force musculaire est minime.
Chez l’enfant, les signes du surmenage physique sont la suppression de l’appétit et le dégoût des aliments, celles-ci sont accompagnées de fièvres et l’insomnie. Dans le cas sérieux peut apparaître une diarrhée, de la bronchite et des frissons pour un surmenage aigu. Pour un surmenage chronique, le symptôme est l’arrêt de la croissance, la taille cesse de grandit et le poids d’augmenter. Si la cause du surmenage prolonge son action, l’amaigrissement survient et le poids diminue. Le mouvement normal de la nutrition est inversé. La tristesse alterne la nervosité créant un état d’âme qui contraste souvent avec l’état antérieur.
Ceci étant, il faut adopter des exercices qui conviennent le mieux à l’enfance si bien qu’à l’adolescence. Se donner du mouvement, sans faire de grands efforts musculaires, accomplir des promenades fréquentes plutôt que prolongées, telle est la règle pour les personnes âgées.
Chez les enfants de 6 à 13ans, la physionomie de la croissance détermine la ligne de conduite que doit suivre l’éducateur, s’il veut éviter les accidents imputables du surmenage. De 6 à 13 ans, le développement des muscles n’est pas plus avancé que les os. Les deux systèmes suivent un accroissement parallèle. Le cœur, autre muscle est sans résistance, sans tonicité. Il a par contre, une grande élasticité, celle des tissus jeunes, elle lui permet de s’adapter, du moins momentanément à des tâches excessives. Le foie et les reins remplissent d’une façon limitée leurs fonctions antitoxiques d’élimination. En résumé, l’enfant n’est pas un « petit homme » ainsi qu’on le dit. Sa résistance générale est proportionnellement beaucoup moindre que celui de l’adulte. Sa force musculaire est minime.
Chez l’enfant, les signes du surmenage physique sont la suppression de l’appétit et le dégoût des aliments, celles-ci sont accompagnées de fièvres et l’insomnie. Dans le cas sérieux peut apparaître une diarrhée, de la bronchite et des frissons pour un surmenage aigu. Pour un surmenage chronique, le symptôme est l’arrêt de la croissance, la taille cesse de grandit et le poids d’augmenter. Si la cause du surmenage prolonge son action, l’amaigrissement survient et le poids diminue. Le mouvement normal de la nutrition est inversé. La tristesse alterne la nervosité créant un état d’âme qui contraste souvent avec l’état antérieur.
Ceci étant, il faut adopter des exercices qui conviennent le mieux à l’enfance si bien qu’à l’adolescence. Se donner du mouvement, sans faire de grands efforts musculaires, accomplir des promenades fréquentes plutôt que prolongées, telle est la règle pour les personnes âgées.
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