De par nos activités en mer, la pollution marine a entraîné depuis quelques années l’augmentation de la liste des animaux en voie de disparition, parmi eux, les baleines. A travers le monde, la liste des animaux en voie d’extinction s’allonge encore et encore. La principale origine à ce problème est bien entendu du à l’Homme et ses activités. Beaucoup d’espèces d’animaux ont une épée de Damoclès qui pende au dessus de leur tête, et ce, malgré les efforts fournis par plusieurs organisations gouvernementales et non gouvernementales.
La baleine est l'un des mammifères les plus en danger !
Dès le début du 20ème siècle, Bernard Germain de Lacépède, un zoologiste français, annonça le danger qui planait déjà sur ces grands mammifères marins que sont les baleines. En effet, les cétacés font l’objet de convoitise à cause des nombreuses exploitations que l’on peut faire de leur corps : leur chair servant de nourriture, leur huile servant à plusieurs utilisations dont le chauffage (sachant que le corps d’un rorqual, une espèce de baleine, peut produire plus de vingt tonnes d’huile), ou encore diverses parties utilisées dans les industries pharmaceutiques et cosmétiques, etc. En bref, une véritable économie.
La baleine est l'un des mammifères les plus en danger !
Dès le début du 20ème siècle, Bernard Germain de Lacépède, un zoologiste français, annonça le danger qui planait déjà sur ces grands mammifères marins que sont les baleines. En effet, les cétacés font l’objet de convoitise à cause des nombreuses exploitations que l’on peut faire de leur corps : leur chair servant de nourriture, leur huile servant à plusieurs utilisations dont le chauffage (sachant que le corps d’un rorqual, une espèce de baleine, peut produire plus de vingt tonnes d’huile), ou encore diverses parties utilisées dans les industries pharmaceutiques et cosmétiques, etc. En bref, une véritable économie.
La chasse industrielle de l’animal a commencé au dix-neuvième siècle entraînant une chute vertigineuse de leur nombre. On parlait dans la première moitié du vingtième siècle de 50 000 captures par an, un chiffre qui, selon certains spécialistes, a été fortement minimisé. La population réelle de cétacés datant de l’avant-chasse industrielle aurait aussi été cachée ou tronquée afin de diminuer les reproches faites aux responsables de l’hécatombe. Concernant la seule baleine à bosses, l’une des 11 types de baleines répertoriés, si la Commission baleinière internationale (CBI), une autorité de la chasse baleinière, parlait de 100 000 individus peuplant nos mers et océans avant le massacre commercial des années 1800, des scientifiques affirment qu’il y en avait au moins quinze fois plus, soit près de 1 500 000 baleines à bosses !
Heureusement, en 1946, une convention internationale visant la réglementation de la chasse baleinière est signée par une quinzaine de pays. La CBI, citée plus haut, est crée deux ans plus tard. Mais ce ne sera que vers les années 1970 que la chasse à grande échelle commencera a diminué notablement. Toutefois, le Japon et la Norvège continue de les chasser. Aujourd’hui, plusieurs organisations se liguent pour la conservation de l’espèce, à l’instar de Greenpeace. Diverses méthodes sont utilisées. On peut parler notamment de campagnes de communication visant à sensibiliser les populations et surtout les décideurs quant à la nécessité de protéger les cétacés ; ou encore on peut mentionner la création de genres de parcs naturels, comme en Antarctique, une zone destinée à faciliter le renouvellement de la population de baleines de nos océans.
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