L’origine du cannabis
Le chanvre indien, plus connu sous le nom cannabis, est une plante qui produit du THC (tétrahydrocannabinol), substance psychotrope qui agit directement sur le système nerveux central, modifiant le comportement et créant une dépendance physique. Découvert en Asie, la culture du cannabis a traversé les siècles et les continents, grâce à ses vertus thérapeutiques et médicinales. Dans l’Antiquité, la robustesse des fibres du cannabis servait à la fabrication des vêtements et à celle des cordages de bateaux.
Au XIX siècle, l'introduction en Occident du cannabis connaît une grande popularité dans les officines pharmaceutiques, pour soigner l’asthme, les règles douloureuses ou les mots de tête, mais le succès curatif du cannabis s’estompe avec l’arrivée de nouveaux médicaments comme l’aspirine. C’est sous une autre forme de popularité que la consommation du cannabis continue à s’étendre à travers le monde. Dans les années 20, aux États-Unis, la prohibition intensifie l'usage du cannabis comme drogue douce. En France, devenu fléau social, sa consommation ainsi que celle d’autres psychotropes, se voit interdite par un décret voté en 1916. Il circulera désormais sur le marché noir, pour le plus grand bonheur de ses adeptes.
Le cannabis est une plante qui se cultive facilement, avec une bonne adaptation climatique, mais qui réclame de la chaleur et de l’ensoleillement. Sa culture clandestine permet de produire de l’herbe, provenant du mélange des feuilles et des tiges séchées, plus connue sous le nom de Marijuana . Le mélange de feuilles, de tiges et de fleurs pressées contribuent à la fabrication de la résine de cannabis, plus connue sous le nom de Haschich. La culture du cannabis, la consommation de cannabis et la vente de cannabis sont interdites en France. Une lourde amande assortie d’une peine minimum d’un an de prison sont requises en cas d’infraction à la loi en vigueur sur les stupéfiants donc le cannabis est assimilé.
Au XIX siècle, l'introduction en Occident du cannabis connaît une grande popularité dans les officines pharmaceutiques, pour soigner l’asthme, les règles douloureuses ou les mots de tête, mais le succès curatif du cannabis s’estompe avec l’arrivée de nouveaux médicaments comme l’aspirine. C’est sous une autre forme de popularité que la consommation du cannabis continue à s’étendre à travers le monde. Dans les années 20, aux États-Unis, la prohibition intensifie l'usage du cannabis comme drogue douce. En France, devenu fléau social, sa consommation ainsi que celle d’autres psychotropes, se voit interdite par un décret voté en 1916. Il circulera désormais sur le marché noir, pour le plus grand bonheur de ses adeptes.
Le cannabis est une plante qui se cultive facilement, avec une bonne adaptation climatique, mais qui réclame de la chaleur et de l’ensoleillement. Sa culture clandestine permet de produire de l’herbe, provenant du mélange des feuilles et des tiges séchées, plus connue sous le nom de Marijuana . Le mélange de feuilles, de tiges et de fleurs pressées contribuent à la fabrication de la résine de cannabis, plus connue sous le nom de Haschich. La culture du cannabis, la consommation de cannabis et la vente de cannabis sont interdites en France. Une lourde amande assortie d’une peine minimum d’un an de prison sont requises en cas d’infraction à la loi en vigueur sur les stupéfiants donc le cannabis est assimilé.
Le cannabis, un phénomène de société
La consommation du cannabis chez les jeunes est en hausse constante. Son usage leurs procure un sentiment euphorique, de bien-être et de détente, et de pouvoir lier plus facilement des relations avec autrui. Les effets sur le cerveau leurs assurent la sensation de planer. Fumer un joint les dopent pour affronter une réalité quotidienne qui dissimule souvent un mal d’être persistant, ou pour faire comme tout le monde. Une expérimentation entre copains, une recherche de sensation nouvelle, un usage récréatif dans le milieu festif leurs procurent le sentiment d’être cool.
Toutefois, une dépendance s’installe lorsque la consommation de cannabis devient régulière et prolongée, ce qui à pour effet inverse de provoquer une sensation de manque, du stress, des troubles physiques, une difficulté de concentration. Les réflexes sont amenuisés, les réactions sont diminuées. Dans certains cas, l’augmentation des doses quotidiennes ne suffisent plus pour partir et conduisent à consommer des drogues dures.
La consommation du cannabis entraîne des défaillances sexuelles. Une enquête réalisée en Australie sur des personnes âgées de 16 à 64 ans dont 1,5% sont des consommateurs réguliers, a révélée que les filles auraient moins de problèmes sexuels que les garçons, donc qu’elles seraient moins grandes consommatrices. Pourtant, sans avoir de problèmes érectiles, les consommateurs quotidiens auraient une impossibilité d’atteindre l’orgasme multiplié par 4, à atteindre un orgasme difficilement multiplié par 2, et à devenir éjaculateur précoce multiplié par 3. Cependant, l’intérêt à la sexualité et à l’émotion demeurent présents chez les usagers.
La consommation du cannabis est tout aussi néfaste sur la femme enceinte. Une publication éditée dans l’European Journal of Neurosciences réalisée par des chercheurs du CNRS et de l’INSERM, sur des cerveaux embryonnaires révélait la prédisposition de troubles du comportement sur l’enfant.
Toutefois, une dépendance s’installe lorsque la consommation de cannabis devient régulière et prolongée, ce qui à pour effet inverse de provoquer une sensation de manque, du stress, des troubles physiques, une difficulté de concentration. Les réflexes sont amenuisés, les réactions sont diminuées. Dans certains cas, l’augmentation des doses quotidiennes ne suffisent plus pour partir et conduisent à consommer des drogues dures.
La consommation du cannabis entraîne des défaillances sexuelles. Une enquête réalisée en Australie sur des personnes âgées de 16 à 64 ans dont 1,5% sont des consommateurs réguliers, a révélée que les filles auraient moins de problèmes sexuels que les garçons, donc qu’elles seraient moins grandes consommatrices. Pourtant, sans avoir de problèmes érectiles, les consommateurs quotidiens auraient une impossibilité d’atteindre l’orgasme multiplié par 4, à atteindre un orgasme difficilement multiplié par 2, et à devenir éjaculateur précoce multiplié par 3. Cependant, l’intérêt à la sexualité et à l’émotion demeurent présents chez les usagers.
La consommation du cannabis est tout aussi néfaste sur la femme enceinte. Une publication éditée dans l’European Journal of Neurosciences réalisée par des chercheurs du CNRS et de l’INSERM, sur des cerveaux embryonnaires révélait la prédisposition de troubles du comportement sur l’enfant.
Le cannabis, des constatations inquiétantes
Une enquête sur la prévention sur l’usage du cannabis énonce que la plupart des jeunes qui fument du cannabis mais pas de cigarettes à 16 ans passent au tabac (28%) ou deviennent abstinents (49%), à 22 ans. L’entrée sur le marché du travail mettrait un terme à la consommation du cannabis, marquant la fin d’une période expérimentale propre à l’adolescence.
Paradoxalement, fumer un joint n’est pas réservé qu’aux jeunes puisque 1,5% des français seraient des consommateurs réguliers, de tout âge et de toute classe sociale. Bien que considérée comme une drogue douce, le cannabis suscite bien des débats sur son accoutumance et sa dépendance, auxquels les scientifiques n’ont pas encore trouvés de réponse.
Visiblement, dés les premières prises, un état de manque apparaîtrait, déclenchant des troubles du comportement, nécessitant un soutien psychologique et médicamenteux. A plus longue échéance, des pathologies bien plus graves, comme le cancer du poumon ou de la gorge, seraient les conséquences de son usage régulier.
En tendance, l’arrêt de l’usage du cannabis entrainerait en compensation une augmentation de la consommation de la cigarette et de l’alcool. Malheureusement, il est difficile de lutter contre ce fléau social qui s’est répandu à travers le monde, aux profits des dealers qui n’hésitent pas à couper le shit avec des produits tel que le cirage, l'henné, l’éther, suspectant même des excréments et bien d’autre produits impropres à la consommation.
En conclusion, retenons cette citation de François Mauriac : Mais la jeunesse n'est pas le temps des arrangements, des compromis ; le jeune homme exige l'absolu. D'où folies et ces demi-folies, ces suicides et demi-suicides : combien, s'ils ne se tuent pas d'un coup, se détruisent lentement ! La drogue est une mort pendant des années savourée.
Paradoxalement, fumer un joint n’est pas réservé qu’aux jeunes puisque 1,5% des français seraient des consommateurs réguliers, de tout âge et de toute classe sociale. Bien que considérée comme une drogue douce, le cannabis suscite bien des débats sur son accoutumance et sa dépendance, auxquels les scientifiques n’ont pas encore trouvés de réponse.
Visiblement, dés les premières prises, un état de manque apparaîtrait, déclenchant des troubles du comportement, nécessitant un soutien psychologique et médicamenteux. A plus longue échéance, des pathologies bien plus graves, comme le cancer du poumon ou de la gorge, seraient les conséquences de son usage régulier.
En tendance, l’arrêt de l’usage du cannabis entrainerait en compensation une augmentation de la consommation de la cigarette et de l’alcool. Malheureusement, il est difficile de lutter contre ce fléau social qui s’est répandu à travers le monde, aux profits des dealers qui n’hésitent pas à couper le shit avec des produits tel que le cirage, l'henné, l’éther, suspectant même des excréments et bien d’autre produits impropres à la consommation.
En conclusion, retenons cette citation de François Mauriac : Mais la jeunesse n'est pas le temps des arrangements, des compromis ; le jeune homme exige l'absolu. D'où folies et ces demi-folies, ces suicides et demi-suicides : combien, s'ils ne se tuent pas d'un coup, se détruisent lentement ! La drogue est une mort pendant des années savourée.
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