On trouve chez tout être humain un processus au cours duquel s’inscrivent dans sa mémoire des éléments de sa vie, puis ils s’effacent de la conscience sous l’effet du refoulement. Ce refoulé réapparaît dans le rêve.
La théorie de la psychanalyse et une grande partie de la technique ont été développées par Sigmund Freud. Freud abandonna l’hypnose comme méthode cathartique, sous l’impulsion de l’une de ses malades, il lui substitua la technique de la libre association des idées à laquelle il demandait à sa patiente de se livrer, en lui demandant de ne rien censurer.
Cette démarche devait laisser paraître les processus inconscients à l’origine des troubles névrotiques. Grâce à elle, Freud avait découvert l’existence de certains mécanismes psychiques notamment le refoulement, décrit comme un mécanisme psychologique inconscient par lequel le souvenir d’évènements pénibles ou menaçant est maintenu hors du champ de la conscience et de la résistance, défini comme l’opposition inconsciente et la prise de conscience des expériences refoulées afin d’éviter l’angoisse qui en résulterait.
Ainsi, en utilisant les libres associations de sa patiente pour la guider dans l’interprétation des rêves et des lapsus, Freud avait reconstitué le fonctionnement des processus de l’inconscient. C’est à partir de l’analyse des rêves qu’il élabora sa théorie de la sexualité infantile et découvrit en 1897, la « complexe oedipe » qui est l’attachement amoureux et hostile de l’enfant pour le couple parental, attachement qui se résout par l’identification. La découverte de modes de fonctionnement spécifiques de l’inconscient permit de comprendre des phénomènes psychiques jusqu’alors inexpliqués, comme le rêve.
La théorie de la psychanalyse et une grande partie de la technique ont été développées par Sigmund Freud. Freud abandonna l’hypnose comme méthode cathartique, sous l’impulsion de l’une de ses malades, il lui substitua la technique de la libre association des idées à laquelle il demandait à sa patiente de se livrer, en lui demandant de ne rien censurer.
Cette démarche devait laisser paraître les processus inconscients à l’origine des troubles névrotiques. Grâce à elle, Freud avait découvert l’existence de certains mécanismes psychiques notamment le refoulement, décrit comme un mécanisme psychologique inconscient par lequel le souvenir d’évènements pénibles ou menaçant est maintenu hors du champ de la conscience et de la résistance, défini comme l’opposition inconsciente et la prise de conscience des expériences refoulées afin d’éviter l’angoisse qui en résulterait.
Ainsi, en utilisant les libres associations de sa patiente pour la guider dans l’interprétation des rêves et des lapsus, Freud avait reconstitué le fonctionnement des processus de l’inconscient. C’est à partir de l’analyse des rêves qu’il élabora sa théorie de la sexualité infantile et découvrit en 1897, la « complexe oedipe » qui est l’attachement amoureux et hostile de l’enfant pour le couple parental, attachement qui se résout par l’identification. La découverte de modes de fonctionnement spécifiques de l’inconscient permit de comprendre des phénomènes psychiques jusqu’alors inexpliqués, comme le rêve.
La première innovation de Freud a été l’identification de processus psychiques inconscients. L’inconscient peut modifier ou détacher de leur contexte les pensées et les sentiments : deux idées ou deux images différentes peuvent y fusionner en une seule. Les pensées inacceptables, les pulsions, le contenu latent du rêve sont ainsi transformées en un contenu manifeste, en un événement conscient qu’il est possible de décoder.
A partir de 1920, le modèle freudien définitif comporte trois instances : le ça, le moi ou ego et le surmoi. Au milieu, c’est le moi, conscient qui subit des pressions contradictoires. Ensuite le ça qui représente les tendances sexuelles et agressives. Freud appelait ces tendances « pulsions » et non « instincts » pour indiquer leur caractère inné.
Ces pulsions réclament une satisfaction immédiate, le ça est ainsi dominé par le principe du plaisir. Enfin le surmoi qui regroupe l’ensemble des « interdits moraux » les pulsions socialement inacceptables. Mais il est intéressant que le surmoi a une origine instinctive ; il est issu d’un instant de sécurité, d’un besoin d’être protégé, aimé. Une mère interdit à son enfant de rester sale ou de promener tout nu. Le petit enfant accepte de se soumettre aux interdictions pour garder l’amour de sa mère.
Ainsi le moi doit remplir, face à ces interdictions, sa fonction d’adaptation ou test de la réalité, qui peut l’obliger à différer la satisfaction des pulsions instinctives émises par le ça. Il est à appelé à apporter les moyens de la satisfaction, il est le domaine des fonctions et de la pensée. Le moi développe ainsi des mécanismes de défense afin de résister aux pulsions socialement inacceptables.
Selon la théorie freudienne, la formation du surmoi coïncide avec la résolution du conflit œdipien. Il peut arriver que le moi ne soit pas assez fort pour concilier les demandes du ça, du surmoi et du monde extérieur. Si le moi est bloqué dans ces conflits précédents, appelés fixations ou complexes ou s’il revient à des satisfactions antérieures et à des modes anciens de fonctionnement, ces situations constituent une régression. Il redevient plus sensible aux pressions qui s’exercent sur lui. S’il ne peut plus fonctionner normalement, il ne maintiendra son intégrité et sa fonction de contrôle qu’en développant des symptômes névrotiques exprimant ces tensions.
A partir de 1920, le modèle freudien définitif comporte trois instances : le ça, le moi ou ego et le surmoi. Au milieu, c’est le moi, conscient qui subit des pressions contradictoires. Ensuite le ça qui représente les tendances sexuelles et agressives. Freud appelait ces tendances « pulsions » et non « instincts » pour indiquer leur caractère inné.
Ces pulsions réclament une satisfaction immédiate, le ça est ainsi dominé par le principe du plaisir. Enfin le surmoi qui regroupe l’ensemble des « interdits moraux » les pulsions socialement inacceptables. Mais il est intéressant que le surmoi a une origine instinctive ; il est issu d’un instant de sécurité, d’un besoin d’être protégé, aimé. Une mère interdit à son enfant de rester sale ou de promener tout nu. Le petit enfant accepte de se soumettre aux interdictions pour garder l’amour de sa mère.
Ainsi le moi doit remplir, face à ces interdictions, sa fonction d’adaptation ou test de la réalité, qui peut l’obliger à différer la satisfaction des pulsions instinctives émises par le ça. Il est à appelé à apporter les moyens de la satisfaction, il est le domaine des fonctions et de la pensée. Le moi développe ainsi des mécanismes de défense afin de résister aux pulsions socialement inacceptables.
Selon la théorie freudienne, la formation du surmoi coïncide avec la résolution du conflit œdipien. Il peut arriver que le moi ne soit pas assez fort pour concilier les demandes du ça, du surmoi et du monde extérieur. Si le moi est bloqué dans ces conflits précédents, appelés fixations ou complexes ou s’il revient à des satisfactions antérieures et à des modes anciens de fonctionnement, ces situations constituent une régression. Il redevient plus sensible aux pressions qui s’exercent sur lui. S’il ne peut plus fonctionner normalement, il ne maintiendra son intégrité et sa fonction de contrôle qu’en développant des symptômes névrotiques exprimant ces tensions.
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