En général ce sont des femmes africaines rémunérées en moyenne à 1500 euros par mois ; dans une maison de 40 mètres carrés facturés à 800 euros le loyer, Du côté social, des agences de recrutement ou des parents, vaut mieux employer des salariées efficaces même sans diplômes, sans logement fixe peur importe les conditions : avec ou sans alarme incendie. Vie sociale dure plus leurs propres enfants à nourrir et à faire vivre, les mamans noires de l’Hexagone âgées entre 40 et 60 ans traversent les rues pour trouver de quoi se nourrir. C’est le côté invisible des nounous dont certaines ont du courir par ci et par là pour trouver où se loger : cousin cousine, tante ou amies pendants des années.
Du côté de l’employeur, rare sont les parents au courant de cette réalité ou peut être tout simplement que les conditions de vie de ces dernières ne leur intéressent pas. Mais on peut observer une certaine réticence des mamans française à confier leurs appartements à leurs nounous, ce qui signifie donc que les petits enfants seront gardés dans leurs domiciles insalubres.
Derrière cette façade, ces nounous ont toujours bien travaillé : leur habitation ne leur a jamais empêché de bien travailler. Pour des raisons diverses : pour eux-mêmes ou pour leurs enfants qui parfois poursuivent leur études en France, ce sont des motivations comme pour tout le monde qui travaille. Ce qu’elles réclament avant tout au gouvernement qu’aux associations prenant en charge des sans abris, c’est de faciliter leur accès au logement car un étranger a trois fois moins de chance qu’un français de trouver un appartement « correct ».
Du côté de l’employeur, rare sont les parents au courant de cette réalité ou peut être tout simplement que les conditions de vie de ces dernières ne leur intéressent pas. Mais on peut observer une certaine réticence des mamans française à confier leurs appartements à leurs nounous, ce qui signifie donc que les petits enfants seront gardés dans leurs domiciles insalubres.
Derrière cette façade, ces nounous ont toujours bien travaillé : leur habitation ne leur a jamais empêché de bien travailler. Pour des raisons diverses : pour eux-mêmes ou pour leurs enfants qui parfois poursuivent leur études en France, ce sont des motivations comme pour tout le monde qui travaille. Ce qu’elles réclament avant tout au gouvernement qu’aux associations prenant en charge des sans abris, c’est de faciliter leur accès au logement car un étranger a trois fois moins de chance qu’un français de trouver un appartement « correct ».
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